Le tiers monde, aujourd'hui à la recherche de son identité, veut contribuer à créer un nouvel ordre.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Définition des contours de cette politique, évolution et perspectives au-delà de la révision devant intervenir en 1993.
A partir du Livre blanc, de l'Acte unique de 1986, des divers sommets européens, l'auteur analyse les fondements du grand marché, puis les enjeux globaux et sectoriels.
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Ce livre va choquer. Dans un style très polémique, il critique les partisans de la technologie appropriée, faite sur mesure pour les besoins des pays en voie de développement. Pour Arghiri Emmanuel, il s'agit non pas d'une technologie spécialement conçue pour ces pays, mais d'une technologie appauvrie. Elle ne fait qu'accroître leur retard et leur dépendance par rapport aux pays développés. L'important, pour l'auteur, c'est, en première analyse, le montant des biens produits, qui détermine le bien-être social et l'indépendance économique et politique, et non pas le nombre des emplois créés pour produire ces biens. Sa démonstration repose sur l'argument que les technologies les plus modernes, intensives en capital, sont plus productives que les technologies anciennes ou appropriées, intensives en travail. Une version de la première partie de ce livre a servi d'introduction au Colloque sur le transfert de technologie aux pays en voie de développement organisé à Paris par l'I.E.D.E.S. (Université de Paris I), le 10 octobre 1980. Parmi les critiques, dont certaines étaient aussi acerbes et polémiques que le texte d'Arghiri Emmanuel, l'IRM en a sélectionné deux. Leurs auteurs ont bien voulu qu'elles soient reproduites dans la deuxième partie du livre. Le Professeur Emmanuel leur apporte également une réponse. Le Professeur Celso Furtado critique la méthodologie polémique d'Arghiri Emmanuel, et son manque d'intérêt pour les structures sociales, qui sont primordiales pour comprendre les questions économiques. Le Professeur Elsenhans montre que tout développement ne peut se faire qu'à la suite de la création d'un marché de masse ; c'est l'action des gouvernements et non des sociétés multinationales, qui est seule susceptible d'être assez puissante pour aboutir à ce résultat.
Parmi les décisions des sociétés multinationales qui ont un impact important sur l'économie des pays d'implantation, il y a celles relatives à l'investissement ou au désinvestissement. L'investissement représente un apport nouveau d'emploi, de technologie et/ou de capital. La réduction d'activités, la fermeture d'établissements ou le transfert d'activités peuvent provoquer des problèmes graves de pertes d'emploi pour le pays, la région et la communauté locale. Il s'agit souvent d'un événement dramatique pour cette communauté, comme l'ont d'ailleurs illustré des cas récents en Europe. Les milieux concernés : industriels, syndicats, autorités publiques, connaissent des objectifs et contraintes divergents et ont des intérêts contradictoires à défendre. Cet ouvrage comporte quatre chapitres qui, précisément, font ressortir la diversité d'optiques des milieux en cause.
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Le point sur ce sujet de 1945 à nos jours pour en comprendre les principaux rouages.
Paru en 1979, cet ouvrage de la collection "Que sais-je" pose des problématiques qui sont toujours d'actualité, même si les réponses que nos sociétés y apportent ont désormais évolué : Comment harmoniser les désirs des ruraux avec ceux de la société tout entière ? Comment coordonner les activités des ruraux traditionnels avec celles des ruraux d'adoption ? Comment concilier la poursuite des objectifs économiques avec celle de la qualité de vie ? Ces tâches, qui sont celles des ruraux, sont aussi celles de la civilisation actuelle, disposant de revenus suffisants pour assurer sa survie et recherchant la qualité de l'existence.
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Dans cette 11e édition, parue en 1992, d'un ouvrage édité en 1944, découvrez tout ce qu'il est bon de connaître en matière de pétrole : rappel historique, utilisation moderne, techniques de l'industrie du pétrole, le pétrole dans le monde et en France, l'avenir du pétrole.
Au cours des dernières décennies, cette institution a connu une profonde mutation.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Les sources conceptuelles et historiques de la philosophie ordolibérale qui guide la politique micro-économique allemande depuis l'après-guerre : la politique de la concurrence y apparaît comme l'un des piliers aux côtés de la politique monétaire, qui ont permis les succès industriels, économiques et commerciaux de l'économie sociale de marché.
Repère les profondes transformations économiques qui ont marqué le Royaume-Uni tout au long de la décennie 80 : accentuation de la désindustrialisation et poursuite de la tertiarisation, plus grande insertion dans l'économie de la CEE...
Interventions de l'Etat destinées à organiser les conditions techniques et sociales de la production agricole.
Le profit - pour les entreprises multinationales - et la croissance - pour les pays en développement : objectifs contradictoires ou combinaison bénéfique pour les uns et les autres ? La réalité est plus nuancée : ce dossier s'efforce de faire le point sur des rapports - souvent d'ordre passionnés - qui sont à la fois complexes et en constante évolution ; en effet, la crise, les chocs pétroliers, l'endettement international et une meilleure aptitude des pays en développement à la négociation internationale ont certainement contribué à modifier les règles du jeu. La compétition entre les pays, pour que des entreprises s'y implantent, est plus vive que la compétition entre les firmes pour s'y installer. Leur atout, c'est le savoir-faire, la technologie que les états du tiers monde ne sont généralement pas en mesure d'acquérir. Si les investissements des multinationales dans les pays en développement représentent à peine 25 % du total de leurs avoirs dans le monde, c'est cette partie de leurs activités qui continue à faire l'objet de critiques. Le travail de synthèse de Jean Masini permet d'y voir plus clair sur les enjeux d'une relation qui, engageant l'avenir des deux tiers de l'humanité, peut aussi hypothéquer le nôtre.
Il existe, en principe, deux formes concertées d'élargissement des marchés : la zone de libre-échange, où chacun conserve vers les pays non membres son tarif douanier propre, et l'union douanière, où, à la suppression de toute restriction aux échanges entre États membres, s'ajoute l'institution d'un seul tarif douanier autour de ces États. Le traité de Rome va beaucoup plus loin. Il s'agit d'une union douanière pour laquelle on s'est préoccupé non seulement des barrières entre États mais aussi des politiques futures de la Communauté que ces États entendent constituer ; et rien ne serait plus faux que de croire, à cause de ce nom de « Marché commun », qu'il s'agit seulement d'un traité de commerce. Le traité de Rome se trouve donc au confluent des deux mouvements intervenus en Europe depuis la fin de la guerre, politique et économique : vers le rapprochement des pays, vers l'élargissement des marchés. L'ensemble de ses modalités n'est pas né du seul hasard des négociations. Il correspond à ce double mouvement ; comme il traduit aussi le succès d'une théorie et la leçon d'une expérience.