Toute recherche sur les bénéficiaires de l'inflation, dans la France contemporaine, est nécessairement très complexe. Néanmoins, au-delà des querelles d'école, qui contribuent à camoufler certains aspects de la politique économique, et des pouvoirs qui la gèrent, on peut dégager d'une telle recherche quelques conclusions :
- L'inflation profite à ceux qui peuvent emprunter à des taux de faveur et, si possible, inférieurs au taux d'inflation :
- La capacité d'emprunter est cumulative, et dépend déjà de la capacité antérieure d'emprunter.
Ce qui confirme précisément le proverbe populaire bien connu : « On ne prête qu'aux riches ». Et ce qui est d'autant plus intéressant en période d'inflation.
Sont favorisés aussi, et il s'agit très souvent des mêmes, ceux qui disposent de stocks et d'actifs, dont la réévaluation est plus rapide que la hausse moyenne des prix.
Enfin, il est évident que, les transferts inflationnistes positifs, profitant essentiellement aux privilégiés de l'avoir et/ou du savoir et/ou de l'organisation, le premier de ces privilégiés demeure l'État moderne, un État renvoyé de l'élection à la fiscalité.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Le présent ouvrage est né, pour l'essentiel, d'une rencontre internationale organisée par le L.A.T.A.P.S.E.S., en février 1984, à l'Université de Nice.
Le premier souci commun des contributions des vingt et un auteurs, est l'élaboration d'une théorie du fonctionnement et de l'évolution de la circulation des marchandises, dans une économie monétaire de production, qui ne peut être réduite à une économie de troc, ou à une économie d'échange pur.
Dans cette perspective, les thèmes étudiés sont très variés, et peuvent intéresser aussi bien les théoriciens des phénomènes monétaires et financiers, que les historiens de la pensée économique, les spécialistes de théorie de la production, ou encore ceux dont le champ de recherche est la macrodynamique.
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Première source de financement pour le développement du tiers monde, la Banque mondiale canalise chaque année plus de 100 milliards de francs.
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L'ECU : un nouveau marché
Son marché offre maintenant les services habituels que l'on trouve sur toute eurodevise. Le volume des dépôts et des crédits a sextuplé en deux ans. Sur le marché financier, il est devenu la troisième monnaie après le dollar et le mark allemand. De nombreux comptes bancaires sont ouverts. Des groupes industriels l'utilisent pour leur comptabilité, leurs facturations, et leurs règlements. Des livrets d'épargne (et bientôt des chèques de voyage) sont proposés aux particuliers : l'écu privé révolutionne le monde des finances.
L'essor prodigieux de l'utilisation privée de l'écu, depuis 1981, hors du cadre officiel des institutions communautaires, constitue l'un des phénomènes les plus marquants de l'évolution financière de ces dernières années. Il n'est, pourtant, connu que de quelques experts.
Thierry Lefevre, auteur de la première recherche universitaire française sur le sujet, invite ici le lecteur à une analyse très complète du nouveau marché de l'écu, lequel n'avait, jusqu'à présent, fait l'objet d'aucune publication.
Outre son originalité, ce livre se veut ambitieux. L'auteur y propose, notamment, l'introduction de titres monétaires négociables, qui doteraient l'écu d'instruments capables de réaliser une interpénétration effective des circuits financiers dans la Communauté, et d'assurer efficacement la mobilisation et la circulation des capitaux au sein d'un espace financier élargi.
Un ouvrage réconfortant, qui montre comment, en dépit des blocages institutionnels, les opérateurs privés ont voulu faire franchir - à l'Europe - un nouveau pas vers l'Union monétaire, condition sine qua non de son unité et de son indépendance.
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La formation d'un marché unique européen devra se faire avec l'ouverture des marchés publics, véritables chasses gardées nationales. L'enjeu est important et doit être compris comme un nouveau défi que les Européens se lancent à eux-mêmes.
Un panorama des techniques de l'épargne salariale. Une approche financière de ces techniques et une comparaison détaillées avec d'autres formules de placement offertes aux salariés des entreprises. Comprend des statistiques nationales et l'étude des consé