Le Livre de la jungle (The Jungle Book) est un recueil de nouvelles écrit par Rudyard Kipling dont chacune raconte une histoire qui se passe dans la jungle, forêt de l'Inde où vivent des animaux sauvages typiques du pays. Les nouvelles se succèdent et permettent de découvrir par différents côtés la destinée de Mowgli petit d'homme, son éducation, la vie sociale du monde des animaux, et les lois de la Jungle auxquelles tous sont soumis, les hommes aussi.
À la fin de chaque nouvelle, un court chant en vers, en rapport avec cette dernière, offre un pendant poétique.
L'Histoire de Mowgli, enfant recueilli et élevé par des loups. Les aventures du petit homme parmi les animaux de la jungle font de ce récit un conte moral, lisible par les petits comme par les grands
Les Diaboliques est un recueil de six nouvelles de Jules Barbey d'Aurevilly, paru en novembre 1874, à Paris.
Les nouvelles
1 Le Rideau cramoisi
2 Le Plus Bel Amour de Don Juan
3 Le Bonheur dans le crime
4 Le Dessous de cartes d'une partie de whist
5 À un dîner d'athées
6 La Vengeance d'une femme
Le Tour d'écrou (The Turn of the Screw1) est une nouvelle fantastique (histoires de fantômes) de l'écrivain américano-britannique Henry James, parue pour la première fois en 1898. Le Tour d'écrou est popularisée dans le monde après son adaptation en opéra par Benjamin Britten en 1954. Considérée comme un remarquable exemple du genre, l'oeuvre fait osciller le lecteur entre une interprétation rationnelle et une interprétation surnaturelle des faits en instaurant une tension au sein du réel.
Résumé
|...Le narrateur assiste à la lecture du journal d'une gouvernante. La jeune femme a été engagée par un riche célibataire pour veiller sur ses neveu et nièce, Flora et Miles. Orphelins, ceux-ci vivent dans une vaste propriété isolée à la campagne. Le comportement des enfants semble de plus en plus étrange à la jeune gouvernante. Elle se rend compte, peu à peu, d'effrayantes apparitions, dont celle d'un homme, un ancien serviteur, Peter Quint, qui entretenait une liaison avec la précédente gouvernante, miss Jessel. Les deux sont morts peu avant l'arrivée de la nouvelle gouvernante, mais ils semblent toujours exercer sur les enfants une attirance maléfique. La nouvelle gouvernante essaye de les en détourner...|
La Dame de pique est une nouvelle fantastique narratif descriptif du poète, dramaturge et romancier russe Alexandre Pouchkine, publiée en 1834.
Présentation
| Une nuit d'hiver, chez le lieutenant Naroumov, cinq jeunes gens passent leur temps à jouer. Ils en viennent à discuter du mystérieux pouvoir de la comtesse Anna Fedotovna, grand-mère de l'un d'entre eux, Paul Tomski. La vieille dame connaîtrait une combinaison secrète de trois cartes permettant de gagner infailliblement au jeu de pharaon.
Tomski narre l'histoire de sa grand-mère. Alors qu'elle séjournait à Versailles dans sa jeunesse, elle jouait beaucoup. Un soir, elle perdit une somme colossale, ce qui provoqua le colère de son mari. Elle trouva une aide inespérée chez le comte de Saint-Germain : il lui révéla une martingale par laquelle elle regagna tout son argent le soir même. Mais depuis, la comtesse refuse obstinément de livrer son secret. ...|
|Source Wikipédia|
Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient est un essai de Denis Diderot paru en 1749.
Un essai sur la perception visuelle
Dans ce texte, Denis Diderot se penche sur la question de la perception visuelle, un sujet renouvelé à l'époque par le succès d'opérations chirurgicales permettant de donner la vue à certains aveugles de naissance. Les spéculations sont nombreuses en ce temps-là sur ce que la vue et l'usage qu'un individu peut en faire doivent à la seule perception, ou bien à l'habitude et l'expérience, par exemple pour se repérer dans l'espace, identifier des formes, percevoir les distances et les volumes, distinguer un tableau réaliste de la réalité.
Diderot explique qu'un aveugle qui se met soudainement à voir ne comprend pas immédiatement ce qu'il voit, et qu'il mettra du temps à faire le rapport entre son expérience des formes et des distances acquises par le toucher, et les images qu'il perçoit avec son oeil...
|Source Wikipédia|
Marcel Aymé aura écrit énormément de nouvelles. «Le vin de Paris» est un des recueils de ces nouvelles paru en 1947, juste à l'après-guerre. Ces nouvelles sont, quasi systématiquement, bordées, frangées de fantastique. Marcel Aymé utilise volontiers l'outrance du fantastique pour mieux mettre en évidence son propos ou la conclusion à laquelle il veut amener le lecteur. On est le plus souvent au bord du conte, et le tout dans une langue châtiée mais très agréable à lire. Pas étonnant qu'on faisait lire autrefois (?) Marcel Aymé - et notamment «Les contes du chat perché» dans les écoles.
La nouvelle éponyme ne m'a pas paru la plus intéressante, elle a pourtant été choisie par Marcel Aymé pour titre au recueil.
«La traversée de Paris», marquée par les séquelles de la guerre, est sérieusement plus intéressante. Histoire de trafiquants de marché noir, de viande. Il y a le boucher qui abat le cochon, le découpe, le prépare, mais surtout, et c'est là que va se jouer la nouvelle, les porteurs. Ceux qui, la nuit venue, dans Paris, transportent la viande répartie dans des valises pour les livrer aux clients en trompant la vigilance des troupes d'occupation. Dans cet exercice, Martin (patronyme omniprésent dans l'oeuvre de Marcel Aymé, cf «Derrière chez Martin») est le porteur chevronné. Il est accompagné, pour la première fois et sans trop savoir qui il est réellement de Grandgil, personnage plutôt mystérieux.
L'écriture est sombre à souhait. La nuit, à Paris, sous l'occupation, à faire du trafic; on y est.
« En débouchant boulevard de l'Hôpital, un vent brutal et glacé, qui soufflait du nord à grand découvert, leur coupa la respiration. Martin dut poser l'une de ses valises pour assurer son bord noir qui branlait sur sa tête. Grandgil exhalait sa mauvaise humeur en jurant, mais le vent était si rapide qu'il fallait presque crier pour se faire entendre. Dans la nuit noire, piquée de rares lumières bleues sans portée, les deux hommes sentaient autour d'eux la désolation du grand boulevard nu que la grande plainte du vent élargissait encore. La marche était si pénible qu'il leur semblait n'avancer qu'avec une extrême lenteur »
La suite est tout aussi sombre, huis-clos entre deux personnages singuliers que Marcel Aymé fera basculer dans le drame.
«La grâce» est à nouveau du domaine du fantastique. M. Duperrier, comptable anonyme de son état, est affligé du port d'une... auréole! Outre que cela est très singularisant, sa femme ne supporte pas cet élément qui peut faire jaser. Les premières tentatives consistent donc à camoufler en permanence l'auréole mais bien évidemment cela ne suffit pas. La suite sera un délectable passage en revue des péchés capitaux - et de leur mise en oeuvre - afin de perdre cette disgracieuse auréole. Pas si simple!
Marcel Aymé devait être dans une veine pieuse puisque «Dermuche» voit le dit Dermuche, assassin de son état condamné à être guillotiné, prendre l'incarnation dans sa cellule le matin de son exécution du petit Jésus. Va-t-on guillotiner Jésus? Du Marcel Aymé dans toute sa splendeur.
«Le faux policier», lui, est toujours dans la veine «fin de la guerre». Martin (!), comptable (il aime, Marcel Aymé) dans une maison de commerce, arrondit ses fins de mois en jouant les faux policiers et en faisant chanter tous ceux qui ont profité durant la guerre. Tant va la cruche à l'eau ...
La dernière, et longue, nouvelle: «La bonne peinture», n'est pas aussi marquante. Une drôle d'histoire de peinture qui créerait le sentiment de satiété à quiconque la contemple, phénomène exploité par les pouvoirs publics à la sortie de la guerre pour tenter de nourrir la population. Avec les dérives qu'on peut imaginer et le parti que peut en tirer Marcel Aymé.
Au bilan, un recueil centré sur la toute fin de la guerre et qui constitue un témoignage intéressant sur les préoccupations et les schémas de pensées de l'époque. Et ludique, en plus!
Que se passe-t-il donc dans On n'est pas des boeufs ?
Retenons, entre autres, des lapins ivrognes, l'histoire hilarante d'un bouchon bavarois, un beau barbu insomniaque, des culs-de-jatte militaires, un vieillard trop propre, un bénitier géant, une calomnie, un hôtelier perclus d'avarices comme on dirait de varices, un miracle indiscutable, des sandales en peau de pauvres, et une légitime réclamation du mercure des thermomètres.
Après le succès de Vive la Vie ! chez le même éditeur, voici un autre opus de notre Allais national, à lire, à offrir, et à relire.
Voilà, je vous ai fait l'article. Si avec ça, vous ne l'achetez pas, je mange mon chapeau.
Prière de m'éviter toute indigestion liée à l'abus de textile dans mon précieux oesophage
Une première publication, c'est toujours un moment exceptionnel pour un auteur ! Daniel Forte nous confie ici neuf nouvelles, fruits de son univers créatif.
Découvrez la frêle Lily, le solide Allan, Vicenté dans une position, ma foi, plutôt surprenante, ou encore Mendélito et l'étrange Roi des Néants, Léon le petit débrouillard, Muriel, Charles, Arnold, Annette... Entre la France et les Amériques, voyagez à la rencontre de ces héros du quotidien, qui pourraient bien vous amener... vers un ailleurs. Avec toujours, dans chacune de ces histoires, un fil rouge comme un clin d'oeil adressé à nous, lecteurs... À vous de le trouver !
Des Amours ! est le premier recueil de nouvelles de Daniel Forte, un passionné des histoires de vie, d'amour et de hasard, en prise directe avec le monde d'aujourd'hui. Monde magnifique ! Et pourtant Monde de l'éphémère et de la sixième extinction...
Alfoncine Nyélénga Bouya, nouvelliste, romancière et, poétesse à ses heures perdues, est née à Brazzaville (République du Congo) et vit à Bruxelles en Belgique. Pour avoir sillonné le monde dans le cadre professionnel, cette grand-mère de quatre petits-enfants, retraitée des Nations Unies, n'en finit pas de faire voyager ses lecteurs dans les pays qu'elle a visités et où elle a vécu.
Après « Makandal dans mon sang » et « Le rendez-vous de Mombin-Crochu », « Un saut à Poto-Poto » est son troisième ouvrage.
Solène, enseignante à Nantes, et Arjen, spécialiste de médecine intensive, sont l'un pour l'autre de parfaits inconnus. Leur rencontre, dramatique, va pourtant révéler l'existence d'un lien singulier et mystérieux.
Entre un futur du 25ème siècle empli de menaces pour l'humanité et un présent incertain, où commence le rêve, où s'éteint la réalité ?
Le mal sommeille en chacun de nous comme un fauve endormi qu'un tout petit rien pourrait réveiller, pour le pire. C'est cet éveil, ce jaillissement de sauvagerie, cette explosion de folie, ce moment de non-retour, que les six histoires du recueil mettent en scène. Sous vos yeux, des hommes et des femmes ordinaires vont perdre le contrôle et céder à leurs instincts primaires. L'alcool, la drogue, la maladie et même l'amour apparaissent alors comme autant de facteurs aggravants de leurs désordres internes.
Chaque récit fait référence à une chanson de la scène rock française et en porte le titre. Tout à la fois la fois désespérée, acide, cynique et tendre, voici donc la bande-son de vos idées noires. Prenez garde, le Dysfonctionnement de l'être vous guette peut-être, vous aussi, à votre insu.
Durant plusieurs années, Gaylord Kemp a tenu un blog spécialisé dans la littérature noire. Il est aussi le créateur du Salon du polar de Noeux-les-Mines et des éditions Aconitum, qu'il dirige.
Ariana va-t-elle briser son rêve d'enfance et accepter de voir sa mère vieillir ? Jonas a-t-il vraiment rencontré le même jour la même femme avec 60 ans d'écart ? Qui est ce tueur en série qui s'intéresse tant à la vitesse ? Qu'est-ce qui pousse Tyler à rester dans l'immobilisme de Cuba, pays qu'il découvre à peine ? En séjour à la villa Médicis, cette romancière affirmée va-t-elle tomber dans les bras du jeune historien d'art qui lui sert de guide ? Comment gagner du temps en parlant avec son chat ?
En 13 nouvelles - dont un mini-polar de 50 pages - Bernard Thomasson s'empare du temps, pourtant insaisissable, et le conjugue dans des récits de vie troublants et touchants.
Entre le temps absolu régi par les lois physiques et celui que nous ressentons, parfois trop court ou parfois très ennuyant, il créé ce qu'Étienne Klein appelle dans sa préface un « tiers-temps » où la fiction entraîne le lecteur à la recherche de son propre temps.
Auteur de plusieurs romans au Seuil ou chez Flammarion ('Un été sans alcool' sur la Résistance, plusieurs fois primé, 'Ma petite Française' qui raconte Berlin, ou '42 km 195' véritable plongée au coeur du marathon), Bernard Thomasson dévoile ici une nouvelle face de son talent.
Niveau B1
Bienvenue à bord
Cette nouvelle est basée sur le classique principe suivant : un paragraphe introductif commun, deux personnages, et trois courtes histoires au dénouement différent.
Une cabine d'avion, classe affaires, une tempête, o๠pluie et vents se déchaînent, un homme installé dans son siège, une place vide à ses cà´tés.
Qui va venir s'y installer et comment les évènements vont-ils tourner ?
This novella is based on the following principle: the same paragraph introduces three short stories each with a different ending.
The business class cabin in a plane, a violent and windy rainstorm, a man in his seat with the adjoining seat unoccupied. Who is going to come and sit next to him and what will be the chain of events from then on?
Niveau B1
Bienvenue à bord
« Décollage imminent ! » est une nouvelle basée sur le principe suivant : un paragraphe introductif commun et trois courtes histoires au dénouement différent.
Une cabine d'avion classe affaires, une tempête, o๠pluie et vents se déchaînent, un homme installé dans son siège, une place vide à ses côtés.
Qui va venir s'y installer et comment les évènements vont-ils tourner ?
« Decollo imminente » è una novella basata sul classico principio : un paragrafo introduttivo comune, due personaggi e tre storie brevi con diversi epiloghi.
La cabina di un aereo, classe business, una tempesta, in cui pioggia e venti si scatenano, un uomo seduto sulla sua poltrona, un posto vuoto accanto al suo.
Chi verrà a sedersi accanto e cosa succederà Â ?
Laissez-vous séduire par 7 nouvelles signées Désiré Nelson.
Embarquez vers un voyage mélancolique où s'entremêlent les émotions.
L'amour, la haine, la trahison, la vengeance et la mort sont au centre de l'oeuvre. Un univers où les maux de la société laissent place au clair-obscur.
Désirez-vous couper la corde qui relie à votre côté sombre ?
Cédric Ronnoc est de retour avec un recueil de sept nouvelles inédites. Dans « Tels des échos », l'auteur se dévoile en peu plus en endossant les costumes de quatre jeunes gays : Bastien, Stéphane, Paul et Nicolas. Un plan drague devant un arrêt de bus ou dans un café pour Bastien et Stéphane, suivi d'un face-à-face dans un sex-club. Une analyse aussi lucide que désabusée de ses errements pour Paul. Et, un retour vers le passé en quête de l'origine de ses sentiments pour Nicolas, le héros de la première nouvelle de l'auteur « Ce que le backroom révélait de lui ».
Vendue par avarice, Marianna se retrouve esclave dans la plantation des Fromont sur l'île de Marie-Galante. Son teint pâle et son caractère bien trempé lui attirent des ennuis au quotidien. C'est le corps marqué par sa vie d'esclave qu'elle affronte chaque journée de servitude avec l'espoir d'être un jour libre.
L'amour, la joie et le bonheur ne semble pas être au rendez-vous, pourtant une rencontre suffit pour tout bouleverser.
Marianna incarne le souffle de liberté qui émane de l'année 1848.
La nuit était belle. Le château, rempli de bruit et de mouvement, laissait échapper des flots de lumière et d'harmonie. Dans les salons, les danses tournoyaient en cercles capricieux, à la lueur pâlissante des bougies. De belles femmes et de jeunes hommes, la joie du plaisir sur les lèvres et clans le regard, évoquant du tombeau les siècles passés, promenaient à travers les lambris dorés leurs costumes de velours et de satin magnifiquement brodés. Les fleurs mouraient dans cette chaude atmosphère. Une large galerie, couverte d'un tapis moelleux, ornée de statues de marbre, de vases du Japon garnis de camélias, éclairée par des lampes d'albâtre, conduisait aux jardins. Au dehors, la façade et les abords du château resplendissaient de mille feux de couleur. Et puis, à mesure qu'on s'enfonçait dans le parc, une obscurité mystérieuse succédait graduellement aux clartés trop vives, protégeant ceux qui, las de la foule et du bruit, cherchaient dans les charmilles et sous les ombrages quelques instants de repos. Plus loin, un orchestre champêtre invitait les paysans à la danse, et le vin, coulant à pleins bords, ravivait leurs joies et désaltérait leurs vigoureuses ardeurs.
Une adolescente harcelée par son double. Un comptable dans la peau de James Bond. Un assassin altruiste en mission. Un père abandonné par ses enfants. Un clochard face à l'indifférence. Une femme qui rêve de viol tous les soirs. Un écrivain trop heureux pour écrire et un couple au bord du bonheur.
Quinze histoires de perdants, de combattants, d'inadaptés entre introspection, anticipation, humour noir et abandon. Quinze histoires d'humains trop souvent seuls, même dans la foule.
Ce recueil comporte quinze nouvelles subtilement liées les unes aux autres, dessinant autant de portraits de femmes troublants : de la femme passionnée à la femme criminelle, en passant par la femme meurtrie, la femme désabusée... Des femmes singulières et plurielles à l'âme tourmentée et au coeur enflammé. La femme est un mystère qui ne cesse de captiver...
Voici les petites histoires fantaisistes de feuilles aventureuses, aventurières, amoureuses ou tout simplement magiques ! Au travers de ce recueil de huit nouvelles, l'Auteur a pu donner quartier libre à son imagination, tout en proposant une lecture facile et distrayante.
'Ma petite feuille, à moitié enfouie dans la main de son chauffeur d'aventure, rougit de plaisir sous le chatouillis ainsi occasionné... Christophe est tellement intrigué qu'il ne peut attendre davantage pour venir frapper à ma porte...'
'... Cher Lecteur je ne peux vous dévoiler la suite de la soirée... La décence me l'interdit !...
'Les mystères de la nature nous étonneront toujours... Je peux, juste vous dire que...