Une approche totalement nouvelle de l'Holocauste où J.R. dos Santos donne la parole à ceux qui l'ont perdue.
Le grand magicien Herbert Levin, sa femme et son fils ont été déportés à Auschwitz où ils tentent de survivre. Le soldat Francisco Latino a réussi à se faire engager dans l'armée SS pour tenter de retrouver sa fiancée russe enfermée, elle aussi, dans les camps de la mort.
Ils ne savent pas encore qu'ils vont devoir coopérer pour survivre. Et les choses se compliquent lorsque les prisonniers du Sonderkommando commencent à préparer un soulèvement majeur et que Levin se retrouve au coeur de la révolte.
C'est à partir des manuscrits cachés près des fours crématoires et écrits par ceux qui ont côtoyé l'horreur jusqu'à son paroxysme, que J.R. dos Santos a construit son roman.En donnant la parole à ceux qui l'ont perdue, il propose une approche totalement nouvelle de l'Holocauste.
"J'ai lu des centaines de livres sur ce sujet, mais celui-ci est dfifférent.J.R. dos Santos apporte des éléments nouveaux et encore inconnus sur la vie dans les camps d'extermination."Márcio Pitliuk, directeur de l'association pour Yad Vashem au BrésilPrague, 1939. Les Allemands envahissent la Tchécoslovaquie où se sont réfugiés Herbert Levin, sa femme et son fils pour fuir le régime nazi. Le magicien, qui se fait déjà appeler le " Grand Nivelli " est très vite remarqué par les dirigeants SS fascinés par le mysticisme et les sciences occultes.
Léningrad, 1943. Le jeune soldat Francisco Latino combat pour Hitler au sein de la Division bleue espagnole. Ce légionnaire réputé pour sa brutalité se fait remarquer durant le siège russe. Les SS décident de l'envoyer en Pologne où les enjeux sont devenus prioritaires.
Ni Herbert Levin, ni Francisco Latino ne savent encore que leurs destins vont se croiser à Auschwitz. Un destin qui va dépasser leur propre histoire.
Avec son exigence constante de vérité, J.R. dos Santos aborde ici l'un des sujets les plus douloureux de l'histoire contemporaine. C'est grâce aux très précieux, et encore méconnus, manuscrits retrouvés enterrés près des fours crématoires, qu'il arrive à nous amener au plus près de l'histoire et au coeur de l'enfer.
Il fut un temps où deux espèces humaines coexistaient sur terre : Sapiens et Néandertaliens.Que s'est-il passé pour que l'une d'elles disparaisse ?Alors que la dernière période glacière menace, deux clans s'opposent. L'homme de Néandertal et l'Homo Sapiens s'apprêtent à vivre la première et la plus terrible guerre de l'humanité. Une guerre qui mènera à l'extinction totale de l'une des deux espèces. Ainsi, ceux qui vont dominer le monde seront ceux capables à la fois de la pire violence et de la plus grande compassion.
La vie du mystérieux Arménien qui a régné sur le monde du pétrole et sur celui de l'art.
Alors que l'Empire ottoman s'effondre et que les Arméniens sont persécutés, la famille du jeune Kaloust se réfugie à Constantinople.
Le garçon, déjà connu pour son intelligence hors du commun, est émerveillé par la capitale
du Bosphore et se pose pour la première fois la question qui allait le poursuivre toute sa vie :
" Qu'est-ce que la beauté ? "
Il ne sait pas encore qu'il va régner sur le monde naissant du pétrole, devenir l'homme le plus riche et le plus puissant de la planète... et le plus grand collectionneur de tous les temps.
Inspiré de faits réels, L'Homme de Constantinople relate la vie extraordinaire du mystérieux Arménien, Calouste Gulbenkian, qui a changé le monde - et consacre définitivement J.R. dos Santos comme un auteur majeur des lettres portugaises et l'un des grands écrivains contemporains.
L'apogée et la fin de la vie du mystérieux Arménien qui a régné sur le monde du pétrole et sur celui de l'art.
L'organisation mondiale de l'industrie pétrolière est désormais établie et Kaloust Sarkisian devient l'homme le plus riche du XXe siècle. Vivant entre ses suites du Ritz à Paris et à Londres, l'homme d'affaires se consacre à sa collection d'art et à ses jeunes maîtresses. Mais l'Histoire va le rattraper.
L'horreur du génocide arménien puis le chaos de la Seconde Guerre mondiale forcent le millionnaire arménien à chercher une nouvelle ville pour s'installer. Il choisit Lisbonne ; un choix qui étonne tout le monde... notamment le dictateur Salazar qui ne voit pas cela d'un bon oeil.
Avec la magie propre à J.R. dos Santos, ce deuxième roman nous fait comprendre combien ce petit Arménien si mystérieux a bouleversé l'ordre mondial. Il explique également comment il a marqué l'histoire des Portugais et notamment celle de Lisbonne, en léguant toute sa collection d'Art à la ville. Aujourd'hui, la Fondation Gulbenkian est l'une des plus riches et des plus importantes d'Europe.
SOMMES-NOUS VRAIMENT SEULS DANS L'UNIVERS ? CE QUE LA SCIENCE A DÉCOUVERT.
Un observatoire astronomique capte une émission étrange venue de l'espace sur la fréquence de 1.42 GHz.
Un signe de vie. Le gouvernement américain et l'ONU en sont immédiatement informés.
Un objet se dirige vers la terre. La NASA prépare d'urgence une mission spéciale internationale pour aller à la rencontre du vaisseau inconnu. Tomás Noronha, le célèbre cryptanalyste, est recruté pour faire partie de l'équipe d'astronautes. Ainsi commence une histoire à couper le souffle qui nous entraîne au coeur du plus grand mystère de l'univers.
Chez nous, à l'île Maurice, en 1941, il y avait des détenus allemands et juifs. Les deux prisons étaient à 500 mètres l'une de l'autre. Et moi, Charles Féline, j'étais le surintendant des deux établissements.
Est-ce parce que le vieux Werner Gabrielsky de Bratislava et le jeune et beau lieutenant Hans Dhennel de la Kriegsmarine, amis du quotidien, me sont devenus chers que je suis à ce point troublé ?
Avec eux, je traverse une guerre qui se déroule à 10 000 km de nous et qui ne me regarde pas. Mais qui est devenue réalité depuis que bourreaux et victimes, charriant douleurs et mystères, sont venus s'installer sur notre terre. Construire des ponts sur des rivières asséchées sert-il à quelque chose... Je ne le sais toujours pas.
James Joyce était son père. Samuel Beckett, son grand amour. Voici son histoire.
Lucia Joyce, la fille unique de James Joyce, est une énigme. En 1929, elle était l'étoile montante de la danse contemporaine à Paris. En 1934, à l'âge de vingt-six ans, elle est totalement brisée et disparaît de la vie publique, passant le reste de sa vie enfermée dans des asiles psychiatriques. La plupart de sa correspondance et de ses dossiers médicaux ont été détruits. Qui est-elle et que lui est-il arrivé ?
La Fille de Joyce donne enfin une voix à Lucia.
Inspirée d'une histoire vraie, La Fille de Joyce est le récit émouvant et passionnant de la vie de Lucia, une artiste sans oeuvre, brisée par l'amour destructeur de son père et premier martyre de la psychiatrie."Impress Prize" pour les nouveaux auteurs en 2015.
Un engouement mondial. Droits étrangers vendus dans 15 pays (États-Unis, Espagne, Italie, Allemagne, Portugal, Corée, Chine...)
Angleterre, 1835. Lorsque Eliza Acton reçoit la commande par son éditeur d'un livre de cuisine au lieu de la poésie qu'elle affectionne, elle refuse. Jusqu'à ce que son père en faillite soit contraint de fuir le pays. En tant que femme, Eliza a peu d'options. Elle commence à collectionner des recettes et à apprendre à cuisiner. À sa grande surprise, elle se découvre un talent - et une passion - pour les arts culinaires.
Pour l'aider, elle engage Ann Kirby, dix-sept ans, fille démunie d'un père blessé par la guerre et d'une mère qui perd son emprise sur la réalité. Sous la tutelle d'Eliza, Ann apprend la poésie, la cuisine et l'amour, tout en perçant un mystère dans le passé de sa maîtresse. À travers l'art de la cuisine, Eliza et Ann développent une amitié inhabituelle et réinventent les livres de cuisine.
Basé sur l'histoire vraie de la première auteure de cuisine moderne,
Miss Eliza est un roman envoûtant sur l'amitié féminine, la lutte pour l'indépendance des femmes, la maternité, la volonté de réussir pour une femme et, bien sûr, la passion de la cuisine et les prémices d'une cuisine saine.
Avril 1545, quinze ans avant les guerres de religion, l'enfer en Luberon.
Par un soir de tempête, un jeune homme épuisé et blessé surgit dans la bastide d'un paysan. C'est Arnaud de Montignac, capitaine aux gardes de Marguerite de Navarre. La soeur de François Ier l'envoie auprès d'un seigneur ami pour s'informer de ce qui se trame sur les bords de Durance. Trois armées en ordre de bataille, celle du roi de France, les troupes pontificales et les forces provençales, s'apprêtent à fondre sur le pays pour en chasser des paysans condamnés pour hérésie. Les " vaudois " du Luberon, disciples de Pierre Valdo, à qui ils doivent leur nom, vont subir une véritable croisade, quinze ans avant les guerres de Religion. Au terme d'une semaine sanglante, neuf villages seront détruits, dix-huit autres pillés, trois mille paysans massacrés ou envoyés aux galères, leurs femmes violées et leurs enfants vendus, le pays dévasté pour longtemps.
Sur cet épisode tragique délaissé par la grande Histoire, Le Printemps des maudits, avec son lot d'intrigues, de combats, de chevauchées et d'amours en péril, retrouve la saveur des romans de cape et d'épée chers à Alexandre Dumas.
" Yuan fen : rencontre prédestinée voulue par le ciel "
" Avec ta gueule cassée tu feras des ravages et si tu ne fais pas des ravages, tu feras fortune et si tu fais fortune, tu feras des ravages. " répétait l'oncle de Chao.
Depuis son tragique accident alors qu'il n'a que 6 ans, Chao sait qu'il est différent. L'acupuncture, mais aussi un livre d'images sur la France, l'aident à chercher ailleurs que dans ses blessures ce qu'il va devenir.
À 21 ans, tandis qu'il participe à l'éclosion d'un empire familial dans une Chine en pleine ébullition, Chao choisit Paris. Il sait qu'à la pointe du Vert Galant, face à l'eau docile ou impétueuse, quelqu'un l'attend.
Inès avance dans sa vie avec douleur et détermination. Elle est française, mariée, mère de deux enfants. Tout les éloigne l'un de l'autre.
Mais ni Chao, ni Inès ne résistera à l'énergie lumineuse, née de leur rencontre dans un café parisien. Cela se nomme
yuan fen, rencontre prédestinée voulue par le ciel.
1360. L'Angleterre vient de se lancer dans une guerre dont on ne sait pas encore qu'elle durera cent ans.
Robert Waringham, jeune noble de 12 ans élevé dans un monastère, apprend le même jour que son père est mort et que, accusé de haute trahison, il a été déchu de son titre et de ses terres. Le garçon choisit pourtant de s'enfuir pour retourner vivre à Waringham, de changer son nom en Robin et d'y travailler aux écuries où il se découvre un étrange don de communication avec les chevaux.
Robin comprend très vite que son père a été faussement accusé et assassiné par le Prince Noir, mais il prend son mal en patience. Il reste sur ses terres en tant que garçon d'écurie, même si Mortimer, le cruel fils du nouveau maître de Waringham, ne cesse de l'humilier.
Alors qu'il est suffisamment âgé pour partir à la guerre, il décide de suivre le charismatique duc de Lancastre, frère du Prince Noir. Saura-t-il reconquérir son nom et son fief sans succomber aux séductions de la Cour, aux violences de la guerre, aux intrigues de son ennemi juré Mortimer ?
Au fil des fortunes et des infortunes de Robin, c'est toute l'Angleterre à l'époque la Guerre de Cent Ans qui prend vie dans ce roman-fleuve passionnant.
Second tome d'une série de cinq romans qui s'est vendue à 2 millions d'exemplaires en Allemagne.
Angleterre, 1413. Lorsque Jean de Waringham, jeune noble de treize ans, apprend que son père souhaite le voir embrasser une carrière ecclésiastique, il s'enfuit du château familial et se met en route pour Londres.
À Westminster, il rencontre le roi Henri V. Embarquant pour la France aux côtés du charismatique souverain, il ne tarde pas à être armé chevalier et se distingue sur le champ de bataille par ses actes de bravoure.
Les troupes anglaises sont en passe de remporter la guerre, mais la mort subite du vaillant monarque plonge le royaume dans une crise profonde, car son fils est à peine âgé de huit ans. Le jeune héritier devient la cible d'attaques de tous bords, et Jean est alors chargé de le protéger...
La saga des Waringham renoue avec le genre de la série historique addictive. Le lecteur suit les aventures de la dynastie des Waringham dans l'Angleterre du Moyen Âge. Pendant plus de cent ans, du début de la Guerre de Cent Ans jusqu'à la fin, ces héros, chevaliers au coeur noble, se battent au côté de la couronne et nous font pénétrer dans les intrigues de la cour.
Angleterre, 1455. Suite à la guerre fratricide entre les Lancaster et les York pour le trône d'Angleterre, Julian devient à 18 ans, et de manière tout à fait inattendue, le nouveau comte de Waringham. Mais quand Édouard IV, le premier roi des York, revêt la couronne, le jeune noble voit son avenir s'obscurcir.
Bien que conscient des qualités de monarque d'Édouard, Julian rejoint la résistance des Lancaster sous la figure de la reine déchue, Marguerite. Marguerite a des méthodes très particulières pour s'assurer la fidélité de ses vassaux. Et le fait que la soeur jumelle de Julian soit une criminelle recherchée n'arrange pas les affaires de celui-ci...
Dans la salle d'attente d'une clinique serbe, une mère attend. Eva, sa fille de seulement dix-huit ans, sera un homme dans quelques heures. En un dialogue sans réponse, la mère d'Eva tente de comprendre comment elles en sont arrivées là. Une relation mère-fille inédite et bouleversante.Une mère parle à sa fille entre les murs d'une clinique serbe. Eva vient juste d'avoir dix-huit ans et elle attend ce moment depuis qu'elle est née. Elle veut changer de sexe en se soumettant à l'intervention qui fera d'elle ce qu'elle s'est toujours sentie : un homme.
En un dialogue sans réponses, suspendu entre l'imaginaire et le réel, la mère d'Eva raconte leur vie jusqu'à ce moment. Elle refait le chemin comme si elle s'aventurait sur une terre étrangère, en quête d'une erreur de sa part qui aurait tout précipité. Sa voix est concrète, touchante ; elle parle sans fard d'un combat sans vainqueur ni vaincu, où la défaite n'existe pas, où la forme la plus pure de l'amour doit lutter pour comprendre, pour accepter.
Onze ans après avoir quitté Marseille, Thibault de Cervières s'apprête à revoir les siens. Alors que le trois-mâts corsaire sur lequel il est embarqué s'approche lentement du port de la cité, le jeune homme rêve à ces retrouvailles. C'est un chaos général qui l'accueille pourtant alors qu'il pose les pieds sur le quai de la Ville.
Onze ans après avoir quitté Marseille, Thibault de Cervières s'apprête à revoir les siens. Alors que le trois-mâts corsaire sur lequel il est embarqué s'approche lentement du port de la cité, le jeune homme rêve à ces retrouvailles. C'est un chaos général qui l'accueille pourtant alors qu'il pose les pieds sur le quai de la Ville.
Depuis quatre ans, Marseille qui refuse de reconnaître Henri IV, " le roi hérétique ", vit sous le joug de deux chefs sanguinaires Charles de Casaulx et Loys d'Aix. La ville est exsangue, la terreur règne, les protestants ont été exterminés, les Marseillais ont peur. Dans cette ville dévastée et bâillonnée, Thibault se retrouve seul et sans nouvelle de personne. Ses connaissances en médecine l'amènent au coeur de la misère et de la folie qui règnent en maître. Aidé de la seule personne qu'il connaisse, le très riche et impitoyable corsaire Simon Danzer, il part à la recherche de son père, de sa soeur et de son identité perdue.
Ce roman historique est allé puiser ses sources et ses personnages dans les archives mêmes des services secrets anglais. Les personnages principaux ont eu une existence réelle et leur sacrifice ravive la mémoire d'un épisode méconnu de la Seconde Guerre mondiale : le rôle joué par les réseaux anglais auprès de la Résistance française.
Dans la nuit du 14 août 1943, un bombardier Halifax-B special parachute un agent secret au-dessus de la France occupée. C'est une jeune femme de 26 ans, Helene Newman, formée à l'école des agents secrets du Special Operations Executive (S.O.E.) créé en 1940 par Churchill et dont le but est de " mettre le feu à l'Europe ". La mission d'Helene : rejoindre à Marseille le réseau Junkman dont elle sera l'agent de liaison auprès des maquisards. Avec Charles, Albert et Julien, elle risquera sa vie tous les jours dans une insouciance confondante et avec le charme et l'élégance d'une actrice de cinéma. Julien ne sera pas indifférent à cette Anglaise née à Marseille, revenue dans sa ville pour mieux la sauver et avec qui il enchaînera les trajets déguisés sur les routes départementales du Haut-Var.
Mais dans la ville de tous les dangers, quadrillée par les services secrets de l'Abwehr, la Gestapo et leurs complices du milieu marseillais vendu à la Collaboration, tous veulent oublier que cette mission peut vite devenir un voyage en enfer.
La force de ce roman qui raconte l'histoire de Srebrenica tient dans le choix narratif. Marco Magini fait parler les consciences humaines avec une finesse et une humanité déroutantes. Des consciences humaines qui vont devoir renoncer à la notion même de justice. Le choix d'un des passages les plus dramatiques de l'histoire européenne récente, ainsi que le style, dont l'aridité porte en creux la puissance émotionnelle, font de ce récit un texte à part.
Drazen Erdemovic est un jeune homme d'une vingtaine d'années lorsque la guerre éclate dans son pays, la Yougoslavie. Il doit alors participer à un conflit décidé par une autre génération et faire des choix irréversibles pour sa famille et pour lui-même. Des choix qui vont mettre son âme à nu.
L'évocation du massacre et du procès qui s'est ensuivi au Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie est confiée à trois voix qui alternent dans une partition bien rythmée.
La voix du magistrat espagnol Romeo Gonzalez évoque le déroulement du procès et met en évidence les motivations, souvent bien subjectives, des juges à l'heure de rendre leur verdict.
La voix de Dirk, casque bleu néerlandais en garnison à Srebrenica, parle au nom du contingent de l'ONU, coupable de ne pas avoir empêché le massacre.
Et la voix du soldat serbo-croate Drazen Erdemovic, véritable protagoniste de l'histoire, volontaire dans l'armée serbe, est celle du seul soldat ayant avoué sa participation au massacre, le seul jugé et le seul condamné.
+ Finaliste du prix Calvino, mention spéciale du jury
+ Finaliste du prix Stregga
+ Lauréat du prix Un roman pour le cinéma
+ Lauréat du prix du premier Roman de Chambéry
1520-2020 - Cinq-cents ans après la mort de Raphaël, Francesco Fioretti tente de lever le mystère sur son étrange disparition à seulement 37 ans.
Le portrait inattendu de Raphaël, qui n'était pas seulement le grand maître de la Renaissance, mais aussi la victime d'une puissance insaisissable.Rome, 1519. Après des années d'efforts et de compromis, après le départ de Michel-Ange et de Léonard de Vinci, Raphaël est enfin le maître incontesté de la capitale. Mais très vite, la Ville éternelle se révèle être un nid de vipères, où envie et hostilité se cachent derrière les sourires de circonstance. Et lorsque le pape Leon X nomme le peintre de génie responsable des fouilles archéologiques romaines, les choses empirent.
Rome cache de nombreux trésors appartenant à la papauté, mais beaucoup se trouvent sur les terres des plus grandes familles de la ville qui ne sont pas prêtes à y renoncer. Raphaël pense trouver une solution en dessinant une carte de la Rome impériale.
Une carte qui résistera au temps et aux intérêts individuels. Mais quelques mois plus tard, Raphaël, le noble banquier Chigi et le cardinal Bibbiena, ses grands amis, meurent tous les trois dans des circonstances étranges.
La rumeur parle de vies désordonnées et de mauvaises amours, mais pour Pierre l'Arétin, poète et ami de Raphaël, et pour Margherita, muse et maîtresse du défunt peintre, ces trois morts sont l'oeuvre de la même main meurtrière. Et pour le découvrir, ils vont devoir plonger au coeur des accords secrets et des alliances mystérieuses les plus inattendues.
À travers des textes inédits, Marijosé Alie nous livre un nouvel éclairage sur la pensée et la vie du célèbre homme de lettres Aimé Césaire.
La première rencontre de Marijosé Alie avec Aimé Césaire remonte à 1983. " Simple journaliste " pour France 3 Outre-Mer en Martinique (elle deviendra par la suite directrice de la rédaction de RFO Martinique), elle réalise le premier grand documentaire consacré au poète et député-maire de Fort de-France ; jamais Césaire ne s'était encore livré face caméra.
Alors qu'elle dirige RFO Martinique, elle réalise un deuxième documentaire -
À bout du petit matin - au soir de la retraite politique de Césaire, en mars 2001, après 56 ans à diriger la ville de Fort-de France.
Le dernier grand documentaire qu'elle dirige -
Le Nègre fondamental - est diffusé sur France 5 en novembre 2007, à peine 6 mois avant la mort de Césaire.
Au-delà de ces rencontres et interviews, ce sont vingt-cinq ans d'échanges et de complicité que raconte Marijosé Alie dans ce livre. Lorsqu'elle vivait en Martinique, elle passait toutes les semaines à la mairie de Fort-de-France voir Césaire ; elle est sans doute la seule journaliste à être entrée dans son intimité et à avoir eu cette relation personnelle, affective et intellectuelle avec lui.
Deux sur deux est le roman de l'amitié entre Mario, le narrateur, et Guido, un camarade de classe.
Mario est un adolescent comme il y en a tant, indécis, apeuré par la vie et les choix qu'elle lui offre, en quête sans doute d'une image paternelle que sa famille ne lui propose pas. Or Guido a du charisme à revendre, une autorité et une aisance naturelles qui séduisent tous ceux qui le rencontrent. La vie l'enthousiasme, mais il en refuse toutes les contraintes, au risquede se retrouver progressivement isolé.
Née de ces différences, l'amitié de Mario et Guido se poursuit et se renforce au fil des années : à l'école, après l'école et pendant leur vie adulte. Elle unit et change à jamais leurs deux vies...
En Espagne, l'évêque de Burgos est bien décidé à faire ériger la plus grande et la plus lumineuse cathédrale du pays. Il fait alors appel au jeune maître bâtisseur Henri de Rouen, qui détient le très précieux secret du nombre d'or. Teresa, jeune peintre aux origines cathares doit s'adapter à ces nouvelles règles architecturales qui ne laissent que peu de place à la peinture. Son art et l'atelier qu'elle dirige y survivront-ils ?
À l'aube du XIIIe siècle, alors que les rois d'Europe lancent les dernières
croisades en terre Sainte, les évêques portent tous en eux le rêve d'ériger
leur propre cathédrale. Avec Chartres, Rouen et Notre-Dame-de-Paris,
la France a lancé un mouvement architectural sans précédent et plus
personne ne peut imaginer un édifice sans y laisser toute sa place à la
lumière. Nous sommes aux débuts de l'art gothique.
En Espagne, l'évêque de Burgos est bien décidé à faire ériger la plus
grande et la plus lumineuse cathédrale du pays. Il fait alors appel au jeune
maître bâtisseur Henri de Rouen, qui détient le très précieux secret du
nombre d'or. Teresa, jeune peintre aux origines cathares doit s'adapter à
ces nouvelles règles architecturales qui ne laissent que peu de place à la
peinture. Son art et l'atelier qu'elle dirige y survivront-ils ?
Dans cette parenthèse médiévale où la femme jouit d'une grande liberté,
dans cette période lumineuse du culte de l'amour et de l'intelligence,
Teresa va réussir à faire de Henri de Rouen son allié et bien plus encore.
Mais leur amour va-t-il pouvoir dépasser tous les diktats pour faire de
cette cathédrale l'oeuvre de leur vie ?
Marqué depuis sa plus tendre enfance par une rencontre avec Michel- Ange, Aurelio, un jeune paysan d'une rare beauté, se rend à Rome pour se mettre au service du plus grand artiste de son temps. À 33 ans, Michel- Ange s'estime davantage sculpteur que peintre ; pourtant, Jules II, le " Papa terribile " de la Renaissance, s'obstine à lui confier la décoration de la voûte de la chapelle Sixtine.
Marqué depuis sa plus tendre enfance par une rencontre avec Michel- Ange, Aurelio, un jeune paysan d'une rare beauté, se rend à Rome pour se mettre au service du plus grand artiste de son temps. À 33 ans, Michel- Ange s'estime davantage sculpteur que peintre ; pourtant, Jules II, le " Papa terribile " de la Renaissance, s'obstine à lui confier la décoration de la voûte de la chapelle Sixtine. Juché sur un échafaudage à 18 mètres du sol, sa barbe tournée vers le ciel et la peinture dégoulinant sur son visage, Michel-Ange réussit le tour de force de réaliser ces fresques qui feront sa gloire. Une prouesse qu'il doit essentiellement à l'indéfectible soutien d'Aurelio, sa muse, mais également à la réalisation en parallèle d'une mystérieuse commande qui pourrait bien lui coûter la vie : une sculpture de l'un des personnages les plus sulfureux de la cité éternelle. Sans jamais s'éloigner de la vérité historique, Léon Morell retrace la période romaine de Michel-Ange, quatre années durant lesquelles, entre jalousies et luttes de pouvoir, il aura su créer l'un des plus grands chefsd'oeuvre de la peinture de la Renaissance italienne. Un roman haletant, à mi-chemin entre la biographie et le thriller, décrivant sans compromis l'ambiguïté d'une Rome entre grandeur et décadence.
À travers l'Amazonie et le long du Fleuve, un bruit court et enfle à la vitesse du courant : un convoi traverse la forêt, mais " personne ne sait ". Qui le dirige ? Où se rend-il ? Pourquoi toutes ces femmes ?
À travers l'Amazonie et le long du Fleuve, un bruit court et enfle à la vitesse
du courant : un convoi traverse la forêt, mais " personne ne sait ". Qui le
dirige ? Où se rend-il ? Pourquoi toutes ces femmes ?
Le petit village de Campan, au coeur de cette Amazonie et à l'orée du Bois
Peut-Être, vit au rythme du soleil et du Fleuve. Il y a Marie qui ne souhaite
rien d'autre que de voir sa mère sourire un jour, Félicité qui tient son bazar
et donne sans vraiment compter, aux enfants, et aux hommes aussi. Il y
a Tiouka, le guerrier blanc, qui a décidé de vivre à l'ombre d'un fromager
pour oublier. Il y a Jonathan, le fils révolté du procureur...
Tous vont sentir la rumeur approcher, emportant avec elle le goût du sang
et le souffle de l'indicible. Tous vont voir leur vie bouleversée.