Une cigale qui rencontre une fourmi, un rat des champs qui rend visite à un rat de ville, une laitière qui promène son pot au lait...Ces drôles de héros nous accompagnent depuis notre plus tendre enfance, à travers les livres de lecture de l'école et de la bibliothèque familiale où figure en bonne place La Fontaine.
Né en 1621, voilà quatre cents ans, notre poète, bon vivant et rêveur, un brin gaillard, se promène dans la mémoire des petits et des grands.
Jean-Joseph Julaud et Chaunu vous proposent de revisiter ces chroniques de la vie humaine et des temps anciens, de goûter à nouveau leur rigueur et leur fantaisie à travers une sélection de 50 fables commentées, illustrées, et assorties de l'apologue d'origine.
Ruben se passionne pour les chemins de fer naissants. Pour ses 12 ans, son père lui offre son premier voyage en train. Au cours du trajet, il rencontre un mystérieux personnage qui le subjugue : Paulin Talabot, le grand initiateur des chemins de fer français. Quelques mois plus tard, ses parents recueillent une fillette, Marie. Ils grandissent côte à côte, comme frère et soeur. Avec les années, Ruben s'éprend de Marie, qui refuse de lui accorder son amour. Attristé par ce refus, Ruben décide de quitter le mas familial. Le jour de ses 20 ans, en 1864, contre l'avis de son père, il se fait engager sur les chantiers de chemin de fer. Commence pour Ruben une vie faite de rencontres, d'amour, de dangers et de révolte.
Une vie qui lui fait côtoyer un jeune ingénieur, des camarades ouvriers, cévenols et étrangers, des "rouges" qui tentent de l'entraîner dans la contestation politique.
Du rêve à la réalité, le jeune Ruben saura finalement faire la part des choses, mais au prix de certains sacrifices.
L'amour. C'est un rêve, un souci, un désir, un compagnon sur le chemin de nos vies. Nous ne pouvons pas nous empêcher de l'interroger, de le bénir, de le maudire. Paradoxalement, même quand nous le fuyons, nous ne cessons de l'espérer. Pourrions-nous vivre sans lui, sans ses tempêtes, ses refuges, ses cavalcades ? À explorer sans repos les mille chemins de l'espérance humaine, les contes, au fil des âges, ont appris la musique de ce coeur du monde qu'est l'amour. Henri Gougaud, l'un de nos plus grands conteurs, nous en propose soixante-quinze, pour nous éclairer, nous amuser, et cheminer avec nous dans le jeu le plus mystérieux du monde : le jeu de l'amour et du hasard.
« Je sais, pour les avoir fréquentés toute ma vie, que les contes sont des êtres attentifs et bienveillants. Ils répondent toujours à nos questions, pour peu qu'ils soient interrogés avec cette innocence dont ils sont eux-mêmes pétris. »Henri Gougaud
Capucine travaille sans compter ses heures dans une entreprise où règnent rivalités et exploitation. Un peu de repos est bienvenu ! C'est donc heureuse qu'elle retrouve au domaine familial, comme chaque année à cette date, sa soeur Melody, sa grand-mère Léonie et sa grande-tante Octavie pour célébrer la triste disparition de ses parents lors d'un accident de voiture. Mais cette année, la mort du voisin trouble les commémorations. Octavie semble la cible d'accusations, et Capucine va devoir fouiller le passé familial. Entre secrets, vengeances et révélations, Capucine ne verra plus sa famille comme avant, mais l'amour du vignoble sera, lui, décuplé...
Le quotidien d'une petite paroisse rurale bretonne imaginaire à travers le destin de trois familles, au XIX e siècle. Par l'auteur de Fils de ploucs.
" L'histoire est un roman qui a été ; le roman est de l'histoire qui aurait pu être ", disaient
les Goncourt. Ici, il s'agit de la restitution d'un monde réel : la vie d'une petite paroisse rurale
du Finistère de 1829 à 1871, à travers les destins croisés de trois familles - Jézéquel, Santec et
Guidou. Alliances, amours contrariées, travaux des champs jalonnent un quotidien à la fois
chaleureux et laborieux. L'auteur décrit aussi les relations souvent tendues entre prêtres, maires
et instituteurs, l'évolution des méthodes de travail ou des rapports entre générations. Mais
aussi les superstitions... Comme la peur de l'Ankou, personnification effrayante de la Mort,
et croyance toute bretonne.
Une vengeance de l'Ankou, ouvrage rigoureux et documenté, enrichi d'expressions typiques
utilisées en Bretagne jusqu'à une date récente, dépeint parfaitement ce pays et ses habitants au
XIXe siècle.
Tout le folklore des contes et légendes de France, région par région, rassemblés par Claude Seignolle, infatigable arpenteurs de nos campagnes.Voici des contes merveilleux, des contes facétieux, des histoires d'animaux, de voleurs et de sots, de sorcières et de diables, des récits, des légendes par centaines, enracinés au plus profond de nos terroirs et de notre imaginaire, recueillis et rassemblés par l'un de nos derniers conteurs.
Né en 1917 à Périgueux, Claude Seignolle s'est passionné très tôt pour le folklore et son cortège de rituels festifs, de superstitions, de légendes. Il en fera un inventaire très complet, région par région, et c'est cette immense veillée, fruit de plus de trente années de recherches, qui compose les quatre volumes des
Contes, récits et légendes des pays de France.
Tout le folklore des contes et légendes de France, région par région, rassemblés par Calude Seignolle, infatigable arpenteur de nos campagnes.Voici des contes merveilleux, des contes facétieux, des histoires d'animaux, de voleurs et de sots, de sorcières et de diables, des récits, des légendes par centaines, enracinés au plus profond de nos terroirs et de notre imaginaire, recueillis et rassemblés par l'un de nos derniers conteurs.
Né en 1917 à Périgueux, Claude Seignolle s'est passionné très tôt pour le folklore et son cortège de rituels festifs, de superstitions, de légendes. Il en fera un inventaire très complet, région par région, et c'est cette immense veillée, fruit de plus de trente années de recherches, qui compose les quatre volumes des
Contes, récits et légendes des pays de France.
À la ferme des Pérol, la vie est dure mais Clémence ne se plaint pas. Douce et rêveuse, la jeune fille résiste aux avances de son voisin, le fourbe et grossier Émile, car c'est Armand, le bel inconnu, qui prend son coeur. Hélas, à peine devenue une femme entre ses bras, l'amoureux est appelé au front. Émile tient alors sa revanche, pour le plus grand malheur de Clémence. Jusqu'au jour où celle-ci décide de prendre en main sa destinée, quitte à bousculer les conventions.
Yao grandit dans un village d'Afrique avec sa famille. À force d'écouter les récits sur la vie des Blancs, Yao décide de prendre lui aussi la route pour la France pour faire fortune. Mais tout au long de son périple, Yao va découvrir le monde tel qu'il est... C'est une véritable leçon de vie pour ce jeune homme qui finit par se poser la question essentielle : qu'est-ce que la vraie richesse ?
Contraint de quitter son exploitation, Marcellin se met en route avec sa famille pour les houillères du Gard. Alors que ses enfants restent travailler en surface, lui découvre l'enfer de la mine - les inondations, les incendies et les coups de grisou - mais aussi les mouvements ouvriers. Entre catastrophes et luttes sociales, entre peines et joies sentimentales pour les enfants qui grandissent, chacun s'en remet quotidiennement au dur labeur de la mine...
La forêt de Brocéliande, royaume de l'imaginaire. Depuis les héros arthuriens, elle n'a cessé de produire des songes, fantastiques ou réalistes, repris par des générations sous forme de contes et légendes.
Comme chaque année, le jeune Mathieu regarde Antoine Chabrol, son père, partir pour l'estive sur les drailles de grande transhumance. À chacune des étapes d'Antoine, le troupeau s'agrandit pour atteindre quinze cents têtes à l'arrivée sur les hauts plateaux. La plupart des bêtes appartiennent à Auguste Donnadieu, le châtelain du pays, dont Antoine est l'un des métayers. Chaque été, Antoine reste cinq mois sur le Causse. Pendant cette période, Adeline, sa femme, doit élever seule leurs quatre enfants. Rythmée par l'absence des hommes, la vie de ces protestants cévenols semble immuable. Cependant, des soubresauts secouent bientôt la région, une flambée de révolte soulève ces paysans épuisés et miséreux. Les Chabrol ne seront pas épargnés...
Ils devront combattre l'adversité en lui opposant l'obstination née de leur labeur et l'amour qu'ils se vouent les uns aux autres pour retrouver le bonheur.
« Bé dame, écoutez ! On dit qu'un trésor est caché à la ferme de Duchaffault ! » Une rumeur que Violette, qui vit justement à Duchaffault, a déjà entendue maintes fois. Mais cet or des guerres de Vendée semble rendre les adultes de son entourage bien nerveux. La seule chose que la fillette parvient à entendre de leurs messes basses est un sombre présage : « Le mal est fait, le maléfice... » Difficile pourtant de ne pas rêver de trésors alors que les terres de son enfance sont peuplées de mythes et de croyances qui la fascinent autant qu'ils la terrifient.
Au rythme d'une campagne encore à l'abri de la modernité, Violette grandit, passant des curiosités de l'âge tendre aux amours adolescentes et aux épreuves de la vie d'adulte. Et si, au détour d'un de ces chemins moussus de Vendée, l'or n'était pas si maudit et finissait par jaillir, faisant briller les yeux d'enfant que nous avons tous en nous ?
Entre réalité et fiction, Cyriaque Griffon s'appuie sur la mémoire familiale transmise par sa mère pour dépeindre un univers bucolique et empreint de nostalgie. Mêlant la petite histoire à la grande, il fait revivre les souvenirs d'une Vendée où se côtoient religion, superstitions et légendes dans un roman endiablé...
Le regard du voyageur qui emprunte la route reliant Sisteron à Manosque, le long de la vallée de la Durance, est immanquablement attiré par une curieuse formation rocheuse surplombant le village des Mées, dont l'apparence évoque une procession de pénitents encapuchonnés. Ces falaises s'étirent sur 2,5 kilomètres et certains rochers atteignent 100 mètres de haut, formant un site très spectaculaire, classé depuis 1941. La légende raconte qu'un seigneur local se fit un harem avec de belles et jeunes Sarrasines rescapées de l'assaut d'une forteresse maure. Menacé d'excommunication, celui-ci dut se résoudre à relâcher ses affriolantes prisonnières et à les livrer à un monastère près d'Arles. Les moines chargés de leur transfert, sur le point de succomber à la tentation, furent pétrifiés par saint Donat. Dans cet essai sur l'imaginaire des rochers et le mythe des Sarrasins, l'auteur met son savoir et ses méthodes d'universitaire au service d'une enquête qui fait la part entre les éléments historiques et légendaires.
D' Abeille à Vrillette en passant par Cantharide, Loup-garou, Mandragore, Trèfle... un ouvrage encyclopédique pour découvrir une France disparue et pourtant pas si ancienne. De tout temps, croyances et superstitions ont expliqué les mystères du monde. Elles reposent sur la certitude que des forces supérieures et surnaturelles régissent la vie sur terre, qu'il est possible de les comprendre (présages, divination), de s'en protéger, voire de les modifier (rites, médecine magique) et de les provoquer (sorcellerie). Dans une France largement rurale, le peuple s'entoure d'un ensemble de rites et de croyances, parfois très localisés, qui accompagnent les grands passages de l'existence (naissance, mariage, mort...), les phénomènes naturels (climat, maladies...), les moments-clés de l'année (saisons, solstices, fêtes religieuses ou d'origine païenne...), tout un corpus magique largement remodelé par l'Église au cours du Moyen Âge.
Fruit d'une vie de recherches, le
Dictionnaire de la France mystérieuse rassemble et synthétise la somme des connaissances, à l'origine souvent obscure, que les folkloristes du xixe siècle ont collectées dans les campagnes françaises.
Deux types d'entrées :
o Le support de la croyance : objet, plante, animal, phénomène naturel (vent, orage...)
o Les thèmes et événements : grands moments de l'existence, de l'année, et les sujets de croyance collective (démons, sorcellerie...)
Chaque article traite la croyance ou la superstition selon les caractéristiques régionales et intègre récits et témoignages. Une centaine de gravures anciennes illustrent le propos en apportant des informations complémentaires.
Paru en 2017, le
Dictionnaire de la France merveilleuse complète cette somme en traitant, sous la même forme, du surnaturel, des êtres fantastiques, des hantises et des lieux enchantés.
S'il fut un spécialiste de l'oeuvre de Victor Hugo, Paul Berret (1861- 1943) n'en oublia pas pour autant son pays natal dauphinois. Il publia ce Au pays des brûleurs de loups en 1904, lequel connut, tout au long de la première moitié du XXe siècle, un succès constant.
Alors laissez vous entraîner dans ces contes et légendes qui, d'une façon ou d'une autre, vous amènerons dans le passé du Dauphiné, proche ou lointain :
De l'affaire tragi-gastronomique du fameux repas de Saint-Marcellin lors des guerres de Religion à l'évocation légendaire de la première Dauphine, ou de la fameuse graille, cet oiseau maléfique qui fit, même mort, tant d'ombrage à la notoriété de M. de Saint-André, intendant du Dauphiné, aux amours impossibles de Djem, frère du Sultan, et de Philippine de Sassenage : entrez dans la ronde des contes et des légendes !...
N'hésitez pas à vous laisser entraîner dans ces légendes et récits historiques qui, d'une façon ou d'une autre, vous amènerons dans une meilleure connaissance du passé du Dauphiné, proche ou lointain. Du clin d'oeil à Victor Hugo avec le manuscrit « perdu » du mariage de Mandrin, en passant par la légendes des trois pucelles, la mystérieuse et horrible disparition de Lucie de Précomtal, l'idylle avortée d'un certain sous-lieutenant Bonaparte avec Mlle du Colombier ou encore l'histoire de l'ensevelie de la Tour de Brandes... Une galerie de portraits et d'évènements qui vous laisseront tour à tour songeur, étonné, compatissant, triste ou joyeux !
S'il fut un spécialiste de l'oeuvre de Victor Hugo, Paul Berret (1861-1943) n'en oublia pas pour autant son pays natal dauphinois. Il publia, en 1937, cette suite de Au pays des brûleurs de loups, recueil qui connut, tout au long de la première moitié du XXe siècle, un succès constant.
Un florilège de contes et légendes résolument évocateur de ce merveilleux provençal éclaboussé de soleil, de thym et de lavande, tressé de peurs ancestrales, tramé des fils d'une histoire mouvementée, tissé tel un boutis de ces arabesques de l'imaginaire vernaculaire brodé aux traditions et superstitions populaires.
Le lecteur est ainsi convié à berner le diable, à fréquenter les saints, à imiter les fées ou encore à apprivoiser les sorcières et déguster des calissons.
Il parcourt secrètement, au chant des cigales ou par un fort mistral, les lieux les plus insolites, des grottes des Alpilles aux rives du Rhône, du pont d'Avignon au mont Ventoux, des rivages de la Méditerranée aux contreforts des Alpes.
Sur les pas de la Tarasque, de la Chèvre d'Or, de saint Bénezet et Nostradamus ou de la reine Jeanne, ainsi que de tous ces êtres fantastiques peuplant une terre attachante et déroutante, il explore alors, sur un mode ludique, mythes, mémoire et magie.
Une gageure : un an de fables, comme celles de Jean de La Fontaine, pour l'anniversaire des 400 ans de sa naissance en 1621. Des fables pour petits et grands, des fables historiques, politiques, géographiques, géologiques, botaniques, sportives, inspirées, religieuses, laïques, littéraires, philosophiques et culturelles : des fables que tous les hommes se racontent pour rire entre soi, de soi, pour prendre ici fait - comme le célèbre fabuliste pour Fouquet à Vaux-le-Vicomte contre la monarchie - et cause pour le Vercors et le donner en exemple de sacrifice au maquis, de son adaptation par la seule volonté des hommes et de la transformation de la nature grâce à la culture.Une allégorie de la sagesse animale, un kaléidoscope de fables pour les plus jeunes et les adultes, qui répond à celles de la cour, à l'époque de Jean de La Fontaine, et redonne de l'éclat au bonsens de la province.
Bartoli, Castelli, Caviglioli, Romanetti, Spada... sont des patronymes qui ont défrayé la chronique en Corse au début du XXe siècle. Ces bandits de grand chemin qui passaient pour être « les rois du maquis » finirent par faire sortir de ses gonds le gouvernement français qui décida en 1931 d'organiser une véritable expédition militaire pour les arrêter, ou plutôt les « exterminer ». Jean-Baptiste Marcaggi revient sur la réalité de ses bandits dans un ouvrage édité pour la première fois en 1932, juste après « les événements » de 1931. Son travail, bien documenté, donne une version plus proche de la réalité que du héros romantique proposé par Mérimée.
Enfant du Languedoc-Roussillon, Daniel Hernandezse plaît à témoigner sur sa région à travers l'écriture : polars, topo-guides, nouvelles...
Dans « Contes cachés de mon village », tour à tour féérique, épique, cocasse et nostalgique, entre réalité et fiction, il nous embarque dans son imaginaire pour nous faire découvrir l'environnement de son enfance : Ouveillan, un village du Midi.
Les contes de Daniel, servis ici par les magnifiques illustrations de Benoît Lacou, ont une telle force que l'un d'eux, L'Histoire du Moine de Fontcalvy a été adapté en 2015 par le metteur en scène Yannick Séguier et joué par la troupe d'Histoire en Spectacles.
L'auteur, que l'on surnomme le « Prince des conteurs », nous décrit dans ses récits, inspirés de la tradition populaire, la vie wallonne de l'entre-deux-guerres. Ces contes renvoient à une littérature engagée qui veut promouvoir la Wallonie. Margot de Haynaut et la petite Reine Blanche, Le dernier loup de Sambre-et-Meuse, Tcheu-Tcheure, La vieille aux Myosotis ou Ziré Buzette... sont des contes, mais aussi des trésors de superstitions pour permettre de découvrir l'âme du peuple wallon.
Pont-Aven a séduit les artistes bien avant que Gauguin y vienne. Dès 1866, une petite colonie de peintres américains s'y établit. Tout les enchante : la lumière incomparable de la Bretagne, lespaysages et les moulins pittoresques, les sentiers du Bois d'Amour, le soleil sur la rivière, le spectacle du port animé par les bateaux
de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils peignent, se font adopter par la population.
Parmi eux, on remarque Mary Ann Flynn, une jeune Américaine adepte du fusain. Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui préfère l'aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière et s'y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou moins argentés.
Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d'un homme, artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l'une et l'autre cachent une blessure. Auraient-elles choisi l'art contre l'amour ?
À travers la peinture d'une amitié sans faille entre deux femmes à l'esprit libre, Colette Vlérick fait revivre une page colorée mais souvent oubliée de la longue histoire entre Pont-Aven et les artistes.
NB : Le fichier EPUB est disponible uniquement en version "MISE EN PAGE FIXE".
Les contes populaires de la Grande-Lande sont un des joyaux de la littérature orale de la Gascogne. Le présent ouvrage reprend quelque 68 autres contes d'Arnaudin. Ce n'est pas peu dire quelle importance a revêtu le collectage de Félix Arnaudin - le "pèc" de Labouheyre - dans la sauvegarde de la mémoire collective gasconne. Une transcription en français aidera ceux qui n'ont qu'une faible connaissance de la langue gasconne afin qu'ils puissent suivre et apprécier le texte original. Une étude sur la prononciation et l'écriture du gascon de la Grande-Lande complète utilement l'ouvrage.
Los condes de le Lana-Grand que son ua de les jòias de le literatura orau de le Gasconha. Lo líber aqueste que torna préner uns 68 auts condes d'Arnaudin. Qu'es chic díser l'importéncia qu'avot le culhida d'Arnaudin - lou "pèc" de Lebohèira - entau sauvament de le memòria collectiva gascona. Un adobament en francés qu'ajuderà lous qui la coneishença de le lenga gascona e hè hrèita entà poder seguir e presar lo tèxte originau. Un estudiòt suu prononciar deu gascon de le Lana-Grand que complèta de-plan l'obratge.