En 2122, le monde d'avant a disparu depuis longtemps. Le jeune Joshua vit dans une communauté, quelque part en Amérique du Nord. Il s'interroge sur ses origines et tente de trouver sa place dans cette nouvelle société, en proie à la brutalité et à la sauvagerie. Aujourd'hui, l'heure de la révélation est enfin arrivée. Rejeté par les siens à cause de sa différence - Joshua est en réalité un androïde -, il est recueilli par une femme masquée : la Grande Ordonnatrice. Cette femme énigmatique lui annonce qu'elle va lui ouvrir les portes d'un passé oublié. Joshua apprend alors comment les humains, il y a de cela un siècle, ont découvert le transhumanisme et donné naissance à l'homo deus. Avant de sombrer dans la violence et le chaos, préludes à la fin de leur civilisation... Troisième tome d'une saga d'anticipation en quatre albums, teintée de Dune et d'Akira, servie par le graphisme somptueux et l'imaginaire flamboyant de Jaouen Salaün.
Année 2122, quelque part en Amérique du Nord. Sur une terre aride et brûlée par le soleil, la paix et la sagesse semblent avoir déserté. L'ancien monde civilisé a laissé place au chaos et à la pauvreté, à la violence et à la sauvagerie. Dans un décor de western, au milieu de baraquements de fortune mêlés à des panneaux solaires modernes, les membres d'une communauté autonome survivent tant bien que mal. La quête de l'eau est une préoccupation de tous les instants. Le jeune Joshua est amoureux de Margot, la soeur de Sylvio, un adolescent brutal qui prend plaisir à le frapper. Sylvio appartient au clan des hauteurs, qui affirme son pouvoir en faisant régner la peur sur les autres habitants. Un jour, d'étranges événements se produisent. Dans cet univers d'après l'apocalypse, alors que le père de Joshua et son équipe travaillent sur le réseau d'approvisionnement en eau, des créatures éthérées surgies de nulle part s'en prennent à eux... Une nouvelle saga de science-fiction écrite et dessinée de main de maître par Jaouen Salaün, qui conjugue avec bonheur un trait réaliste et un imaginaire teinté d'onirisme.
2122, quelque part en Amérique du Nord. Le monde d'avant n'est plus qu'un lointain souvenir. Les derniers vestiges de la civilisation, recouverts par le sable, se sont presque effacés pour laisser place au désert. Dans ce décor de fin du monde, un homme marche, accompagné par un géant. Puis il rejoint une communauté et demande à parler à son chef. Il lui annonce une prophétie : un jour, un homme sans visage viendra. Lui seul pourra mettre un terme à la souffrance humaine. Cette communauté, c'est celle du jeune Joshua. En conflit avec son père, en butte aux morsures de l'amour et à l'emprise de la violence, il tente de trouver sa place. Il s'interroge sur ses origines et sur les étranges pouvoirs qu'il détient. Pour lui, l'heure de la révélation est imminente... Dans ce deuxième volet d'une fresque de science-fiction en quatre tomes, Jaouen Salaün nous plonge au coeur d'un univers fascinant, entre rêve et cauchemar, entre Mad Max et Akira. Une fresque servie par un trait enchanteur, une imagination onirique et des couleurs éblouissantes.
Dans un monde gris, futuriste et apocalyptique, un étrange voyageur et sa monture errent dans des terres désolées. Obligés de se recharger en énergie, ils ne peuvent toutefois pas rester trop longtemps éloignés de la civilisation. Bien que d'autres créatures y vivent, la ville se montre pourtant tout autant inhospitalière, vide et morne. Mais partout où passe le voyageur, les choses se dérèglent, les machines perdent la tête et sèment le chaos. Il lui faut alors quitter la ville et explorer à nouveau les vastes étendues grises, seul. C'est avec une parfaite maîtrise que ce récit surréaliste, post-apocalyptique et muet, au graphisme époustouflant dans la lignée d'Arzach de Moebius, nous transmet une profonde impression de solitude et de mélancolie à travers l'errance de son personnage.
C'est un univers de désolation, grisâtre et silencieux. Un univers aux allures de fin du monde, peuplé de créatures étranges. Au coeur de ce décor apocalyptique, un cavalier, juché sur sa drôle de monture, est projeté à terre par une explosion. Il se nomme Rumpert. Dans un container de métal, il découvre la tête d'un enfant, BombKid. Désormais, ils feront route ensemble. Bientôt, un conflit éclate entre des enfants sauvages révoltés et une armée de robots... Cette histoire muette tient à la fois de Stalker, le film d'Andreï Tarkovski, du Arzach de Moebius et du Vuzz de Philippe Druillet. Sans oublier l'imaginaire de Marc Caro, le réalisateur de La Cité des enfants perdus, qui signe le scénario de ce deuxième tome. Inspiré par l'architecture et les créatures fascinantes de La Planète oubliée de Paolo Serpieri, le graphisme de Pim Bos fait naître une émotion esthétique chez le lecteur, pimentée par une pincée d'humour noir. En breton, « tremen » signifie « passage ». Cet onirique roman-graphique est bien un passage qui nous entraîne de l'autre côté de la réalité, vers le domaine du rêve. Ou du cauchemar, c'est selon...
Les rumeurs étaint fondées : le président Vexton va épouser la jeune actrice Pénélope Tora en pleine campagne électorale, tandis que la guerre civile déchire la Confédération. Candidate à l'élection elle aussi, Rebecca Veri, l'ancienne assistante de Vexton, ne manque pas de souligner l'attitude irresponsable de son adversaire. Pendant ce temps, à bord du vaisseau Jolly Roger, arme de guerre plus redoutable que jamais, le général déchu Jon T. Munro expose son objectif : détruire le croiseur présidentiel, réduire en poussière les jeunes mariés, et venger enfin son fils. À son côté, Kowalski désapprouve profondément ce projet. Va-t-il trahir ses compagnons ? Et que vont faire Roberto et Djema, à qui Munro refuse de rendre la liberté avant l'attaque, comme il l'avait pourtant promis ? De leur côté, Katya et les autres leaders rebelles ont leur idée pour faire du mariage présidentiel un événement inoubliable...