Qu'ils soient joueurs ou hautains, contemplatifs ou curieux, qu'ils ronronnent de plaisir ou aient le poil hérissé, qu'ils soient assoupis ou prêts à bondir sur leur proie, les chats rassemblés dans ce recueil séduiront les amoureux de la gent féline.
Kwong Kuen Shan, artiste chinoise, présente ici ses plus belles aquarelles. Élégantes et intemporelles, elles sont associées à des proverbes asiatiques, des extraits de poèmes de la dynastie Tang, des enseignements de la tradition zen ou à des citations de Confucius, Mencius et Lao Tseu.
Ode à la vie et à la nature, cet album nous invite à la méditation.
Associant des aquarelles inédites, aux lignes douces et épurées, à des maximes et citations issues de la culture chinoise, ce beau livre illustré invite au plus apaisant des voyages.
On y croise des chats lovés près de pivoines, ou prenant un bain de soleil sous des orchidées. Le temps s'est arrêté pour mieux admirer ces paysages gorgés de vie, et s'adonner à une douce rêverie.
Agrémentées de sceaux chinois dont la signification est expliquée, Le Chat à l'orchidée combinent l'art et de la pensée orientale.
Sagesse des citations ; beauté des illustrations. À offrir et à s'offrir.
Contrairement à ses ouvrages précédents - recueils d'aquarelles et de maximes orientales -, Kwong Kuen Shan nous livre ici une histoire surprenante mais vraie : la sienne ! Dans ce récit illustré d'aquarelles originales et de dessins in texte, elle raconte comment, souffrant d'une phobie des chats, elle rencontra un félidé obstiné. Kuen Shan vit alors depuis peu au Pays de Galles, dont son mari est natif. À cette époque, elle se sent isolée et malheureuse dans la campagne galloise. Son seul compagnon ? Le chat de leurs voisins, qui viennent de déménager. Sauf que Healey - le chat - vient de faire le chemin inverse pour retrouver la colline galloise où il a grandi. Et que fait Healey ? Il se met en tête d'apprivoiser Kuen Shan. Peu à peu, celle qui avait une peur panique des chats ne peut plus vivre sans eux. Healey est-il un sage chinois déguisé en chat ?
Confronté à l'enchevêtrement des haines et des vengeances héritées de la guerre civile, l'inspecteur Jack Lennon s'allie avec Gerry Fegan le terrible tueur des Fantômes de Belfast.
J. Krishnamurti, penseur à contre-courant des idées reçues de son époque, n'hésita pas, dès 1948, à jeter un regard lucide sur des institutions telles que le mariage ou le célibat des moines. Pour lui, le noeud de toute société tient d'abord dans la relation qu'établissent les hommes entre eux au niveau le plus élémentaire : celui du couple. Ce qui pose la question des rapports de domination, du rôle de l'amour et du sexe dans la relation.
Le sexe, loin d'être diabolisé, est soumis à une observation approfondie : il ne s'agit pas de nier la pulsion sexuelle, mais d'éviter que l'assouvissement d'un besoin naturel ne tourne à un rapport de domination ou à une obsession. Le sexe mérite sa place dans notre vie, mais seul l'amour lui permet de s'exprimer de façon pleine et entière.
L'amour est défini à partir de ce qu'il n'est pas. Il n'est pas l'attachement, la dépendance affective, le désir. Il n'est pas non plus un moyen de combler sa solitude. L'amour n'est pas non plus le mariage, qui n'est rien moins qu'un contrat social. L'amour suppose la responsabilité entre ceux qui s'aiment, qu'il s'agisse du conjoint ou du partenaire amoureux, des enfants, du voisin, de la nation et, finalement, de la société entière, dont chaque homme est responsable.
Le problème de la chasteté concerne d'abord ceux qui, dans le cadre d'une religion, ont fait voeu d'abstinence sexuelle. Krishnamurti analyse les ravages causés par le refoulement sexuel. Faire ou ne pas faire l'amour ne devrait pas être une question de contrainte mais de contexte. Si l'amour est présent, l'une ou l'autre attitude cessent d'être un problème. L'essentiel est d'observer simplement les faits et non une réalité idéalisée par la pensée. Car c'est en définitive la pensée qui est à l'origine de nombreux clivages : clivage entre soi et l'autre, clivages religieux, nationaux, générationnels. Réaliser que la pensée est le support des conditionnements auxquels nous sommes soumis nous offre un accès à la perception directe d'un état de fait. Et les questions posées s'éclairent d'autant mieux que nous leur donnons le temps de faire écho en nous dans le silence. C'est de ce silence, de cette « conscience sans choix » qui ne juge ni ne condamne que jaillit l'amour.
En réunissant pour la première fois en France trois textes représentatifs de la philosophie de Jiddu Krishnamurti, cet ouvrage se propose d?offrir au lecteur un panorama de la pensée de l?un des grands maîtres spirituels du XXe siècle. À propos de Dieu analyse très finement les racines de la croyance, expose les déviances des traditions religieuses et démontre la vanité de toute quête d?une connaissance de l? « inconnaissable ». Sans se résigner pour autant ni au matérialisme desséchant ni au désespoir, Krishnamurti ouvre une troisième voie, originale et rigoureuse : la perception directe du sacré sans adhésion à aucun dogme religieux. C?est un triste constat qui ouvre L?esprit et la pensée : en dépit des prouesses technologiques, les rêves de progrès se brisent face au chaos et à la barbarie de notre monde. Selon l?auteur, les nouvelles structures sociales, politiques et économiques imaginées par la pensée ne sauraient y remédier. En analysant nos processus mentaux, il montre que seule une mutation intérieure, intime, inédite qui, elle, procéderait de l?esprit, pourrait changer les choses. Enfin, De la vérité enseigne que la quête de la vérité ne peut suivre un chemin tout tracé : il s?agit d?une entreprise individuelle que chacun doit mener en se livrant à une observation lucide des faits et à une exploration intérieure sans concessions ni illusions. Trois textes qui invitent le lecteur à s?interroger sur ses idées et ses croyances afin de s?affranchir de tous les préjugés qui l?empêchent de penser par lui-même, librement.