À l'heure de la révolution du Printemps arabe, des « indignés » en Europe, de l'« Occupy Wall Street » aux États-Unis et de l'ALBA en Amérique latine, se pose la question de la contribution de l'expérience communiste (Marx, Engels, Lénine...) au développement de leurs institutions.
Sur le plan électoral, au niveau théorique, est mise en avant la stratégie majoritaire absolue directe, à deux tours si nécessaire ; bien que dans la pratique, et dans le cadre de la poursuite de l'austérité actuelle depuis l'élection de 2012 en France et de 2014 en Europe, cela soulève des questions auxquelles nous essayerons de répondre. De ce fait, c'est l'occasion d'ouvrir le débat sur la « démocratie vraie ». Pourtant il ne faut pas négliger le contexte de la situation de l'économie, de la démocratie sociale et de la laïcité. Des annexes émergent l'intérêt d'un Forum d'action communiste écologiste et progressiste (FACEP) et une esquisse de projet pour que la République politique devienne une République sociale.
On ne peut à la fois déplorer la réalité et dénigrer toute recherche d'idéal. Pour changer le système catastrophique où nous vivons, seule une révolution est raisonnable : ce livre propose la constitution d'une nouvelle république basée sur la liberté, l'équité, la solidarité et l'universalité. L'économie y sera fondée sur des échanges équitables ; les biens ne seront plus obtenus que par le travail ou la solidarité. Nous y parviendrons tranquillement, par l'exemple d'une construction pacifique.
« On observe depuis de nombreuses années le décalage croissant entre la pratique des élus du suffrage universel et les aspirations des électeurs et des citoyens à une meilleure prise en compte des problèmes politiques de la société. [...] j'ai décidé de réagir en citoyen de base déterminé à apporter ma pierre à la lutte contre le cumul des mandats. Il s'agit d'essayer avec le concours de beaucoup d'autres de "sauver la politique" avant qu'il ne soit trop tard et que la montée du "tous les mêmes" ou pire du "tous pourris" ne rendent toute action inopérante et inutile. »
Roger Barlet
Le livre que vous tenez entre les mains est un ouvrage direct, réaliste et pratique. Une solution concrète face aux problèmes que rencontre le monde arabe aujourd'hui. Tandis que les crises se suivent et se ressemblent sur l'échiquier politique après les printemps arabes, l'urgence est du côté de la sécurité, de l'emploi et de l'éducation. La période agitée que nous connaissons actuellement doit nous permettre d'amorcer une stabilité plus durable et un nouvel élan. Le monde arabo-berbère n'a-t-il pas lui-même connu un âge d'or dont nous tirons, encore aujourd'hui, les bénéfices culturels et scientifiques ? En dépassant le cadre strict de la théorie économique dont il s'inspire, cet ouvrage propose donc - de façon simple mais concrète et chiffres à l'appui - un « Plan d'action pour le redressement de l'Afrique du Nord » (PARAN) dans un contexte de coopération internationale. Ce livre est donc une invitation à l'action et à l'engagement pour une nouvelle dynamique au niveau mondial et pour l'évolution après la révolution, dans l'objectif d'une renaissance socio-économique et culturelle des pays arabes.
Nous ne sommes pas en démocratie. En voilà un scoop ! Pour beaucoup de nos concitoyens, cette affirmation est fausse voire farfelue. Cette perception n'est pas étonnante, tant le mot démocratie est employé à contre-sens. En effet, ceux qui ont le pouvoir depuis plus de deux cents ans et les médias qu'ils commandent ont tout fait pour donner à ce mot un sens contraire. Étymologiquement et historiquement, démocratie veut dire : « gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». Cela signifie que le peuple souverain définit et contrôle les règles de la vie dans la Cité. La démocratie est un système politique qui vise à interdire tout abus de pouvoir durable, via la séparation et le contrôle des pouvoirs.
Le texte qui instaure ou qui empêche la démocratie s'appelle la Constitution. Il ne doit pas être rédigé, comme cela a été malheureusement le cas sous nos dernières Républiques, par les hommes politiques eux-mêmes. Ils ne peuvent définir les règles qui sont justement faites pour les contraindre, faute de quoi ils seraient exposés aux conflits d'intérêts. C'est au peuple lui-même d'écrire sa Constitution, via une assemblée constituante dont les membres doivent être tirés au sort.
Cet essai propose un premier jet pour ce qui pourrait devenir une Constitution idéale, celle qui garantit au peuple sa souveraineté et sa liberté.
C'est une histoire de militants politiques, d'un parti peu aimable, manipulés et manipulant à leur insu, où un amour intéressé se mêle à tout cela. C'est une histoire qui finit mal au moment où tout pourrait aller mieux.
« Je dédie cet ouvrage aux peuples arabes et africains, et à tous les peuples opprimés, dépourvus de leur droit légitime et naturel dans le monde.
Je soutiens inconditionnellement leur lutte dévouée et leur combat loyal, pour l'acquisition de leurs indépendances et libertés, sous couvert de la paix et démocratie ! »
Le système concernant l'élection du Président de la République française n'est plus adapté. Il entretient les inégalités sociales ; dans les faits, la sociologie des clientèles qu'incarne le pouvoir des partis politiques les a aggravées en accordant des privilèges qui entraînent la stagnation ou la régression. La société tout entière y perd. Réformer la procédure électorale de désignation du Président de la République, c'est changer la France. Il est nécessaire, en politique, de prendre parti, mais il n'est pas nécessaire de couper le pays en fractions imperméables les unes aux autres.
A l'heure présente, l'homme moderne se veut libre et se sait conditionné. La loyauté est la seule et la meilleure politique.
La France d'aujourd'hui vit sur ses réserves. Elle ressemble à ces animaux à jeun dont Claude Bernard disait : ils sont tous carnivores.
Ayons le coeur assez haut pour chercher à rassembler au-delà des querelles partisanes et des intérêts trop particuliers ou trop immédiats.
Partant du principe que la démocratie est incompatible avec l'ignorance et de la certitude que c'est pourtant l'inverse qui prédomine, cet essai s'adresse à toute personne sensée et réellement désireuse de comprendre le fonctionnement du monde dans lequel elle vit. C'est à la fois par un retour aux fondamentaux et une démarche systémique, que l'auteur élargit la pensée pour analyser les multiples facettes du paradigme libéral et ses conséquences sur l'Homme. Les thèmes abordés, allant du langage à l'image en passant notamment par le pouvoir, le savoir ou la violence, démystifient les faux prophètes puis tentent de susciter la réflexion et le changement. Face à l'imminence de la chute, il est temps de se poser les bonnes questions, sans faux-semblants, afin de retrouver le sens du réel.
L'ouvrage brosse ici le tableau peu reluisant de la colonisation ; il met à nu la condition d'extrême pauvreté de l'indigène et l'état de servilité qui lui a été infligé durant des décennies, hélas au nom d'une loi exceptionnelle, abusive et arbitraire : le code de l'indigénat. Ce dernier a extrêmement nui aux rapports des communautés en présence et a conduit fort malheureusement à l'inéluctable...
Biopolitiques d'extinction du XXIe siècle traite des récents efforts des États du G8 - visant à installer de nouveaux « rapports socio- et géo-totalitaires de masse ». Ces derniers sont en fait fondés aujourd'hui sur un triple processus de nécro- et/ou de thanatopolitiques (in fine, bio- et physio-politiques, psycho- et neuro-politiques et socio- et géo-thanatopolitiques). Cet ouvrage est donc centré sur les notions d'« anti-soi », d'« anti-personnalisations actives », de « thanatopolitiques », de « crypto-politiques », de « schizo-politiques » ou encore de « nécro-politiques ». Ces notions permettent de définir les diverses biopolitiques de synthèse qui sont appliquées dans et autour des fosses coloniales et patriotiques du G8 depuis le début du XXIe siècle.
Moïse Kapend Tshombe est à la fois un homme politique et un homme d'État du Katanga et de la République du Congo (Léopoldville) aujourd'hui appelé Kinshasa. Il symbolise aujourd'hui le courage, l'attachement et le sens du bien public. Il entra en politique comme on entre dans les ordres.
La Belgique ayant faussé le jeu politique, M. Tshombe choisit de soustraire le Katanga au chaos suscité par Lumumba, l'homme des occidentaux.
Pourquoi l'administration Kennedy est contre le Katanga ? Parce que le Katanga produit 8% du cuivre et la famille Kennedy possède des mines cuprifères. Le Katanga gêne un autre pays producteur de cuivre : la Suède. Les émissaires de la famille Kennedy sont venus à Elisabethville. Le frère de Dag Hammarskjoeld, Bo Hammarskjoeld y est venu également, ce qui alarma l'ennemi implacable du Katanga : le ministre des Affaires Etrangères du Royaume de Belgique : Paul-Henri Spaak...
La suite se trouve dans ce livre.
Ce livre, écrit par un des fondateurs de l'écologie politique en France, plaide pour la refondation de l'action politique à partir des valeurs d'autonomie, d'écologie et du renouvellement des pratiques démocratiques. La démonstration s'appuie sur la critique de l'action des partis traditionnels, des écologistes et des mouvements altermondialistes.
Les propositions pour une alternative politique sont développées ensuite selon trois axes :
- le principe de responsabilité des sujets, qui fonde la démarche
- la critique du consumérisme et de l'emprise de la technique, qui en est la condition
- les politiques macro-économiques et institutionnelles, qui en constituent les outils
Des chapitres sur l'urbanisme, l'aménagement de l'espace et l'agriculture illustrent concrètement ce projet.