Faire germer ses noyaux et ses pépins, c'est la solution idéale pour avoir des plantes chez soi ! À la clé, des économies et du zéro déchet, c'est bon pour la planète et votre porte-monnaie !Créatrice du blog et de la page Instagram "I do it myself", Céline vous propose dans cet ouvrage de découvrir la culture d'une vingtaine de noyaux et de pépins grâce à des pas-à-pas détaillés, le tout en plus de 100 photos !Mangue, avocat, cacahuète, cerise, kiwi, pomme, melon, citron... ne jetez plus vos noyaux et vos pépins, faites-les germer et obtenez de jolies plantes !
Le prolétariat, affirme Jacques Ellul, n'a pas été un produit du seul capitalisme, mais bien de la société industrielle elle-même. Ainsi, la révolution soviétique, la "voie chinoise", tout comme l'évolution du tiers monde, aboutissent à la création d'un immense prolétariat mondial. Toutes les révolutions ont échoué, en cédant à la fatalité industrielle et technicienne du capitalisme qu'elles entendaient combattre. Et pourtant, au début des années 80, la première vraie révolution semble devenir possible.
Pour quelles raisons ? À quelles conditions? Sommes-nous encore capables d'une véritable espérance révolutionnaire?
En comparant la France et la Grande-Bretagne, obligées de redéfinir les rapports qu'elles entretiennent avec les étrangers, les immigrés et les minorités, cet ouvrage montre l'épuisement des modèles d'intégration traditionnels. Il nous faut combiner la diversité et l'unité, les minorités et l'individu.
Face à des situations extrêmes de vie, les sous-prolétaires, disposant de marges de manoeuvre étroites pour s'adapter au monde d'à côté, utilisent des tactiques ponctuelles de survie : la mobilisation solitaire de l'habitus par onirisme social, la débrouillardise, etc. L'auteur analyse les processus de déstructuration et de mobilisation dans ce milieu des sous-prolétaires.
Si on peut parler d'une nouvelle sensibilité culturelle, elle est surtout le fait de certaines fractions des classes moyennes, en particulier de celles issues de l'élargissement de l'espace socio-économique organisé par l'Etat-Providence
Revue et augmentée, cette deuxième édition du manuel paru en 1990 initie les étudiants du niveau postsecondaire aux méthodes qualitatives et quantitatives en sociologie. L´ouvrage réunit les contributions de seize spécialistes sur des thèmes incontournables en sociologie qui sont aussi des préoccupations d´actualité : famille, sexualité, éducation, jeunesse, vieillissement, santé, déviance, relations ethniques, stratification sociale, travail, économie et économie sociale, politiques, mouvements sociaux, communication. Les introductions à la sociologie sont généralement axées sur les théories et les écoles, et accordent moins de place aux données empiriques. Et la plupart proviennent de la France. Parmi les quelques introductions conçues pour le Québec et le Canada, Initiation thématique à la sociologie est la seule qui intègre des données tant québécoises que canadiennes.
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Jean Lafontant est professeur titulaire associé au Département de sociologie de l´Université du Québec à Montréal. Simon Laflamme est directeur du programme de doctorat en Sciences humaines de l´Université Laurentienne.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Les auteurs ont essayé de débusquer leurs petits secrets.
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L'historiographie ouvrière a été longtemps surdéterminée par l'histoire politique. L'investissement des historiens comme des sociologues dans la sociabilité ouvrière s'inscrit, comme point d'aboutissement actuel, dans cette évolution de l'historiographie ouvrière. C'est dans cette perspective que s'inscrivent ces contributions, issues d'une journée d'études (février 1995) de l'Université de Rouen.
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Une enquête sur les fils et filles des puissants de ce monde.
Contrairement au mythe, la classe ouvrière n'a pas disparu, elle s'est au contraire élargie à de nouvelles catégories de travailleurs et rapprochée de bon nombre de couches salariées.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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De l'or de Crésus aux canons de Basil Zaharoff, en passant par la fortune du banquier Fugger, un document sur l'argent.
Les études consacrées aux changements sociaux opérant dans les pays en voie de développement, de même que les recherches relatives aux phénomènes dits « d'acculturation », se sont multipliées depuis 1945. Il avait été demandé à Georges Balandier d'établir une sorte de « bilan » quant à deux peuples : les Fang du Gabon et les Ba-kongo du Congo, qui s'imposaient à l'attention des autorités administratives par « leur reprise d'initiative » et leurs entreprises novatrices. La présente étude apporte le résultat d'enquêtes accomplies de 1948 à 1951.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Défi des années 90 : la pauvreté. Chômage, exclusion et déclin des solidarités mettent en cause l'équilibre social de la France. Pour être efficace, la lutte contre la pauvreté se situe la fois sur le plan économique et sur le plan social.
Dans les années 30, la gauche dénonçait les 200 familles qui contrôlaient l'industrie, la banque et l'assurance. Aujourd'hui, le capitalisme familial connaît un nouvel essor, restaurant ainsi cette mythologie.
Qui sont les bourgeoises aujourd'hui ? Des mondaines, des pot-au-feu, des affranchies ou des laborieuses ? Sous un label commun, Valérie Hanotel et Marie-Laure de Léotard ont découvert une étonnante variété de femmes qu'elles ont réparties en six catégories bien distinctes. Pas question en effet de mélanger la « très grande bourgeoise » qui flirte depuis des générations avec l'aristocratie, la « bon chic » qui s'accroche encore aux traditions, la « nouvelle bourgeoise » qui travaille et galope vers l'an 2000, ses marmots dans les bras, la « carrière-woman » qui piétine les plates-bandes de sa vie privée pour étendre sa réussite professionnelle, la « révoltée » qui renie les bons principes de maman et la « toc », cette nouvelle riche qui ne parvient pas à faire oublier son manque de pedigree ! Chaque tribu a ses propres rites, ses panoplies, son langage, ses fantasmes, ses phobies. Et défend sauvagement son territoire. Du saut du lit au grand mariage, ces dames sont traquées, dévoilées, croquées sans pitié. Si les pistes ont été brouillées, tous les faits rapportés sont rigoureusement authentiques.