Cet ouvrage se déploie en deux livres, deux grands thèmes complémentaires et additionnels qui suivent une logique économique destinée à toutes formes d'entreprises, existantes ou en création, et à tous les secteurs d'activité.
Deux livres, mais une seule idée qui suit un tracé, une ligne, un fil conducteur qui reste accessible pour une lecture vivante à tous les professionnels, les étudiants, les accédants à la création d'entreprise.
De véritables manuels pratiques, des guides didactiques utiles et complets, qui contribuent à construire la matrice économique complète de votre propre organisation.
Ce livre est composé de neuf chapitres complètement différents les uns des autres ; le lecteur pourra lire ces chapitres sans se soucier de l'ordre. Cependant, il y a un dénominateur commun entre ces chapitres, qui est un appel, un espoir, un désir, celui de la tolérance, de l'amitié, de l'entraide, de la compréhension et du respect de l'autre, quelles que soient sa religion, son mode de vie, ses idées politiques, sa race, sa couleur de peau.
La guerre, l'intimidation, la haine, l'oppression, le rejet, la stigmatisation ne sont pas productifs. C'est l'amour, l'amitié, la charité, la générosité, la solidarité, la science, la connaissance, qui sont la vérité sur cette terre.
Depuis plus de deux décennies, la région des Grands Lacs ploie sous une instabilité alimentée par des guerres récurrentes. Les conséquences dramatiques qui en résultent s'expriment en termes de milliers des morts ; de déplacés en nombre de plus en plus inconsidéré, de destructions d'infrastructures, faune et flore, de pillages... Le paradoxe offusque à comparer l'essaim de colloques et rencontres consacrés aux conflits qui secouent la région et le timide effort de judiciarisation à travers le T.p.i.r à Arusha des heurts entre autres subséquents à ceux-ci.
Ce hiatus saillant explique en grande partie la recrudescence des guerres et des violations des droits de l'homme qui sont aussi leur pendant dans la région.
Ce relief criminogène confère de toute évidence à la C.p.i le rôle imparable d'acteur (régulateur ?) dans la région des Grands Lacs.
Franchir le mur de l'imaginable n'est pas chose facile à réaliser dans une société organisée et policée comme la nôtre.
Pourtant, ce fut le cas pour les trois exemples d'aventures authentifiées, vécues et relatées dans cet ouvrage.
Choisis précautionneusement parmi de nombreux dossiers après vérifications des faits dont ils sont émaillés, les différents éléments cités ont été soigneusement authentifiés avant d'être retenus et transcrits dans cet ouvrage.
Parus dans le domaine public, les noms des protagonistes purent ainsi être cités comme ce fut le cas pour la famille Pajtler-Maggio, ainsi que pour l'organisme financier AXA BANQUE, et selon les éléments mentionnés dans le journal Français Les Echos n° 15887 qui en relate les modalités.
Le présent volume réunit les récents travaux de recherche menés par Daniel Moinier. Il y livre une analyse richement documentée de l'histoire économique et politique de la France depuis 1975. Il retrace les grandes étapes allant des « Trente Glorieuses » aux « Trente Peureuses » en passant par les « Trente Piteuses ». Selon lui, la corrélation entre augmentation de la durée de vie et diminution du temps de travail a conduit à la catastrophe. Face à ces effets dévastateurs pour l'avenir du pays, il en appelle à la mise en oeuvre de réformes radicales. Les mesures entreprises jusqu'ici par les gouvernements successifs ne sont pas parvenues à résoudre la situation de crise. L'auteur propose des solutions concrètes telles que la suppression des aides superflues ou encore l'allongement du temps de travail pour relancer la croissance et revenir à une France au minimum sans déficit.
L'auteur propose d'expliquer au grand public les caractéristiques de l'innovation et d'en analyser les enjeux économiques et politiques. Pour réaliser cet ouvrage, ce féru d'informatique est parti à la rencontre de dirigeants d'entreprises innovantes afin de mieux comprendre leur parcours. Parmi les nombreuses sociétés, citons entre autres Arduino, Rethink Robotics, iRobot, Airinov, ou encore Decathlon. À travers leur histoire, il observe l'impact des inventions sur la société et la manière dont celles-ci la transforment. Les mentalités et les modes de vie des citoyens évoluent au rythme des nouvelles technologies, des crises et des changements impliqués par le progrès. Exemples et graphiques à l'appui, l'auteur donne également un aperçu des grandes tendances et mouvements de notre époque, qu'il considère comme de nouvelles opportunités pour les innovateurs.
David Leblanc poursuit son analyse de l'innovation dans un second tome consacré cette fois-ci à ses applications socioculturelles et technologiques. Dans un esprit de partage, il diffuse l'étendue de ses recherches sur l'évolution des nouvelles technologies. Ce passionné d'inventions et de robotique se penche sur le processus de créativité depuis l'élaboration d'une idée jusqu'aux moyens mis en oeuvre pour la concrétiser. Il questionne la notion de progrès dans une perspective environnementaliste qui prend en compte les impératifs écologiques du monde contemporain. Ce second tome offre une vision des opportunités d'innovation actuelles et met en avant les grandes questions de notre époque.
Victime des convoitises depuis sa colonisation, la République Démocratique du Congo se trouve face à des décisions importantes à prendre pour son émergence et son unité.
La crise politique et économique actuelle est une opportunité pour une mise en place collective des stratégies intelligentes permettant un réel développement, partant des politiques, jusque dans toutes les couches de la société en passant par la diaspora.
La fuite des capitaux, la porosité des frontières, la généralisation des activités informelles ainsi que l'implication externe dans les choix politiques et économiques sont des maux à éradiquer pour sortir de l'impasse.
Il est possible de lever chaque année en RDC des milliards de dollars et de cesser une fois pour toute d'attendre l'« aide financière » venant d'ailleurs...
Lorsqu'on aborde le sujet du développement durable dans le milieu des entreprises, la banque semble un acteur non concerné devant des secteurs tels que l'industrie et le transport. Pourtant, la sphère financière peut avoir une influence déterminante pour promouvoir un mode de développement économiquement profitable, mais également socialement équitable et écologiquement responsable à l'échelle tant nationale qu'internationale.
Cet ouvrage revient ainsi sur la définition du développement durable et les positions des uns et des autres, sur les aspects afférents à ses différents piliers, économique, environnemental et social.
Il présente ensuite les domaines, internes et externes, dans lesquels le secteur bancaire adopte ou pourrait adopter des stratégies durables.
La France ne cesse d'affaiblir ses positions dans de nombreux domaines. La principale cause est le comportement des politiques de gauche ou de droite qui ne méritent pas d'avoir des électeurs comme les Français. En effet cette politique politicienne ne permet pas d'aborder les vrais problèmes. On constate alors un désintérêt des Français pour les politiques qui se matérialise par des taux d'absentéisme aux élections grandissants et parallèlement des votes pour le Front national qui sont de plus en plus nombreux. Cet ouvrage est un diagnostic des maux dont souffre le pays. Il met en évidence les pistes d'actions correctrices, donc les réformes à réaliser pour sortir de l'impasse.
Cet essai convie les parties prenantes de la santé-sécurité au travail à questionner le bien-fondé de l'évaluation des risques professionnels et du document unique créés respectivement il y a 27 et 17 ans.
Il s'appuie sur les travaux de la Fédération des Acteurs de la Prévention (FAP) et sur une question centrale : quel travail, quelle sécurité et quelle acceptabilité régissent aujourd'hui les risques dits « professionnels » quand le terrorisme, la cybercriminalité, le risque environnemental...peuvent impacter les activités de travail ?
Bonne conscience pour les assureurs (les entreprises fautent et elles payent), blanc seing pour les managers (je paye donc je faute), pensum pour les services RH (ils fautent et je gère), justification des préventeurs (ils fautent, j'évalue) et provende du business des cabinets de consultance ou d'expertise (ils fautent donc je gagne), est-il vraiment nécessaire de sortir d'un cadre et de remettre en cause un système qui, d'une certaine manière, permet à la grande majorité de rester à sa place ? Pendant ce temps les (ex)CHSCT, les salariés ou agents comptent les points et/ou attendent des plans d'action pour améliorer leurs conditions [du] et [de] travail.
Revisiter les notions fondamentales, impliquer chaque partie prenante, s'engager dans une approche individuelle et collective partagée et prospective, voici les pistes excentriques proposées sans prévention dans cet essai ; au seul risque de déranger quelques repères ou certitudes et de partager quelques expériences ! Le Prévackthon (hackathon de la prévention) de Préventica représente un lieu privilégié pour prolonger les échanges avec la FAP.
Les caractéristiques traditionnelles (l'inaliénabilité, la sacralité, l'indivisibilité) inhérentes aux domaines fonciers en Afrique subsaharienne sont bouleversées de nos jours en raison de l'émergence des marchés fonciers et de l'introduction du droit moderne au détriment du droit coutumier. De même, l'habitat traditionnel dans les milieux ruraux d'Afrique subsaharienne est en mutation vers le modernisme aussi bien dans son organisation spatiale que dans ses matériaux de construction. Cette dynamique du foncier et cette mutation de l'habitat rural sont l'un des facteurs liés aux crises de l'espace agricole que l'on observe aujourd'hui dans certains secteurs de l'Afrique subsaharienne surtout si on perçoit ces crises sous l'angle de l'indisponibilité et de l'appauvrissement. N'étant pas suffisamment disponibles, les terres cultivables sont surexploitées, deviennent pauvres et nécessitent alors l'utilisation accrue des intrants. Ailleurs où les terres sont suffisamment disponibles, elles sont sous-exploitées faute de force de travail et de moyens d'exploitation.
Du fait de la crise qu'a connue la Côte d'Ivoire en 2002, le secteur du tourisme et son parc hôtelier sont en berne. Pour développer cette activité qui pourrait s'avérer florissante, ce manuel clair et didactique propose d'élaborer une stratégie pour rendre un hôtel rentable en optimisant notamment les marges bénéficiaires afin d'en assainir la gestion. À l'aide d'un exemple concret - l'hôtel fictif Bon Séjour à Ziriwa -, la première étape sera de dégager les atouts d'un tel établissement et ses différentes missions. Tous les services sont revus en détail et doivent également s'adapter à l'environnement proche ou étatique. Une fois cette étude faite, il convient de réfléchir à l'optimisation des marges bénéficiaires et de mettre en place des outils adéquats tels que la programmation linéaire et la programmation dynamique. Avec l'ensemble des données collectées, le manuel propose alors de créer un modèle spécifique tenant compte des facteurs internes et externes de l'hôtel.
Ce livre relatif au droit public économique congolais porte sur l'intervention de l'État dans l'économie. Au-delà du Congo, ce livre contient des connaissances universelles susceptibles d'être transposées à tous les pays. À cet effet, il porte sur les fondements de l'action économique de l'État, les moyens mis en oeuvre par l'État, la planification économique, l'aménagement du territoire et le développement durable.
Ce livre est destiné aux étudiants et professionnels en droit, voire ceux qui préparent les cours en vue d'intégrer les grandes écoles ou la fonction publique même française.
« Ce que je vous demande concrètement peut se résumer en quelques mots simples, dépourvus de toute prétention mais qui, je l'espère, réussiront à pénétrer votre attention et à toucher votre sensibilité intellectuelle : pourquoi je suis au chômage ? Pourquoi ?! Pourrais-je seulement un jour avoir le droit d'apprendre, le droit de comprendre, le droit de savoir ? »
À travers un dialogue fictif entre un enseignant et un chômeur, l'auteur entreprend un véritable travail de vulgarisation, s'adressant, par là, à un large public de non-initiés qui aimeraient en apprendre davantage sur les origines du chômage. Son objectif n'est pas de délivrer une position personnelle sur le sujet, mais plutôt de proposer au lecteur une panoplie des plus grandes théories économiques sur cette question, et cela, grâce à un vocabulaire commun et familier.
Les traités ont concouru et concourent toujours à la diffusion du droit dans de multiples directions et domaines : frontières, relations économiques, environnement, espaces, droits de l'homme, organisations internationales, justice. Au fil des années, l'appareil normatif international est devenu de plus en plus riche et complexe, de plus en plus technique, grâce aux traités longuement et mûrement négociés.
Le droit qui régit ces instruments est une branche juridique du droit international public, traditionnellement étudiée dans le cadre de ce que l'on appelle, les sources du droit international et à travers la présentation d'un texte essentiel en la matière, la Convention de Vienne de 1969.
L'approche du présent ouvrage est un peu différente puisqu'il considère que les traités ne sont pas des sources de droit mais des modes d'expression du droit. L'objectif ici est donc d'appréhender les traités plus largement qu'à travers les seules techniques juridiques conventionnelles, de manière à en offrir une compréhension globale pour un public d'étudiants juristes et politistes du niveau master.
Le présent manuel a pour objectif une démarche didactique, simplificatrice de la problématique de la sécurité des espaces internationaux. Il aborde la question de la sécurité des espaces, uniquement de façon ratione loci. Cela consiste à étudier les règles en fonction des ensembles spécifiques qui s'appliquent à telles zones et tels espaces très différents. Compte tenu de leur importance historique et de l'actualité des progrès technologiques, l'ouvrage se consacre à trois principaux espaces internationaux : la mer, l'air et l'espace extra-atmosphérique.
Dans la dramatique économique et commerciale ultra-libérale et mondialiste contemporaine, les entreprises africaines ont du mal à faire valoir et à diffuser les spécificités de leurs produits et services, à remporter des marchés off-shore ou à l'export, et à bâtir des coopérations équilibrées avec le reste du monde que ce soit l'Occident ou l'Orient. Pour assurer le dynamisme de l'économie africaine, les acteurs du tissu économique du continent doivent protéger leur patrimoine immatériel, identifier les risques et les opportunités qui s'offrent à eux afin d'être les ambassadeurs d'une Afrique conquérante et décomplexée.
Dans ces nouvelles grilles de lecture du monde, l'Afrique semble patauger dans une zone grise où les règles de l'économie de la maîtrise et de l'exploitation de l'information stratégique pour créer de la valeur durable dans une entité n'ont pas encore été adoptées par les principaux acteurs publics comme privés du continent. Et pourtant, faire de l'intelligence économique reviendrait à donner le sens du long terme à la compétitivité des économies africaines.
Après avoir essayé au recto et au verso sans succès plusieurs modèles de développement économique, le continent africain ne devrait-il pas se résoudre à miser sur l'intelligence économique comme vecteur de croissance, d'opportunités, de création d'emplois, de valeurs et de richesses ?
Le présent ouvrage a pour objet de présenter un domaine souvent méconnu des étudiants tant juristes que politistes, un domaine international par excellence où les relations interétatiques ont une dimension très différente de celles habituelles. Les espaces internationaux forment en effet une catégorie à part, se distinguant de l'espace étatique en ce qu'ils ne relèvent d'aucune souveraineté ni exclusive ni absolue. Ce « Carnet de cours » propose une classification précise des espaces et apporte pour chacun les définitions et notions appropriées. Par ailleurs il expose les différents principes en jeu afin de déterminer les règles du savoir vivre collectif, largement codifié, que les Etats suivent dans ces espaces.
Les pays qui peinent à développer leur agriculture sont ceux où les cultivateurs n'ont pas les moyens de s'acheter un tracteur agricole nécessaire pour ce travail. Pour augmenter
rapidement la production agricole d'un village ou une région dans ces pays, le plus simple
serait qu'avec des machines agricoles l'Etat réalise de grandes plantations à partager aux
paysans auxquels il donnera une formation agricole et des semences. En compensation au moment de la récolte les paysans donneront une partie de leur récolte à l'Etat.
« L'opération coup de poing agriculture » propose mieux, c'est-à-dire la mise en place de
petites unités mécaniques pour l'agriculture (UMA) qui auront pour principal but de :
- Réaliser des plantations en partenariat avec des paysans avec lesquels il y aura un contrat de partage de production
- Réaliser des plantations pour des particuliers moyennant finances ou à crédit
- Réaliser des plantations appartenant à l'UMA
- Créer des circuits de vente ainsi que de petites unités de transformation des produits
agricoles.
C'est un concept d'entreprise de type coopérative sous contrôle de l'Etat ou d'une ONG.
La financiarisation excessive des activités, qui privilégie la spéculation et les résultats à court terme, aboutit à un gâchis économique et humain généralisé. La direction des ressources humaines est, plus que jamais, une fonction essentielle des organisations. Il faut cesser de la considérer comme une simple fonction technique et lui rendre toute sa dimension politique. C'est en comprenant les hommes et leurs motivations, en gardant le cap sur les finalités humaines de leurs activités et en se fixant des objectifs de qualité, que les organisations intelligentes de demain- administrations et entreprises - réussiront. Et les résultats financiers durables viendront de surcroît...
Nous sommes passés d'une ère d'hyper-consommation à une ère de consommation responsable. Aujourd'hui, les entreprises ont bien compris les enjeux financiers de mettre en avant des politiques responsables, parfois sociales et solidaires.
Les consommateurs ont eux aussi évolué et leurs envies ont changé. La crise économique et financière remue les consciences ; c'est la fin d'un système de fonctionnement qui s'essouffle...
Des entreprises souhaitent aujourd'hui participer à la construction d'un nouveau monde, d'un système basé sur l'éthique, la solidarité.
Il sera question d'évaluer les opportunités pour créer son entreprise en cette période de crise. Savoir si, en prônant une économie éthique, sociale et solidaire, les consciences actuelles seront réceptives et prêtes pour ce renouveau.
Ce livre s'adresse aux personnes soucieuses d'en savoir plus sur l'évolution de notre société que ce qui est généralement présenté par les médias traditionnels.
L'auteur privilégie ici une approche pluridisciplinaire afin d'offrir une vision aussi large que possible :
- Prospective et civilisation
- Macro-économie
- Économie de l'énergie
- Économie du développement
- Sciences sociales
- Cultures et sociétés
- Philosophie
Reprenant les thèses de quelques grands intellectuels contemporains, ce condensé permet donc de nourrir la réflexion, de remettre en cause certaines certitudes bien ancrées et de devenir plus exigeant envers nos « élites » dirigeantes.
La sécurité internationale a une portée multidimensionnelle. Dès lors les efforts de réflexion visant à appréhender cet objectif (idéal pour les individus), à trouver des moyens d'y parvenir, de maintenir la sécurité, se trouvent confrontés à la multiplicité des idées, des prises de positions (tant politiques que juridiques), à la diversité des mécanismes souhaités et mis en oeuvre (ou seulement à l'état de souhaits). Compte tenu de cette situation intellectuelle enchevêtrée, le présent Carnet de cours s'efforce de répondre au besoin d'une synthèse en la matière, pour un public d'étudiants en droit et science politique du niveau Master.