'L'homme en noir fuyait à travers le désert, et le Pistolero le suivait...' Ce Pistolero, c'est Roland de Gilead, dernier justicier et aventurier d'un monde qui a 'changé' et dont il cherche à inverser la destruction programmée. Pour ce faire, il doit arracher au sorcier vêtu de noir les secrets qui le mèneront vers la Tour Sombre, à la croisée de tous les temps et de tous les lieux. Roland surmontera-t-il les pièges diaboliques de cette créature? A-t-il conscience que son destin est inscrit dans trois cartes d'un jeu de tarot bien particulier? Le Pistolero devra faire le pari de le découvrir et d'affronter la folie et la mort. Car il sait depuis le commencement que les voies de la Tour Sombre sont
impénétrables...
Jacques Frantz nous transporte dans l'un des romans les plus énigmatiques et déroutants de l'auteur. Palpitant.
Le récit épique et fantastique d'une enfant élevée par une sorcière, par un monstre dans un marais et par un dragon nain.
Découvrez la sensation US de 2016-2017 :
- #1 sur la liste des best-sellers du New York Times
- " La Fille qui avait bu la lune est aussi excitant et profond que Peter Pan et Le Magicien d'Oz. " - The New York Times
- Meilleur livre jeunesse 2016 par Entertainment Weekly
- Lauréat 2017 de la Newbery Medal
- En cours d'adaptation en film chez Fox Animation par le réalisateur de Rio.
Chaque année, les habitants du Protectorat abandonnent un bébé en sacrifice à la redoutée sorcière des bois. Ils espèrent ainsi détourner sa colère de leur ville prospère. Chaque année, Xan, la sorcière des bois, se voit contrainte de sauver un bébé que les fous du Protectorat abandonnent sans qu'elle ait jamais compris pourquoi.
Elle s'emploie à faire adopter ces enfants par des familles accueillantes dans les royaumes voisins. Mais cette année, le bébé en question est différent des autres : la petite a un lien étrange avec la lune et un potentiel magique sans précédent. Contre son gré, Xan se voit obligée de la ramener chez elle et de persuader ses amis réticents d'élever cette enfant pas comme les autres.
Ils la baptiseront Luna et ne tarderont pas à en devenir gâteux. Xan a trouvé comment contenir la magie qui grandit à l'intérieur de la petite, mais bientôt approche son treizième anniversaire, et ses pouvoirs vont se révéler...
Un grand roman sur le couple entre Chroniques de San Francisco et le film Marriage Story.
New York est sur le point d'échapper à Cléo. Elle ne s'est pas fait d'amis aux fêtes qu'elle fréquente, son visa étudiant va bientôt expirer et elle n'a même plus de quoi payer ses cigarettes. Le retour à Londres et l'échec que cela représente se rapprochent chaque jour.
Mais voilà qu'elle rencontre Frank. Il a vingt ans de plus qu'elle, des amis, du succès, de l'argent et la nationalité américaine.
De cette proposition digne d'une comédie romantique surgit sous la plume de Coco Mellors l'un des plus beaux romans contemporains sur l'amour, l'amitié et la conjugalité. La chronique brillante, drolatique, douloureuse d'êtres humains imparfaits en quête d'absolu qui ratent l'essentiel avec les meilleures intentions.
Coco Mellors est d'origine anglaise mais a fait ses études littéraires à New York. Elle vit maintenant à Los Angeles.
« Le roman le plus attendu de l'année. » - The Times (UK)
« Une lecture inoubliable. » - Evening Standard
« Un premier roman brillant. » - The Observer
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler.
C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker.
Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison.
À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces.
Comparé à William Styron et Flannery O'Connor, Robert Goolrick a créé avec son premier roman, Féroces, un de profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes du père, même quand il piétine sa tombe avec des chaussures anglaises.
C'est au cours de l'été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg. Il était chargé de deux valises - l'une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l'autre une importante somme d'argent.
Charlie y tomba deux fois amoureux. D'abord, il s'éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d'un Dieu qu'ils avaient toutes les raisons de trouver plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d'autres : il n'y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg.
La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra Sylvan Glass.
Après Féroces et Une femme simple et honnête, Robert Goolrick nous offre, avec Arrive un vagabond (Grand Prix des Lectrices Elle), une plongée sensuelle et enivrante au coeur de la passion. Il y dépeint les membres d'une communauté face à une tragédie en marche.
Des hommes et des femmes simples, qui se retrouvent partagés entre la terreur de ce qu'il va advenir de leur fils préféré et la fascination devant les événements qui écriront le souvenir de leur passage sur terre dans la poussière des siècles.
La solitude n'est pas à la mode. Ni les introvertis. Le monde des affaires et de la culture appartient à ceux qui parlent haut. L'homme idéal est sociable, a le goût du risque, sait travailler en équipe. Le discret, le timide est presque suspect, son caractère n'est pas adapté à notre monde. L'essentiel est de n'être jamais seul. Susan Cain a mené une enquête passionnante sur l'histoire et les raisons de cette domination. Comment l'extraverti a-t-il progressivement pris le pouvoir ? Comment est-on passé d'une « culture de caractère » à une « culture de personnalité » ? Elle démontre avec des exemples, Chopin, Darwin, Gandhi, Gates, Wozniac..., et en puisant dans les dernières recherches des psychologues, des anthropologues, des sociologues..., comment la créativité des introvertis rayonne sur les entreprises, les arts et même la politique. Non, le brainstorming ne donne pas de meilleurs résultats que le travail solitaire. Non, les banques dirigées par des chefs charismatiques ne génèrent pas des résultats supérieurs à celles animées par les patrons plus discrets. Non, les grandes avancées politiques n'ont pas été réalisées par les plus forts en gueule... Susan Cain prouve même le contraire. Elle s'appuie aussi sur des examens du fonctionnement du cerveau qui tendent à prouver que les introvertis recherchent le calme, car ils enregistrent les stimulations du monde extérieur avec une intensité accrue. Elle rassemble aussi des conseils pour les parents et les professeurs qui ont à faire à des enfants introvertis afin de les aider à profiter de leur sensibilité et à ne pas les faire tomber dans une certaine tendance à la victimisation. 30 à 50 % de la population occidentale serait composée d'introvertis. Le livre de Susan Cain nous apprend à mieux les comprendre.
Traduit de l'anglais par Marie de Prémonville
" On a rarement lu plus beau et plus déchirant. " Olivia de Lamberterie, ElleDiane Cooke, descendante d'une grande lignée, habite Saratoga, une magnifique propriété de Virginie qui fait la fierté de la famille. Mais cette maison, comme son nom, est lestée par deux dettes abyssales. La première est financière, et le seul moyen de s'en acquitter est au prix d'un mariage. La seconde est plus profonde : le prestige des Cooke est bâtis sur le plus sombre péché du Sud, l'esclavage. Et cette dette-là ne se rembourse que par une malédiction. La voici peut-être qui s'avance sous la forme du capitaine Copperton...
La vallée de La Calla désormais apaisée, Roland et ses amis doivent reprendre leur quête. Susannah manquant à l'appel, c'est tout le katet qui est en danger, suspendu entre fiction et réalité. Accompagnés du Père Callahan, les pistoleros n'ont d'autre choix que de franchir à nouveau la porte de la Grotte des Voix. Leur but ? Arracher la rose aux mains des suppôts du Roi Cramoisi... et sauver leur soeur d'armes, possédée par la démoniaque Mia et enceinte d'une créature redoutable qui pourrait bien changer la face de l'univers. Mais sur la route de l'énigmatique Tour Sombre, dont dépend le salut de tous les mondes, se trouve un bien étrange écrivain démiurge...
Wisconsin, automne 1907.
Sur un quai de gare, Ralph Truitt, magnat local craint et respecté, attend un train en retard alors que s'annonce une tempête de neige. Ce train renferme son dernier espoir, une promesse de bonheur et d'harmonie retrouvée. Ralph Truitt a placé plusieurs mois auparavant une annonce dans un journal de Chicago, dans laquelle il a écrit qu'il était à la recherche d'une femme fiable, ayant renoncé aux illusions romantiques, mais sachant apprécier le confort d'un foyer.
Dans le train, Catherine Land s'apprête à le rencontrer. Elle lui a répondu qu'elle était cette femme simple et honnête qu'il appelait de ses voeux. Pour mieux l'en convaincre, elle se débarrasse de ses derniers atours de courtisane et se déguise en cette épouse modèle qu'elle compte bien incarner à la perfection, le temps de parvenir à ses fins.
Une femme simple et honnête est un premier roman étourdissant par son art de la narration et la qualité de sa prose. Il a été comparé aux États-Unis à Jane Eyre ou aux Hauts de Hurlevent, des soeurs Brontë.
" Robert Goolrick accomplit avec son premier roman un petit miracle " - Boston Globe
" Une sublime ballade meurtrière " - Kirkus Review
" Je prédis que des centaines de milliers de lecteurs vont se jeter sur ce roman " - Publishers Weekly
Avec La Chute des princes, Robert Goolrick a écrit l'un des plus grands romans sur l'Amérique et l'argent depuis Gatsby le Magnifique. Dans l'incandescence, l'indécence, la décadence et la chute, il a trouvé la beauté. On peut faire confiance à Robert Goolrick pour toujours trouver la beauté des choses. C'est même la définition de son style.
"Quand on craque une allumette, la première nanoseconde elle s'enflamme avec une puissance qu'elle ne retrouvera jamais. L'incandescence originelle. Un éclat instantané, fulgurant. En 1980, j'ai été l'allumette. Cette année-là, je me suis embrasé pour n'être plus qu'une flamme aveuglante."
New York, années 1980. Robert Goolrick nous invite au bal des vanités, où une bande de jeunes hommes vont vendre leur âme au dollar et se consumer dans une ronde effrénée, sublime et macabre. Ils ont signé pour le frisson, une place sur le manège le plus enivrant que la vie ait à leur offrir.
Et ces princes vont jouer toute la partie : les fêtes, les drogues, l'alcool, les corps parfaits des deux sexes, les pique-niques dans la vaisselle de luxe, les costumes sur mesure taillés par des Anglais dans des tissus italiens, les Cadillac, le sexe encore et toujours, les suites à Las Vegas, des morts que l'on laisse en chemin mais pour lesquels il n'est pas besoin de s'attarder parce qu'on va les retrouver vite. Vite, toujours plus vite, c'est la seule règle de ce jeu. Aller suffisamment vite pour ne pas se laisser rattraper. Parce que les princes sont poursuivis par de terrifiants monstres : le sida, les overdoses, le regard chargé de honte de leurs parents, le dégoût croissant de soi-même, un amour s'excusant de n'avoir sauvé personne.
Robert Goolrick a reçu le Grand Prix des Lectrices Elle 2013 pour son précédent roman Arrive un vagabond.
Le jeune Taram est un apprenti porcher qui rêve d'aventures et de combats à l'épée.
Pour sauver son pays menacé par la contrée voisine d'Annuvin, le Pays de la Mort, Taram devra affronter l'abominable Arawn et son seigneur de guerre, le Roi Cornu, monstre sanguinaire au masque à ramures de cerf.
Pour l'épauler dans cette tâche, il s'entoure de compagnons inattendus : Eilonwy, la jeune princesse au caractère bien trempé ; Fflewddur, l'ancien roi devenu barde errant ; Doli, le nain revêche qui s'échine à devenir invisible ; et une créature étrange et sympathique du nom de Gurgi.
Sans oublier Gwydion, le grand prince et héros de guerre. Avec leur aide, Taram partira à la recherche de Hen Wren, le cochon blanc dont les prophéties pourraient être le seul espoir de sauver Prydain, et qu'Arawn rêve lui aussi d'attraper.
Il affrontera l'enchanteresse Achren, aussi belle que maléfique, rencontrera un peuple minuscule vivant sous terre, et devra mener ses compagnons à bon port avant les troupes de l'ignoble Seigneur de la Mort.
Aussi romanesque que littéraire, Liberata emprunte à Sinclair Lewis et Elena Ferrante.
Pendant la Grande Dépression, dans une petite ville du New jersey, une fille d'immigrants italiens, Marie Genovese, lutte pour son autonomie et sa liberté.
Ses bons à rien de frères sont tentés par le parti fasciste américain et ne jurent plus que par Mussolini. Marie préférerait qu'ils s'intéressent un peu moins à la politique et l'aident un peu plus à la pâtisserie que leur a léguée leur mère et qui est au bord de la ruine.
Pour ne rien arranger, elle est amoureuse d'un homme qui n'est pas de sa condition. Elle n'a aucune aspiration conjugale et se contenterait d'un peu de bonheur dans sa vie, mais cela aussi, c'est un voeu dangereusement moderne pour une femme de son époque.
Marie ne peut compter que sur elle-même... et peut-être sur la recette d'un gâteau de ses ancêtres.
Gail Retano a grandi dans le New Jersey et vit aujourd'hui sur la côte ouest des États-Unis. Elle a publié des nouvelles et des essais. Liberata est son premier roman.
"Une série profondément intelligente, aux enjeux moraux complexes, et bourrée d'action." - Publishers Weekly
Alex Verus vit à Londres et il est devin. Il peut voir le futur comme une faisceau de probabilités. Pour le commun des mortels, c'est un don impressionnant. Mais pour les autres mages, c'est le bas de l'échelle des arts occultes. De toute façon, Alex a tourné le dos à cette confrérie. Trop de rivalités, de secrets, de complots, trop de morts...
Sa seule ambition est de mener une existence sans histoires, caché dans sa petite boutique d'accessoires pour magiciens amateurs. Dans l'arrière salle, il continue à faire un peu de marché noir, c'est risqué mais le commerce des vrais objets magiques lui permet de payer le loyer.
Quand une relique puissante échoue entre ses mains, il se retrouve la proie des forces auxquelles il avait essayé d'échapper, forcé de choisir un camp dans une bataille qui le dépasse.
Voir le futur n'est pas toujours drôle, surtout quand le sien semble à ce point compromis. Alex Verus est un prodigieux cocktail de fantasy et de thriller.
Porté par des personnages complexes et attachants, son intrigue est un concentré d'aventures, de drôlerie et d'émotions. On y retrouve les classiques du genre (bestiaire fantastique, batailles de sortilèges) mais le talent de l'auteur est de combiner tous ces éléments dans un suspense haletant.
Benedict Jacka a 31 ans et il vit à Londres. Il a étudié la philosophie à Cambridge. Ses passions vont des arts martiaux à la danse de salon, et du skateboard aux jeux vidéos. Sa série Alex Verus s'est déjà vendue à plus de 500 000 exemplaires aux États-Unis et en Angleterre.
Sur une île américaine, des familles vivent depuis plusieurs générations en totale autarcie et dans la croyance que le monde a plongé dans le chaos. Elles suivent le culte strict érigé par leurs pères fondateurs et mènent une vie simple, rythmée par les rites de leur foi. Dans cet environnement rigoureux, un groupe de très jeunes filles s'approchent de « l'été de la fructification », la cérémonie qui fera d'elles des femmes.
L'une d'elles va se révolter, entraînant ses amies dans sa lutte désespérée, confrontant sa communauté à ses mensonges et à ses lourds péchés.
Alex était autrefois l'apprenti du sinistre Richard Drakh, un mage de l'Ombre.
Sous prétexte d'obéir aux ordres de son maître, il a commis des actes dont le souvenir le hante. Alors que court la rumeur du retour de Drakh, Alex va devoir faire face aux erreurs de cette époque, en affrontant un jeune initié assoiffé de vengeance. S'il s'est largement amendé depuis ces années noires, Alex redoute le jugement de ses amis, et particulièrement de Luna, son apprentie, sur les heures sombres de son passé. Mais s'ils doivent aller au combat pour lui, il leur faut savoir pour quel genre d'homme ils risquent leur vie.
« Avec ce quatrième tome de sa saga, Jacka ridiculise les autres écrivains de fantastique urbain. Un mélange explosif d'action et de philosophie, peuplé de personnages défiant tous les stéréotypes. L'affrontement final est aussi génial qu'émotionnellement brutal. L'auteur ne laisse jamais son héros s'en sortir par des réponses simplistes aux questions complexes soulevées par la survie en milieu magique hostile. » - Publishers Weekly
Benedict Jacka a 31 ans et il vit à Londres. Il a étudié la philosophie à Cambridge.
Ses passions vont des arts martiaux à la danse de salon, et du skateboard aux jeux vidéos.
Sa série Alex Verus s'est déjà vendue à plus de 500 000 exemplaires aux États-Unis et en Angleterre.
À 15 ans, Grace Welles s'est résignée à sa solitude de fille singulière dans un pensionnat de seconde zone perdu au fin fond de la Floride. Son père vit en Californie, où il a une famille légitime, et sa mère vit... sur une autre planète peuplée de licornes. Tout bascule cependant le jour où Grace sauve un nouvel élève de sa classe sur le point de se faire tabasser : d'un seul tir de son lance-pierre, elle fait exploser pour toujours la monotonie de sa vie d'adolescente. Grâce à ce Wade Scholfield qu'elle n'a pas vu venir, sa vie ne sera plus jamais la même.
Avec lui, Grace découvre qu'une autre existence est possible, où les règles du lycée ne sont pas si tragiques et où une simple conversation sur les tunnels spatio-temporels peut conduire à des baisers passionnés capables de mâter son cerveau toujours en ébullition.
Alors, pourquoi diable se retrouve-t-elle à briser en mille morceaux le coeur de Wade ? Et que peut-elle faire en comprenant enfin que l'univers ne tourne pas autour d'elle et que, sous ses airs désinvoltes, Wade cache un lourd secret ? Se pourrait-il qu'elle soit finalement la seule à pouvoir l'aider ?
Ce récit acide et sensible raconte avec justesse et sensibilité l'histoire de deux êtres qui se trouvent et se déchirent, puis grandissent. Le portait d'un premier amour flamboyant sur fond d'amitié, de poésie, de bouillonnement hormonal et de fous rires.
Mercedes Helnwein vit à Los Angeles. Plasticienne réputée, belle comme une pin-up dans un film de David Lynch, elle a grandi dans des châteaux en Irlande et en Allemagne. Normal pour la fille d'un artiste viennois dont les amis s'appelaient Keith Haring et Mohamed Ali... Elle est l'auteure d'un premier roman, La Ballade d'Hester Day (La Belle Colère, 2014).
« Mercedes Helnwein excelle à écrire la joie, la peur et la maladresse du premier grand amour. » - Publishers Weekly
« L'écriture et les dialogues, sont magnétiques, honnêtes, pétillants d'humour, et excellent à décrire le grand huit des amours adolescentes. » - Booklist
« Sauvagement réaliste et éclatant du romantisme et de la souffrance inhérents à tout apprentissage. » - Kirkus
« La Transition n'est pas une punition, c'est une opportunité. » Voilà ce qu'on explique à Karl au tribunal, alors qu'il doit partir quelques mois en prison pour fraude aux cartes à la consommation.
En Angleterre, Karl et sa femme Geneviève sont des trentenaires bobos qui ont grandi avec l'idée qu'ils avaient le droit de manger bio, de boire des cafés à la composition compliquée et d'habiter un minuscule appartement en ville décoré avec goût. La vérité, c'est qu'ils n'en ont pas les moyens, qu'ils font partie des perdants et qu'est venu le moment de payer... ou d'accepter d'être réformés.
Ils acceptent donc, presque reconnaissants, ce programme de six mois où ils devront vivre chez un couple de mentors, plus accomplis, plus sages, ayant la mission de leur mettre un peu de plomb dans la tête, de leur apprendre à gérer un budget et à se fixer des objectifs pour redevenir des membres productifs de leur classe sociale. Mais, dès que le programme débute, Karl est envahi d'un doute. Les mentors sont sympathiques, l'appartement est magnifique, l'ambiance chaleureuse, le programme peu contraignant. Pourquoi, alors, est-il persuadé que la Transition cache de plus sombres desseins ? Pourquoi pressent-il qu'on s'efforce de le séparer de Geneviève ? Est-il en train de devenir paranoïaque ?
C'est alors que les premiers messages anonymes lui parviennent : « Fuyez, La Transition n'est pas ce que vous croyez. »
Le plus grand roman sur la mafia depuis Le Parrain de Mario Puzzo.
Au XXIe siècle, la Sicile n'est plus le berceau des familles, c'est Odessa. Et le jeu et la drogue ne sont plus les piliers du crime. Le plus rentable aujourd'hui, ce sont les humains, en entier comme en morceaux.
C'est une histoire de coïncidences. L'histoire de trois Peter Henry Hightower.
Le premier est né au début du XXe siècle. Il s'appelait Petro Garko quand il était un petit immigré ukrainien orphelin de père, élevé dans les quartiers pauvres et industriels de Cleveland. Puis Peter Ukulélé, à la fin de l'adolescence, quand il a choisi la carrière de bootlegger et de commis de la mafia russe. Enfin, Peter Henry Hightower, quand il a fallu blanchir la colossale fortune qu'il avait amassée à coup d'assassinats et d'extorsions, ou en infiltrant les fortunes de Cleveland, qu'elles soient du côté de la légalité ou non.
Le deuxième, surnommé Petey, est l'un de ses petits-fils, une "tête de con" selon sa famille. Une petite frappe qui veut se faire plus grosse que le boeuf et s'embarque dans un réseau du crime international, plus connecté, terrifiant et efficace que jamais.
Le troisième, surnommé Pete, est le cousin du précédent. Il n'a pas hérité du gène criminel, grâce à son père qui l'a conçu en Afrique et exfiltré depuis toujours du clan Hightower, dont la puissance repose encore sur des dizaines de cadavres. Pete ne sait rien des siens.
Quel hasard lui vaut de porter le même nom que celui de son imbécile de cousin et d'être pris pour lui ?
À moins que le hasard n'ait pas sa place ici et qu'il s'agisse d'une dette que la famille Hightower doit payer aux cadavres qu'elle laisse derrière elle. Ou d'une morale fondée sur l'impossibilité de se soustraire aux liens du sang, celui qui court dans nos veines et celui qui a coulé sur l'asphalte.
Les talents de divination d'Alex Verus l'ont sauvé de bien des dangers, et nombreux sont ceux dans son entourage qui ont demandé son aide.
Mais cette fois, quelqu'un qui en aurait bien besoin la refuse catégoriquement. Son amie, la magicienne Anne, a pris ses distances avec lui quand elle a découvert les parts les plus sombres de son passé. La voici dans une situation périlleuse, mais rien ne semble pouvoir la convaincre d'accepter son assistance.
Le doute s'installe : la réaction d'Anne est-elle uniquement motivée par ce qu'elle pense de lui ? Ou n'aurait-elle pas son propre secret à cacher au risque de sa vie ?
En parallèle, les rues de Londres bruissent de la rumeur du retour de l'ancien maître d'Alex. Si cela devait se confirmer, il serait utile à notre héros de connaître ses plans, et ceux qu'ils risquent d'impliquer.
Benedict Jacka a 39 ans, il vit à Londres. Il a étudié la philosophie à Cambridge.
Ses passions vont des arts martiaux à la danse de salon, et du skateboard aux jeux vidéo.
Londres, 2050.
La crise socio-économique des dernières décennies n'est plus qu'un souvenir. Le consumérisme triomphant a sauvé le monde.
La propriété foncière hors des grandes villes est réservée à une petite élite. Le reste de la population doit dépenser pour conserver un droit de résidence. Le vieillissement a été aboli grâce à une nouvelle approche radicale, la retraite ayant été remplacée par un programme d'euthanasie joyeuse et volontaire dans les Dignitoriums.
Quand l'architecte Philip disparaît, sa femme Alice met en péril sa maison et son statut pour comprendre ce qui lui est arrivé. Enquêter, c'est prendre le risque de questionner la société et les valeurs dans lesquelles elle a été élevée. Elle découvre rapidement la vérité sordide sur le destin de sa propre famille ainsi que les mensonges qui ont servi de piliers à la construction de ce nouveau monde parfait.
Le Pays des loups est une dystopie puissante dans la lignée d'Auprès de moi toujours, de Kazuo Ishiguro. Son auteure, Tünde Farrand, est d'origine hongroise mais c'est en Angleterre qu'elle s'est installée et a choisi d'écrire depuis 2005. Elle vit à Sheffield.
Le Pays des loups est son premier roman.
Alex Verus ne s'est jamais entendu avec le Conseil qui préside la communauté des magiciens.
Mais alors que son ancien mentor est de retour en Angleterre, Alex a désespérément besoin d'alliés. Et il est prêt à tout pour en trouver, même si cela implique d'accepter une mission pour les Gardiens qui ont la tâche de faire appliquer la Loi magique.
Alex forme une alliance improbable avec Caldera, sa nouvelle partenaire.
Mais sa tentative pour rentrer dans le rang se révèle dangereuse quand il se retrouve en possession d'un artefact que tout le monde convoite.
Benedict Jacka a 40 ans, il vit à Londres. Il a étudié la philosophie à Cambridge.
Ses passions vont des arts martiaux à la danse de salon, et du skateboard aux jeux vidéo.
Le 6e tome des aventures du meilleur magicien de Londres !
La suite des aventures de Gabe et ses amis, qui vont devoir unir la force de leurs éléments - le Feu, l'Air, l'Eau et la Terre - à la Magie de Jackson, le cinquième élément, afin d'anéantir Arcadia, la ville de l'ombre et double maléfique de San Francisco.
La série
Cinq éléments comme les cinq héros de cette série addictive. Une nouvelle série dont l'écriture rythmée va envoûter les jeunes lecteurs. Une histoire haletante, un récit addictif entre magie, aventure, action et développement de relations fortes dans un groupe de jeunes héros attachants.
Tome 2 : La ville de l'ombre
Ayant survécu à l'attaque sur l'île d'Alcatraz, Gabe, Lily, Brett et Kaz ont réussi à rester cachés et à empêcher la secte de l'Aurore éternelle de s'emparer de la Tablette d'Emeraude, le Livre du Pouvoir dont dépend le sort de l'humanité. Ils sont désormais accompagnés de Jackson, le Garçon Fantôme rescapé d'Arcadia, version maléfique de San Francisco que le diabolique Jonathan Thorne veut faire fusionner avec notre monde. Pour empêcher Thorne et ses disciples de répandre la mort et le chaos sur terre, les cinq adolescents doivent anéantir Arcadia - après avoir sauvé l'oncle et la mère de Gabe, prisonniers de la Ville de l'ombre.
Mais tout bascule lorsqu'ils comprennent que les créatures infernales d'Arcadia ne sont pas leurs seuls ennemis : un traître est parmi eux, et il leur faudra rivaliser d'adresse et de courage pour faire face à l'issue effrayante qui les attend.
Suite et fin des aventures de Gabe et ses amis. Un finale riche en rebondissements qu'il ne faudra certainement pas manquer ! Nos jeunes héros parviendront-ils enfin à vaincre la secte de l'Aurore éternelle, détruire Arcadia, la ville de l'ombre, et retourner dans le monde réel de San Francisco ?
La série : Cinq éléments comme les cinq héros de cette série addictive. Une nouvelle série dont l'écriture rythmée va envoûter les jeunes lecteurs. Une histoire haletante, un récit addictif entre magie, aventure, action et développement de relations fortes dans un groupe de jeunes héros attachants.
Le tome 3 : Cinq éléments. Un nouveau monde cauchemardesque. Une ultime bataille.
Alors qu'ils pensaient avoir enfin trouvé un moyen de détruire pour de bon Arcadia, la ville de l'ombre, Gabe et ses amis découvrent avec effroi qu'ils ont été piégé ! Au lieu de détruire Arcadia, ils l'ont fait fusionner avec San Fransisco, les plongeant tous dans un monde de désolation.
Pour réparer leur erreur, les cinq amis n'ont d'autres choix que de tenter le tout pour le tout et ce, peu importe les risques pour leur propre vie. Un combat ultime réunissant les pouvoirs des cinq éléments... pour la dernière fois.
Dans Après l'incendie, Robert Goolrick nous offre une fable sur l'amour, la dette et le poids du péché de nos pères. Dans cet "anti-Autant en emporte le vent", il règle en un destin le sort de cette terre qu'il aime tant, cet impossible paradis qui reposait sur le sang des opprimés.
Nous avons décidé d'y adjoindre une nouvelle inédite Trois lamentations qui apporte un éclairage différent à la relation de l'auteur à sa terre.
Diana Cooke est née avec le siècle. Dans une des plus belles maisons du Sud. Elle peut s'enorgueillir d'un patronyme qui remonte aux pères fondateurs de l'Amérique.
Mais cette maison, comme son nom, est lestée par deux dettes abyssales. La première est financière, et le seul moyen de s'en acquitter est au prix du sang : Diana doit se marier sous le signe de l'argent. La seconde est plus profonde : la maison des Cooke et le prestige de leur nom de famille sont bâtis sur le plus noir péché du Sud, l'esclavage. Et cette dette-là ne se rembourse que sous la forme d'une malédiction.
La voici peut-être qui s'avance sous la forme du " Capitaine " Copperton.
Trois lamentations est le récit autobiographique d'une année où un très jeune Goolrick a partagé sa classe avec trois jeunes filles rejetées par le groupe : une prolétaire, une obèse et la première fille noire scolarisée parmi les Blancs.