Par l'auteur d' Into the wild et de Tragédie à l'Everest.Fou d'alpinisme, Jon Krakauer nous offre ici le récit de douze aventures en montagne. Il nous entraîne ainsi dans l'ascension du sommet de l'Eiger, de cascades de glace mais aussi sur les parois d'un canyon du Colorado, nous livrant au passage sa vision personnelle - et quelque peu critique - de Chamonix, cette " capitale mondiale de l'alpinisme ".
Nous le suivons avec un intérêt qui ne faiblit jamais de l'Alaska à l'Himalaya, des Rocheuses aux Alpes, comme si nous vivions les ascensions en direct à ses côtés. Krakauer a le don rare de restituer l'atmosphère d'un lieu, de nous rendre sensibles à ses spécificités tout en traçant sur le vif le portrait des hommes souvent fascinants qu'il rencontre chemin faisant.
« Il suffit en général de prononcer le mot de "Patagonie" pour provoquer chez votre interlocuteur un tourbillon d'images parfois convenues mais jamais totalement inexactes. C'est la force des grands paysages d'être fidèles à leur réputation. »La Patagonie est de ces voyages où le fantasme et le rêve sont proches de la réalité : « On est toujours soufflé par la puissance et la beauté des lieux, dans quoi vient résonner la force de l'imaginaire qu'on y avait déployé. »Un voyage au cours duquel sont convoqués Butch Cassidy et Jorge-Luis Borges, qui se sont peut-être croisés sur un trottoir de Buenos Aires, et dont on cherche les traces, souvent effacées, laissant par là-même place à la fiction. Puis aller vers le sud, parcourir une partie de la Patagonie argentine, chilienne ensuite, traverser la pampa, naviguer sur le détroit de Magellan et le canal de Beagle. Les pérégrinations géographiques convoquent les destins romanesques, des derniers Indiens aux rois autoproclamés, des derniers grands glaciers aux aventuriers, fugitifs, proscrits, rêveurs et fous qui y ont trouvé refuge. Entre fantômes historiques et littéraires, un voyage au bout du monde.
Saviez-vous qu'à Londres, la suite 212 de l'hôtel Claridge's était yougoslave le 17 juillet 1945 ? Que la principauté d'Arbézie, à cheval sur la frontière franco-suisse, est... un hôtel-restaurant ? Que la France possède des territoires à Jérusalem ? Que Sainte-Adresse, près du Havre, a été la capitale de la Belgique pendant la Première Guerre mondiale ? Que le Mexique revendique sa souveraineté sur l'île de Bermeja... qui n'existe pas ? Qu'une ancienne plateforme britannique s'est constituée en État souverain dans l'estuaire de la Tamise ? Que la France et l'Italie se disputent le sommet du mont Blanc depuis un siècle et demi ?
Ce sont ces bizarreries géographiques que nous raconte Olivier Marchon dans ce livre étonnant qui rassemble des dizaines d'histoires de ce type, des plus tragiques au plus loufoques : de petits morceaux de terre, enclavés, disputés, au statut à part, parfois étrange, qui chacun à leur manière racontent la grande histoire...
Oliver Marchon est réalisateur indépendant.
Un recueil qui réunit les meilleurs reportages de Jon Krakauer, LE porte-drapeau du journalisme d'aventure contemporain, et auteur des best-sellers Into the wild et Tragédie à l'Everest. Rassemblant des articles publiés dans de grands magazines américains tels que
The New Yorker,
Outside et
Smithsonian, le recueil
Krakauer, À l'extrême témoigne une nouvelle fois du talent de conteur hors pair de celui qui s'est toujours fait le chantre de l'esprit d'aventure sous toutes ses formes et dont la plume captive, avec une intensité rare, la beauté destructrice de la nature sauvage.
Des pentes d'un volcan prêt à anéantir Seattle à une grotte du Nouveau-Mexique étudiée par la NASA, de la fin tragique du légendaire surfeur Mark Foo à la terrible réalité des sherpas népalais travaillant sur le Toit du monde, on rencontre, aux côtés de Krakauer, ceux qui vivent en permanence entre défi, risque et inconscience.
« Le 24 juin 1893, en Norvège, le jour de la fête de l'été. Pour nous, il arrive plein de tristesse. C'est le moment du départ. Je quitte ma maison, et seul je descends à travers le jardin vers la grève où m'attend la vedette du Fram. Derrière moi je laisse tout ce que j'ai de plus cher au monde. Maintenant quand les reverrai-je, ces êtres adorés ? Ma petite Liv est là, assise à la fenêtre, elle bat des mains. Pauvre enfant, elle ignore encore heureusement les vicissitudes de la vie ! Le canot file comme une flèche sur la nappe unie du fjord et accoste bientôt le Fram. Tout est paré à bord. Aussitôt le navire lève l'ancre, salué par la population de Christiania massée sur les quais, et lentement descend le fjord... Encore un dernier salut aux miens et à ma petite maison située là-bas sur cette presqu'île... Ce jour du départ a été le plus triste du voyage. »
Je n'ai marché qu'une centaine de mètres, et me voilà face à ce qui deviendra mon pire ennemi des jours à venir : des enchevêtrements de ronces qui n'entendent pas me céder le passage facilement. La balade ne sera peut-être pas aussi bucolique que je l'espérais.
Le journaliste Pierre Demoux s'est lancé dans une traversée originale de la Bourgogne en suivant un itinéraire hors des sentiers battus : son unique guide sera le parcours d'une voie ferrée abandonnée depuis une décennie, celle d'une petite ligne qui reliait deux sous-préfectures. Quatre-vingt-cinq kilomètres de rails peu à peu digérés par la nature entre les gares d'Avallon et d'Autun. Avec, au milieu, le Morvan, modeste montagne à tendance revêche, mais fertile en aventures. Dans le sillage d'un train qui ne passe plus, l'auteur a mené une « randonnée d'investigation » le long de ce chemin de fer, en faisant escale à chacun de ses anciens arrêts pour raconter un morceau de France et ceux qui le font vivre, capter l'énergie d'un territoire en mutation. Sur sa route, des femmes et des hommes aux histoires étonnantes, des loups en vadrouille, des tronçonneuses endiablées, le nid d'un phénix mondialement connu, des pouponnières à sapins de Noël, l'ombre du roi Arthur, des migrants venus du nord, des pionniers de la libération féminine... Des personnages et des lieux enracinés dans cette terre au caractère unique, mais dont les destins résonnent avec celui de la France à l'écart des métropoles, là où bat (aussi) le coeur du pays.
Après Paris, les routes de France et la langue française, Lorànt Deutsch vous invite au pays de Chateaubriand. L'histoire de la Bretagne au rythme de ses villes et villagesBreizh : la Bretagne en breton... Une péninsule où, il y a 6 000 ans, des peuplades venues des confins du monde ont planté dans le sol des pierres de plusieurs tonnes qui se dressaient comme autant de suppliques vers le ciel...
De Carnac à Sables-d'Or les- Pins où se développa le tourisme moderne, en passant par Dinard où s'ancra la légende du roi Arthur, c'est toute l'histoire de la Bretagne qui reprend vie ici. Avec sa fidélité celtique, sa foi chrétienne teintée de druidisme, ses femmes influentes et parfois chefs de guerre, et sa duchesse Anne adulée autant que maltraitée après sa mort, mais qui fut pour beaucoup dans le futur rattachement de la Bretagne à la France.
Et nous voici bientôt à Brest dont Richelieu voulut faire le plus grand port français, à Lorient d'où l'on s'embarquait pour aller pêcher la morue à Terre-Neuve, à Pont-Aven où nous rencontrons les fauvistes, les symbolistes et les nabis... En cours de route, nous
découvrons une population indépendante et généreuse, qui a aboli le servage huit siècles avant la France, refusé la violence des guerres de Religion, et qui a décidé, aujourd'hui, de suivre un nécessaire progrès : préserver sa nature avec l'agroécologie tout en maintenant sa musique, ses langues et ses traditions.
1er septembre 1985. Le Titanic, disparu depuis le 15 avril 1912, est retrouvé dans l'Atlantique Nord où il gît par 3821 m de fond.
Sollicité par l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), Paul Henri Nargeolet, commandant dans la Marine nationale, devient directeur des recherches sous-marines dans le cadre des futures expéditions sur l'épave. De 1987 à 2021, il part à la recherche des derniers secrets du paquebot au cours de centaines d'heures de plongée. Plus de 5 500 objets seront remontés à la surface sous sa supervision : morceaux de coque, bijoux, bouteille de champagne, tissus, bagages - autant de témoins qui racontent les plus grandes heures du navire, et son destin tragique.
A travers le fabuleux récit de ses expéditions, Paul Henri Nargeolet fait revivre l'histoire du Titanic, celle de ses passagers et de son équipage, offrant un point de vue unique sur cette catastrophe maritime qui alimenta tous les fantasmes.
Biographie
Né à Chamonix, en France, Paul Henri Nargeolet a vécu en Afrique avec sa famille pendant 13 ans. Après une carrière de 22 ans dans la Marine Nationale, il accède au grade de commandant. Il rejoint l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) en tant que responsable des submersibles « grands fonds » en 1986. L'année suivante, il dirige la première expédition de récupération menée sur le Titanic. Il vit aujourd'hui aux Etats-Unis.
Pourquoi part-on à l'aventure ?Que va-t-on chercher dans des contrées lointaines ou dans le dépassement de soi ?Et quels enseignements en tire-t-on pour nous aider à vivre mieux notre vie ?Rémi Camus a notamment descendu le Mékong du Tibet au Vietnam, traversé l'Australie en courant, fait le tour des côtes françaises à la nage... Il livre ici un récit sensible de ces défis très différents qu'il s'était lui-même lancés et qu'il a relevés, en explorant six valeurs essentielles qui guident désormais tous ses choix et ses initiatives.
Des paysages, des aventures extraordinaires, mais aussi, avant tout, un homme en quête de sens.
Atteinte de Fibromyalgie, elle a parcouru 6 000 kilomètres pour sensibiliser sur sa maladieElle avait 14 ans lorsque les prémices de la maladie sont apparues au cours d'un entraînement sportif. Et quelques années se sont passées avant qu'elle ne puisse mettre un nom sur ses douleurs perpétuelles. Depuis, Violette Duval se bat avec son corps et avec les médecins qui n'opposent bien souvent que le mépris à ses souffrances. Mal connue, la fibromyalgie n'entre pas dans les cases des raisonnements scientifiques.
La maladie a bouleversé ses projets, ses rêves et sa vie entière. Violette ne tient plus en place, voyageant sans cesse, solitaire, et croquant le monde à pleines dents. En 2019, elle s'élance dans un incroyable périple, la menant du Mont Saint-Michel à Marseille, via l'Espagne et le Portugal : 6 765 km à pied, accompagnée de sa poussette, pour faire connaître et reconnaître sa maladie. Un autre défi l'attend désormais : traverser l'Europe, à nouveau à pied, en solitaire et en totale autonomie.
Ce sont ses combats, ses doutes mais aussi ses victoires que Violette Duval partage dans Bornes to walk.
En août 1991, Tiziano Terzani navigue sur le fleuve Amour lorsqu'il apprend qu'un coup d'État vient de renverser Gorbatchev. Il se lance aussitôt dans un long périple qui le mène pendant plus de deux mois à travers la Sibérie, l'Asie centrale et le Caucase jusqu'à Moscou, capitale de ce qui est en train de devenir la nouvelle Russie. Chemin faisant, Terzani compose l'oraison funèbre du communisme soviétique et un récit de voyage inoubliable.
L'auteur analyse les contradictions du communisme, mais aussi celles du capitalisme sauvage qui le remplace. De Samarcande à Boukhara, de Bichkek à Erevan et jusqu'aux confins du Birobidjan, Terzani observe le réveil des nationalismes et de l'islamisme sur les cendres encore chaudes du colonialisme soviétique. Trente ans après, cet ouvrage constitue une immersion fascinante pour comprendre le passé et peut-être surtout entrevoir l'avenir géopolitique de ce territoire qu'on appelait autrefois l'URSS.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Tiziano Terzani est une légende du grand reportage. Correspondant en Asie du Spiegel pendant près de 30 ans, il a été témoin de la chute de Saïgon, du génocide khmer et de la Chine maoïste. Bonne nuit, Monsieur Lénine prouve une fois encore son talent de visionnaire.
Sauter dans l'inconnu ? Larguer les amarres ? Acheter un billet sans retour ? Un peu de tout, s'il vous plaît ! Il y a quelques années, Géraldine, Mathieu et leurs trois enfants sont partis voyager en famille, laissant derrière eux leur maison et une vie confortable. Ils ne sont toujours pas revenus.
Et si changer de vie était vraiment possible ? Et si le champ des possibles pouvait s'élargir en s'engouffrant dans l'inconnu ?
À travers cet ouvrage, Géraldine, Mathieu et leurs enfants nous partagent leur expérience du nomadisme en famille, qu'ils pratiquent depuis cinq ans. Du rêve à la réalisation, en passant par toutes les questions liées à ce mode de vie (les obstacles, les conséquences, les adaptations nécessaires, les coups durs, les découvertes, l'enseignement à distance), cet ouvrage aborde tous les aspects qu'implique le fait de se lancer dans une vie nomade, afin que les lecteurs puissent à leur tour se projeter dans un futur sur les routes.
De nombreux témoignages de voyageurs seuls, en couple ou en famille viennent illustrer leur propos et montrer la variété des modes de vie nomades, confirmant que, oui, vivre, voyager et travailler sur les routes est possible !
5 années de voyages en famille, 30 pays, 1 camping-car, 5 sacs à dos, du bonheur, des doutes, de l'aventure, un itinéraire hors du commun. Une seule vie.
Géraldine Van Parys est créatrice de bijoux et Mathieu Swine directeur commercial d'une importante multinationale quand ils décident de tout quitter pour vivre sur les routes avec leurs trois enfants, Romane, Gaspard et Rose.
"Un récit captivant" "Un riche portrait de l'Alaska" Le Monde
Long de plus de trois mille kilomètres, le Yukon traverse le Canada et l'Alaska avant de se jeter dans la mer de Béring. Chaque été, depuis la nuit des temps, les saumons royaux (ou chinooks) remontent ses eaux pour retourner pondre et mourir sur leur lieu de naissance. C'est l'un des derniers endroits sauvages de la planète.
En entreprenant ce long et difficile voyage en canoë afin d'accompagner les saumons dans leur migration, Adam Weymouth souhaitait constater les effets du réchauffement climatique sur une nature presque vierge et coupée de tout. A terme, c'est l'existence même du saumon royal qui est menacée, mais aussi celle des communautés autochtones qui dépendent de lui, et dont l'auteur dresse un portrait inoubliable. S'interrogeant sur notre relation de plus en plus complexe avec le monde vivant, il nous offre le récit captivant d'une aventure extraordinaire, et nous invite à une immersion élégiaque au coeur des mystères de la vie.
Kenya, Éthiopie, Soudan, Égypte, Israël... Après le grand succès d'"Africa Trek I", Alexandre et Sonia Poussin nous racontent la suite et la fin de leurs aventures africaines.
Alexandre et Sonia Poussin ont entrepris de remonter d'une seule foulée le continent africain en refaisant le voyage du premier homme, de l'australopithèque à l'homme moderne, le long de la vallée du Rift en Afrique de l'Est. Le premier tome d'"Africa Trek" relatait leur périple du cap de Bonne-Espérance au Kilimandjaro, le second les suit du Kilimandjaro au lac de Tibériade.À pieds, seuls, sans sponsor ni assistance technique, ils ont pris le temps de vivre avec les masaïs, de suivre une méharée, de gravir les pyramides. Durant cette seconde partie du voyage, nos deux marcheurs ont connu des moments fort difficiles ? découragement, hostilité de certaines populations ? et d'autres instants magiques ? rencontres inoubliables et découvertes de lieux hors du temps. Sincères et enthousiastes, les Poussin nous offrent plus qu'un récit de voyage, le portrait d'un continent.
Qui seront les explorateurs du futur et que signifie encore " explorer " au XXIe siècle ?
Les explorateurs qui partaient à la conquête de terres sauvages, mettant leur vie en péril pour découvrir des territoires inviolés et apporter de nouvelles connaissances, semblent appartenir à une époque révolue. Au XXIe siècle, notre monde paraît avoir été inventorié de fond en comble et tout le savoir être à portée du moindre clic sur Internet. Est-ce pour autant la fin de l'exploration et de l'explorateur ? Non, car personne ne peut avec certitude déterminer ce que seront les réalités et les sociétés futures et de nouveaux pionniers auront à défricher des voies inconnues. Nous allons devoir changer et nous adapter. Il ne s'agit plus de se demander s'il reste quelque chose à explorer mais de trouver comment nous allons, toutes et tous, devenir des explorateurs de ce monde en mutation. Comment nous allons éviter de reproduire les erreurs du passé pour ne pas conduire notre humanité, mais aussi l'ensemble du vivant, à sa perte. Et comment nous allons explorer demain pour mieux le construire.
Un témoignage puissant et inspirant pour tous les amoureux du voyage !
?Une école de commerce est tout sauf une fabrique à auto-stoppeurs, l'objectif premier étant de former les chefs d'entreprise et décideurs de demain et de les préparer au marché du travail. Ludovic Hubler, Alsacien formé à l'école de commerce de Strasbourg, a choisi quant à lui de casser tous les schémas de formation établis et de procéder différemment. 24 ans au moment de l'obtention de son Master, il part du principe qu'une découverte des réalités du monde est un préambule nécessaire avant de s'ouvrir à la vie professionnelle.
C'est ainsi qu'il se lance le 1er janvier 2003 dans un « tour des hommes », qu'il aime appeler son « doctorat de la route ». Son aventure va durer cinq années, au cours desquelles il utilisera uniquement le stop sous toutes ses formes pour se déplacer. Du « voilier-stop » pour traverser notamment les océans Atlantique et Pacifique au « brise-glace-stop » pour se rendre sur le continent Antarctique en passant par la traversée du Sahara ou de pays comme la Colombie ou l'Afghanistan, Ludovic aura testé son pouce dans toutes les situations possibles et imaginables. Ses rencontres furent aussi nombreuses que variées. Parmi les plus marquantes figurent celle avec le Dalaï-lama qui l'a reçu dans sa demeure de Dharamsala en Inde mais aussi celles de plusieurs milliers d'étudiants de tous horizons avec qui Ludovic a partagé son aventure en cours de route.
5 années de voyage, 170 000 km parcourus, 59 pays traversés, des centaines de conférences données et les services de plus de 1 300 conducteurs donnent une idée de l'ampleur et de la richesse du périple. Plus qu'un nouvel exploit de l'extrême, ce livre retrace une aventure humaine extraordinaire dont le souffle de liberté ne manquera pas de vous emporter...
Ce récit parsemé d'aventures, de rencontres et de leçons de vie vous emmènera au bout du monde !
EXTRAIT
J'ai toujours pensé qu'écrire un livre était un exercice très difficile. Étant naturellement plus attiré par les chiffres que par les lettres, je m'étais promis avant mon départ de partager mon parcours uniquement avec des photographies et des histoires orales. Surtout pas via l'écriture d'un livre ! Pourtant, au fil des années de voyage, de nombreuses personnes m'ont encouragé à prendre la plume afin de mieux partager ce tour du monde en stop. « Ton expérience mérite un bouquin, Ludo. Fais de ton mieux et surtout laisse parler ton coeur » m'a-t-on répété de nombreuses fois.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
À la frontière entre le récit, le journal intime et le livre géo politique, Le monde en stop est un ouvrage passionnant que je recommande à tout amateur de voyage et à ceux qui souhaitent voir le monde autrement. - Aroundtheworld
Un voyage riche et une expérience de lecture fascinante. Et puis surtout : une grande prise de conscience. - Mafta, Babelio
Pari réussi haut la main tant son récit est dense, authentique et passionnant. - Instinct-voyageur
Ludovic vit le fantasme de tellement de gens, celui de voyager, en nomade, sans contrainte de temps. Jack Kerouac, faire-le-tour-du-monde, la toune de Charlebois. On en a tous rêvé, non ? - Patrick Lagacé, Le Journal de Montréal
Ludovic Hubler aurait sans doute étonné Jules Verne - Philippe Doucet, Le Figaro
L'histoire commune qui rapproche les hommes du loup, cet animal qui se joue des frontières, est fascinante. Dans le contexte d'une érosion majeure de la biodiversité, l'enquête personnelle de Caroline Audibert initie à une plus vaste idée de l'écologie. Elle explore en profondeur la question du vivre-ensemble entre les hommes et le sauvage dont le loup se révèle le symbole. Une enfance passée en pleine montagne à rêver des loups, la découverte magique de son père dans une forêt du Mercantour, une sensibilité partagée avec les derniers bergers de l'Alpe... Tout poussait la journaliste Caroline Audibert à remonter la piste du loup parmi les derniers territoires sauvages de l'hexagone. Minutieusement, elle démêle trente ans d'une histoire commune qui rapproche les hommes de cet animal qui se joue des frontières. Le loup n'est plus le héros d'un conte pour enfants. Il fait la Une des journaux, désespère les bergers, intéresse la génétique, enthousiasme les écologistes, préoccupe les ministères... Son retour inopiné fascine ou irrite, révélant d'indépassables contradictions au sein d'une grande fresque humaine où chacun défend avec passion sa propre vision de la nature.
Dans le contexte d'une érosion majeure de la biodiversité, l'enquête très personnelle de Caroline Audibert initie à une plus vaste idée de l'écologie, à une vision systémique des choses. Elle explore en profondeur la question du vivre-ensemble entre les hommes et le sauvage dont le loup se révèle le symbole. Serions-nous à l'aube d'un nouveau cycle ?
Prix 30 millions d'amis essai 2019.Prix essai 30 millions d'amis
" Ce livre est à la fois une exploration de ce qui fonde l'état de voyage, au plus intime, et un compagnon de route pour nous permettre de vivre cet état dans notre vie de chaque jour. Sorte d'antimanuel de voyage, il prend le contre-pied des guides touristiques, approfondit une approche plus spirituelle de l'itinérance et permet à chacun de se découvrir explorateur du quotidien ou du lointain -; comme il lui plaira. Vraiment, que nous souhaiter de mieux ? " Anne Bécel
Peut-on voyager tout en restant chez soi ? Pour répondre à cette question, Anne Bécel, géographe et auteur de guides de voyage côté pile, aventurière côté face, part à la rencontre d'écrivains de renom, grands voyageurs, poètes, artistes, anthropologues et sociologues. Elle a souhaité, à travers ce livre, prendre le contrepied des guides de voyage classiques et écrire le guide dont elle rêvait. Celui qui sera véritablement utile aux voyageurs en partance.
Un antimanuel composé d'écrits inédits de personnalités appréciées du grand public -;
Sylvain Tesson, Gilles Lapouge, Bernard Ollivier, Isabelle Autissier, Pierre Rabhi, Christian Bobin, Alexis Jenni, Marie-Édith Laval, Olivier Bleys, Kenneth White, Paolo Rumiz, Cédric Gras, David Le Breton, Tristan Savin, Bernard Hermann, Bruno Doucey, Blaise Hofmann, Gaële de La Brosse -;, écrit d'une plume alerte et enjouée.
De ces récits naît la certitude que, d'un voyage à l'autre, certaines situations se retrouvent : la confiance au monde, la disponibilité au hasard, la curiosité des autres habitent les voyageurs, en dépit de leurs peurs, de leurs désillusions et des bifurcations incertaines. Il apparaît également qu'il n'est pas nécessaire d'avoir vécu de grands voyages pour se sentir pleinement en " état de voyage " : il est tout à fait possible d'incarner cet état dans notre vie quotidienne.
8e titre de la collection " Chemins d'étoiles " dirigée par Gaële de La Brosse
« On ne vainc aucune montagne, on la gravit avec plus ou moins de brio, et parfois elle se montre accueillante, parfois au contraire elle rappelle tragiquementsa toute-puissance. Il n'y a là aucune cruauté, mais peut-être une représentation de la réalité face à nos croyances, à nos désirs, aux illusions que se forgent les hommes.La montagne est souveraine, imprévisible, magnifique, nhospitalière, infi niment précieuse, nécessaire, mortelle :elle est tout cela selon qui la regarde. Et les hommes qui l'aiment le savent au prix du deuil. »
Une plume magnifique au service d'une épopée aussi bien visuelle que romanesque : l'Antarctique comme vous ne l'avez jamais lu !
Une ligne. Une ligne plus sombre. Une ligne au-dessus de la banquise comme un trait de pinceau sur une aquarelle. Elle se précise maintenant, vaste, large, occupant tout mon champ de vision, barre l'horizon. Elle grandit. C'est une frange de teinte parme bien délimitée qui sépare la mer où nous voguons du ciel où nagent les nuages... Janvier 1840. Après deux ans et demi de périple dans les mers du Sud, Jules Dumont d'Urville découvre la terre Adélie. Pour la première fois, des hommes foulent le sol de l'Antarctique et apportent la preuve qu'il s'agit d'un continent. Sur le pont de la corvette
L'Astrolabe, dans le vent glacial, entouré d'icebergs, Dumont d'Urville pense à sa femme Adèle et, dans un geste romantique, choisit de donner son prénom à cette nouvelle terre, une des dernières encore inconnues de la planète.
Janvier 2017. Dans le sillage de cette histoire d'amour, le journaliste Michel Izard embarque sur le brise-glace
L'Astrolabe qui prend la même route, arrive exactement au même endroit pour ravitailler la base française en Antarctique, la station Dumont-d'Urville, où se côtoient marins, boulangers, mécaniciens et chercheurs du bout du monde.
Adélie, mon amour : deux récits parallèles qui çà et là s'entrecroisent. L'exploit des voiliers de 1840 guidés par la seule intuition de leur capitaine et le voyage présent du navire polaire qui, 177 ans plus tard, demeure une expédition à l'assaut de la banquise.
Qui sont aujourd'hui les descendants de Fletcher Christian?? Comment les révoltés du Bounty ont-ils survécu en quasi-autarcie sur leur île du bout du monde pendant dix générations?? Pourquoi la couronne britannique tient-elle enfin sa revanche sur les mutins qui la défient depuis 1790??
Sur le mode croisé du récit d'aventures et de l'enquête journalistique, Olivier Goujon raconte l'épopée à la fois mythique et terrifiante de la plus étonnante communauté humaine. La destinée d'une cinquantaine de femmes et d'hommes qui ont été rejetés et déconnectés du reste du monde, des progrès de la science et de l'évolution. Une nation damnée qui a vécu dans la difficulté extrême pendant deux cent trente ans, bien souvent contre la morale et les droits humains.
Rattrapée par le monde moderne, la diplomatie secrète, le commerce international, et la justice de la Reine, l'île arrive aujourd'hui à un tournant dramatique de son histoire...
Olivier Goujon est journaliste, photo reporter et auteur (Femen histoire d'une trahison, Ces cons de journalistes...). Il est l'un des très rares journalistes à s'être rendu dans l'île et à avoir eu accès à la société fermée de Pitcairn.
Six ans d'aventures insolites autour du globe : en tuktuk ou en pédalo, en stop ou à vélo, Capitaine Rémi réalise des défis extraordinaires à travers le monde.En 2014, Rémi décide de devenir le capitaine de sa vie. Il écrit une liste de rêves et part au bout du monde pour les réaliser. Il se lance de nombreux défis insolites et extraordinaires aux quatre coins de la planète : traverser l'Atlantique en voilier ; aller en Laponie en autostop, déguisé en Père Noël ; descendre la Seine en pédalo ; faire le tour du Sri Lanka en tuktuk ; rejoindre Bruxelles en Vélib ; défiler au carnaval de Rio de Janeiro ; rejoindre Moscou en autostop, déguisé en joueur de foot, pendant la Coupe du monde...
Dans Mon tour du monde des défis insolites, Rémi raconte sans détour ses drôles d'aventures et livre une vraie quête spirituelle et un condensé d'émotions. On rit, on pleure, on frisonne avec lui.
Avoir des rêves, c'est bien ; les réaliser, c'est mieux !
Parcourant le monde seule sur sa moto, Mélusine Mallender s'est lancée à la poursuite de la liberté. Pour elle-même mais surtout pour les femmes des pays qu'elle traverse.
Juin 2010 : Mélusine décide de partir seule avec sa vieille moto 125 cm3 pour " aller le plus loin possible " en direction de l'est. On lui prédit qu'elle ne dépassera pas le périphérique parisien. Quatre mois plus tard, elle arrive pourtant à Vladivostok, où la mer du Japon l'arrête.À sa manière, elle a trouvé dans ce voyage initiatique hors du commun ce qu'elle était partie chercher : sa liberté. Mais elle revient avec de nombreuses questions sur cette notion de liberté, différemment vécue d'un pays à l'autre, plus particulièrement par les femmes.Alors elle décide de repartir, toujours sur sa moto, véritable vecteur de rencontres. Du Moyen-Orient à l'Asie centrale, de l'Asie du Sud à l'Afrique de l'Est, elle traverse des contrées que l'on connaît mal et dont on a parfois une image négative : Iran, Rwanda, Myanmar, Pakistan, Somaliland...Plus de cinquante pays, cent mille kilomètres, quinze films et des milliers de rencontres et interviews plus tard, elle raconte la genèse de sa quête.
Pour devenir un petit homme, Santiago, 7 ans, décide de marcher jusqu'à Compostelle. Céline, sa mère, l'accompagne et raconte avec une verve pétillante cette aventure hors du commun. 1200 kilomètres emplis de vie, d'humour et d'émotions.
Depuis toujours, Céline, Franco-Péruvienne, répète à son fils Santiago qu'il est un jeune guerrier des Andes, descendant direct des Quechuas, et qu'il devra un jour choisir un rite initiatique pour devenir un petit homme.
À 7 ans, Santiago déclare : " Maman, je veux aller sur mon chemin, le chemin de Santiago de Compostela. Je te promets que même si j'ai mal aux pieds, j'irai jusqu'au bout. "
C'est ainsi que le 22 juin 2014 débute leur périple de 1200 kilomètres vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Le fils apprend que sa mère ne sait pas tout, et la mère découvre un fils qui grandit trop vite.
Sur leur chemin, ils croisent des personnages hauts en couleur : Pierre et son taureau, l'alchimiste de la forêt de Castelnau, Jacques le beau géant aux yeux turquoise, P'tit Louis, les anges du Camino et bien d'autres... Entre jeux, rencontres inoubliables, larmes, bouderies, expériences spirituelles, disputes et fous rires, Santiago s'émerveille de la vie et réenchante le vaste monde.