Cet ouvrage dresse une synthèse des faits démographiques français depuis la Première Guerre mondiale. Il s'appuie sur des indicateurs simples et précis, et les mises au point les plus récentes de l'INED. Il y ajoute une dimension historique des phénomènes démographiques contemporains.
L'anthropologie démographique a pour objet l'étude des processus de reproduction et d'évolution des petits groupes humains en utilisant les concepts et les méthodes de l'anthropologie, de la démographie et de la biologie des populations. Elle étudie notamment les relations existant entre parenté, structures familiales, économie, reproduction sociale et évolution du pool génique, permettant ainsi d'apprécier les changements continuels qui affectent les populations humaines.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Le débat sur l'information et la consultation des travailleurs dans les entreprises multinationales a, ces dernières années, suscité beaucoup de passions. Centré sur la proposition Vredeling de la Commission de la Communauté Européenne, il a provoqué une radicalisation des positions des employeurs et des travailleurs. Cet ouvrage s'efforce d'élever le niveau des discussions : il les situe en effet dans les contextes international et national. On y observe une généralisation des initiatives légales et conventionnelles, en vue d'une information accrue du personnel sur les résultats et les perspectives de l'entreprise. Les auteurs s'interrogent, en outre, sur les résultats de quelques expériences en matière de consultation des travailleurs. Ils tentent aussi de situer les lieux de décision dans les entreprises multinationales pour les fermetures de filiales, les fusions ou les grandes innovations technologiques. Enfin, ils posent le problème des orientations futures de la Communauté Européenne. Celle-ci doit-elle s'attacher uniquement à la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux, ou est-elle appelée à devenir aussi une communauté sociale, c'est-à-dire une communauté d'hommes attachés ensemble à un projet de développement ?
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La crise économique se fait sentir en France, la situation de l'emploi se dégrade. Mais quelles sont les vraies raisons du chômage ? Quelle est son ampleur ? Qui en est victime, et pourquoi ceux-là plutôt que d'autres ? Ces questions sont l'enjeu de débats de plus en plus acharnés : vrais ou faux chômeurs ; excès de main-d'oeuvre, insuffisances d'emploi ou inadaptations des travailleurs ?
Économistes, statisticiens et sociologues sont concernés. Chacun s'est efforcé de résoudre ce qui paraît être de sa compétence exclusive. Et pourtant, aucune de ces questions n'a de solution indépendante. Comment interpréter le chômage dans l'ignorance de ses modalités concrètes ? Mais comment observer une population de chômeurs, sans décider qui est chômeur et donc ce qu'est le phénomène de chômage ?
Les victimes du chômage - hommes ou femmes, jeunes, adultes ou personnes âgées par exemple - constituent un élément d'analyse essentiel, trop longtemps négligé par la science économique. Leur prise en compte fait surgir toutes les limites du débat ancien sur les types et les causes du chômage. Leur diversité révèle, en effet, l'unité fondamentale du phénomène, sa fonction : le chômage « de prospérité », que connaissait la France dans les années soixante, favorisait l'expansion, comme le chômage « de crise » - qui se développe actuellement - peut préparer les conditions d'une éventuelle reprise. Elle montre également toutes les implications du chômage français « de prospérité », témoignage d'une « organisation » de marchés de l'emploi, où dominent les phénomènes d'offre, c'est-à-dire les exigences et les stratégies des employeurs.
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Le Plan comptable général, élaboré en 1947, amélioré en 1957, a été révisé à la suite de la Quatrième Directive de la Communauté Économique Européenne (C.E.E.) notifiée aux États membres le 25 juillet 1978 : définition du plan comptable général, comptabilité analytique, comptabilité normalisée, etc. Un ouvrage rédigé par le Président d'honneur du Conseil National de la Comptabilité, et l'Ancien Rapporteur général du Conseil National de la Comptabilité.
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La première partie est consacrée à la force de travail et les emplois, la seconde aux conditions d'emploi et leur détermination.
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Ce volume de la collection "Que sais-je" est consacré à la démographie historique. Il analyse les mouvements de population, ses effectifs, son expansion et ses reculs à partir de nombreuses sources et d'enquêtes de terrain fiables : à partir de 1670 tout particulièrement, le pouvoir royal a commencé à se préoccuper du nombre de ses sujets et de l'amélioration de l'enregistrement des données concernant sa population.
Loin de constituer un appendice au système fiscal français, l'impôt indirect en représente un élément important, indispensable à l'harmonie de l'ensemble qu'ils forment. L'originalité et la spécificité des contributions indirectes et des monopoles fiscaux sont le garant de leur survie.
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Comme le montrent la redistribution des flux de populations en Europe depuis la disparition du « rideau de fer », les tentatives des boat people haïtiens et cubains, les exodes en Afrique, les mouvements et les espaces migratoires sont les lieux d'enregistrement d'un monde qui bouge, qui craque et qui se recompose sans cesse. Ils sont l'une des plaques sensibles où s'impriment fortement les attentes, les détresses et les espoirs des hommes ; ils ont donc valeur de signe. Ils signent, en effet, l'état du monde ou, plus exactement, sa dynamique, celle de chacun des États qui le composent, celle des rapports qu'ils entretiennent entre eux. Pourtant, l'étude des migrations internationales - passionnant fil d'Ariane pour décrypter l'évolution de nos sociétés contemporaines - est rarement faite dans sa globalité, à l'échelle planétaire.
Ce livre offre un panorama mondial des dynamiques migratoires actuelles, des mécanismes et des acteurs qui les animent, des champs de forces où elles s'inscrivent, de leurs effets dans les pays concernés. Les moteurs de cette mise en mouvement du monde fonctionnent puissamment en cette fin du XXe siècle, car ils sont la résultante de logiques et de stratégies souvent convergentes sur le plan individuel, familial, communautaire ou collectif. L'organisation spatiale de cette dynamique planétaire, dans des systèmes migratoires polarisés autour des quatre grands ensembles régionaux les plus riches et les plus développés de la Terre, renforce la pression qui s'exerce sur les espaces d'arrivée. Avec la mondialisation des flux et des échanges, l'évolution actuelle de cette géodynamique migratoire constitue l'un des défis importants, auxquels les États ont du mal à trouver des réponses appropriées.
Cet ouvrage présente le regard d'un géographe sur une question sensible, et placée au carrefour des sciences de l'homme et de la société. On y voit que l'inscription des migrations internationales dans l'espace, leur lecture à différentes échelles, est riche de significations. Tout en se soumettant aux exigences de l'analyse scientifique, ce manuel est accessible à un large public, notamment grâce à l'éventail des cartes qui accompagnent un texte nourri par une longue expérience de recherche.
Les mots et les chiffres sont insuffisants, et même trompeurs, quand il s'agit d'évoquer les multiples occupations des hommes. Populations actives, emploi, travail, chômage n'ont pas le même sens quand il s'agit du labeur exécuté en fonction d'impératifs naturels de caractère cosmique ou de l'exécution de tâches définies par le texte de conventions collectives. Et pourtant, partout, les formes et les conditions de la vie des individus et des groupes sont subordonnées à leur participation à une activité, à l'exécution d'un travail. La nature du travail est devenue de plus en plus diverse dans les sociétés et les économies industrielles, et chaque « espace géographique » est caractérisé par la concentration de certaines formes de travail, tandis que les trois quarts de l'humanité vivent encore sous la loi d'impératifs procédant de leurs rapports avec le milieu naturel dans lequel ils vivent. Dans les deux cas, il y a des liens entre l'espace et les formes d'occupation. C'est l'objet d'un essai de géographie du travail. Successivement, il évoque les activités rurales du Tiers-Monde, où la capacité de travail des populations d'âge actif est sous-employée et misérablement rémunérée, et les structures d'emploi des sociétés industrielles, celles de l'Europe, de l'Amérique du Nord et aussi des pays socialistes, où les mots magiques sont rentabilité, productivité, mobilité, salaires, plein emploi ou chômage.
Les questions de population qui préoccupent au plus haut degré les sociétés contemporaines, menacées de résorption par le recul de la fécondité, ou d'impasse alimentaire par une croissance démesurée, ne peuvent pas être traitées en elles-mêmes, dans le seul langage de la statistique. La démographie devient de plus en plus géographique, au moment même où, plus que jamais, toute géographie est une géographie de la population et des problèmes de population. Dans ce livre, on a essayé d'examiner tour à tour tous les carrefours où, en prenant les questions à des échelles différentes, se rencontrent la démographie et la géographie. La démographie c'est, par excellence, l'étude des mécanismes de l'évolution du nombre des hommes ; la géographie, c'est celle de l'implantation des sociétés humaines dans un environnement naturel qui les conditionne, qu'elles dominent ensuite d'une manière ou d'une autre, pour être asservies ultérieurement par les techniques qu'elles ont inventées, et les espaces artificiels qu'elles ont créés. Les hommes font l'économie, mais l'économie influe sur la manière de faire les hommes. Par le biais de la géographie, on retrouve un autre mariage des disciplines d'approche de la condition humaine, celui de la démographie et de l'économie.