Widely regarded as the world's first modern novel, and one of the funniest and most tragic books ever written, Don Quixote chronicles the famous picaresque adventures of the noble knight-errant Don Quixote de La Mancha and his faithful squire, Sancho Panza, as they travel through sixteenth-century Spain. Unless you read Spanish, you've never read Don Quixote.
"Don Quixote is practically unthinkable as a living being," said novelist Milan Kundera. "And yet, in our memory, what character is more alive?" Widely regarded as the world's first modern novel, Don Quixote chronicles the famous picaresque adventures of the noble knight-errant Don Quixote de La Mancha and his faithful squire, Sancho Panza, as they travel through sixteenth-century Spain. This Modern Library edition presents the acclaimed Samuel Putnam translation of the epic tale, complete with notes, variant readings, and an Introduction by the translator.
The debt owed to Cervantes by literature is immense. From Milan Kundera: "Cervantes is the founder of the Modern Era. . . . The novelist need answer to no one but Cervantes." Lionel Trilling observed: "It can be said that all prose fiction is a variation on the theme of Don Quixote." Vladmir Nabokov wrote: "Don Quixote is greater today than he was in Cervantes's womb. [He] looms so wonderfully above the skyline of literature, a gaunt giant on a lean nag, that the book lives and will live through [his] sheer vitality. . . . He stands for everything that is gentle, forlorn, pure, unselfish, and gallant. The parody has become a paragon." And V. S. Pritchett observed: "Don Quixote begins as a province, turns into Spain, and ends as a universe. . . . The true spell of Cervantes is that he is a natural magician in pure story-telling."
"Ever since I could chase a bone, I've longed to talk...." The first talking-dog story in Western literature--from the writer generally acknowledged, alongside William Shakespeare, as the founding father of modern literature, no less?
Indeed, The Dialogue of the Dogs features, in a condensed, powerful version, all the traits the author of Don Quixote is famous for: It's a picaresque rich in bawdy humor, social satire, and fantasy, and it uses story tactics that were innovative at the time, such as the philandering husband who, given syphilis by his wife, is hospitalized. Late one feverish night he overhears the hospital's guard dogs telling each other their life's story--a wickedly ironic tale within the tale within the tale, wherein the two virtuous canines find themselves victim, time and again, to deceitful, corrupt humanity.
Here in a sparkling new translation, the parody of a Greek dialogue is so entertaining it belies the stunningly prescient sophistication of this novella--that it is a story about telling stories, and about creating a new way to discuss morality that isn't rooted in empiricism. In short, it's a masterful work that flies in the face of the forms and ethics of its time...and perhaps ours as well.
The Art of The Novella Series Too short to be a novel, too long to be a short story, the novella is generally unrecognized by academics and publishers. Nonetheless, it is a form bloved and practiced by literature's greatest writers. In the Art Of The Novella series, Melville House celebrates this renegade art form and its practitioners with titles that are, in many instances, presented in book form for the first time.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Première partie.
Cervantes déclare que les premiers chapitres sont tirés des « Archives de La Manche » et le reste traduit depuis l'arabe de l´auteur morisque Cid Hamet Ben Engeli, l´enchanteur qui tire les ficelles de don Quichotte tout au long du roman. C'était une méthode courante à l'époque à cause de la désapprobation dont le genre du roman faisait l'objet. L´intrigue couvre les aventures d'un pauvre hidalgo (gentilhomme) de la Manche, dénommé Alonso Quichano, et obsédé par les livres de chevalerie, qu'il collectionne dans sa bibliothèque de façon maladive. Ceux-ci troublent son jugement au point que Quichano se prend un beau jour pour le chevalier errant Don Quichotte, dont la mission est de parcourir l´Espagne pour combattre le mal et protéger les opprimés. Il prend la route, monté sur son vieux cheval, Rossinante, et accompagné d'un paysan naïf, Sancho Panza, monté lui sur son baudet, trompé par ses promesses de récompense extraordinaire. Don Quichotte passe pour un illuminé auprès de ceux qu´il rencontre. Il croit que les auberges ordinaires sont des châteaux enchantés et les filles de paysans de belles princesses. Il prend les moulins à vent pour des géants envoyés par de méchants magiciens. Il considère qu´une paysanne de son pays, Dulcinée du Toboso, qu´il ne rencontrera jamais, est l´élue de son coeur à qui il jure amour et fidélité. Sancho Panza, son écuyer, dont la principale préoccupation est, comme son nom l´indique, de se remplir la panse, estime que son maître souffre de visions, mais il se conforme à sa conception du monde, et entreprend, avec son maître, de briser l´envoûtement dont est victime Dulcinée. À la fin du deuxième volume, Don Quichotte, vaincu par le chevalier de la Blanche Lune (le bachelier Samson Carrasco), s´en retourne chez lui. Sancho le supplie de ne pas abandonner, lui suggérant de prendre le rôle de berger, souvent mis en scène dans des histoires bucoliques. Ayant abandonné la lecture de tout roman de chevalerie, il retrouve la raison et fait dès lors preuve de la plus grande sagesse, avant de mourir entouré de l´affection et de l´admiration des siens.
Seconde partie.
Cervantes déclare que les premiers chapitres sont tirés des « Archives de La Manche » et le reste traduit depuis l'arabe de l´auteur morisque Cid Hamet Ben Engeli, l´enchanteur qui tire les ficelles de don Quichotte tout au long du roman. C'était une méthode courante à l'époque à cause de la désapprobation dont le genre du roman faisait l'objet. L´intrigue couvre les aventures d'un pauvre hidalgo (gentilhomme) de la Manche, dénommé Alonso Quichano, et obsédé par les livres de chevalerie, qu'il collectionne dans sa bibliothèque de façon maladive. Ceux-ci troublent son jugement au point que Quichano se prend un beau jour pour le chevalier errant Don Quichotte, dont la mission est de parcourir l´Espagne pour combattre le mal et protéger les opprimés. Il prend la route, monté sur son vieux cheval, Rossinante, et accompagné d'un paysan naïf, Sancho Panza, monté lui sur son baudet, trompé par ses promesses de récompense extraordinaire. Don Quichotte passe pour un illuminé auprès de ceux qu´il rencontre. Il croit que les auberges ordinaires sont des châteaux enchantés et les filles de paysans de belles princesses. Il prend les moulins à vent pour des géants envoyés par de méchants magiciens. Il considère qu´une paysanne de son pays, Dulcinée du Toboso, qu´il ne rencontrera jamais, est l´élue de son coeur à qui il jure amour et fidélité. Sancho Panza, son écuyer, dont la principale préoccupation est, comme son nom l´indique, de se remplir la panse, estime que son maître souffre de visions, mais il se conforme à sa conception du monde, et entreprend, avec son maître, de briser l´envoûtement dont est victime Dulcinée. À la fin du deuxième volume, Don Quichotte, vaincu par le chevalier de la Blanche Lune (le bachelier Samson Carrasco), s´en retourne chez lui. Sancho le supplie de ne pas abandonner, lui suggérant de prendre le rôle de berger, souvent mis en scène dans des histoires bucoliques. Ayant abandonné la lecture de tout roman de chevalerie, il retrouve la raison et fait dès lors preuve de la plus grande sagesse, avant de mourir entouré de l´affection et de l´admiration des siens.
"El licenciado Vidriera" forma parte de la "Novelas ejemplares", escritas por Miguel de Cervantes entre 1590 y 1612. El estudiante Tomás Rodaja marcha a Salamanca a estudiar acompañando de un noble y allí se licencia con honores; viaja por diversas ciudades de Italia, pero pierde la razón a causa de una pócima de amor que le han suministrado en secreto y cree tener el cuerpo de vidrio y ser sumamente frágil, por lo que se obsesiona con la idea de romperse en mil pedazos.
"El amante liberal" forma parte de la "Novelas ejemplares", escritas por Miguel de Cervantes entre 1590 y 1612. Reúne elementos de la novela morisca y la novela bizantina, aunque al mismo tiempo critica implícitamente algunos aspectos de ésta última. En la novela aparece, junto al tema del amor generoso, el del cautiverio, que en Cervantes tiene tintes biográficos, aunque se añadan otros inventados.
"La casa de los celos" forma parte de las obras teatrales de Miguel de Cervantes. El autor se embarca en una comedia de circunstancias con carácter caballeresco. Se estructura en tres actos, dentro de los cuales se funden el motivo carolingio con la leyenda de Bernardo del Carpio.