« La bataille était loin de voir venir sa fin, Le jour sur son déclin, en vain perdrait sa force, Bien des humains mourraient en souffrances atroces. Le monde des dragons déclinerait-il enfin ? ... C'est alors qu'arriva du fond de l'horizon Une horde sauvage de dragons assassins Montés par des humains, renégats et griffons, Dernier espoir sans doute du règne du Malin. » Extrait de La Chanson d'Athorn par Rollofin (3701-3780). Dans un monde déjà profondément marqué par le cataclysme, le retour du prince Athorn s'annonce comme une promesse, celle de la paix retrouvée au sein du royaume. Notre héros devra alors faire preuve de bravoure pour combattre les monstres qui menacent son monde et affronter l'une des batailles les plus marquantes dans l'histoire de Terra, la Lune, Mars et Proxima du Centaure... "Athorn et les créatures" s'impose comme un tome clef de cette saga ambitieuse, marquant un tournant décisif dans l'univers débordant d'imagination d'Armand Bourgeois.
La mort de Hkjiman mit un terme à la guerre sans fin que se livraient les humains et les Mhyrs. Des jours heureux se succédèrent dans le dur labeur de la vie courante à Sirrakh. Un matin, sans s'annoncer, les Envahisseurs débarquèrent. Le lendemain, ils attaquèrent. L'ordre du président de la République était clair : prendre le territoire et bâtir une aire de loisir. La réaction des Dhaliens et des Impurs était futile. Même l'aura grandiose de Sirius et de ses frères ne pouvait protéger les villageois contre les actions viles des Envahisseurs. Cependant, la résistance allait provenir d'un endroit invraisemblable. Sans soulever le moindre soupçon, un nouveau meneur mettait ses pions en place... Dans ce dernier chapitre de la trilogie des Dhaliens, la vérité sortira finalement et elle explosera au nez de Sirius, Jéhol et Stovall. Sauront-ils gérer ce dénouement inattendu ou tomberont-ils dans le piège de la retraite dorée ? Ménageant suspense, révélations et coups de théâtre, "La Prophétie des Dhaliens" conclut de manière fracassante la fresque ambitieuse de Simon Tétreault.