Histoire et exploration du point culminant du globe, de Mallory le titan à Boivin le chamois.
C'est sa propre biographie que Patrice Franceschi nous propose ici. Du voyage traditionnel (le Transsibérien) au grand reportage (l'Afghanistan, le Liban, le Tchad), de l'expédition ethnographique à l'engagement humanitaire... toutes les facettes de l'aventure sont présentées en textes et en photos.
Un livre-album qui regroupe des récits d'aventures et d'exploits.
Au lendemain de la dernière guerre, cent ans après Dumont-d'Urville, la France décide de revenir en Terre Adélie; trois expéditions se succéderont de 1950 à 1952. Récit en détail de l'expédition de 1951 commandée par M. Barré, témoignage essentiel pour comprendre l'épopée hors du commun de ces hommes dans l'Antarctique.
Une approche nouvelle fondée sur une documentation en partie inédite, tirant de l'oubli notamment, l'unique manuscrit du journal de La Pérouse.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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Cette course de pionniers, où l'esprit d'équipe et de découverte prime sur la compétition, suscite en France plus de 60000 candidatures.
L'ouvrage, qui présente deux sections d'une thèse de doctorat d'État de géographie géopolitique soutenue en 1986, est une approche entièrement neuve des questions relatives aux frontières politiques. L'auteur y retrace l'invention des frontières, dans la double perspective de la stratégie et de la géographie géopolitique.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Les grandes découvertes, du pôle Nord à l'Himalaya en passant par la Croisière jaune.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
QuiI n'a pas eu, un jour, un rêve insensé ? À douze ans, le rêve de Joël Lodé est de faire le tour du monde à bicyclette pas moins ! Et il le réalise enfin, lorsque, cycliste improvisé, mais avec la passion plein les sacoches, il part. Deux années d'un voyage fantastique à travers le monde, et surtout la rencontre d'un milieu auquel il a tout donné depuis : le désert. Ainsi, l'aventure, au lieu d'être rangée dans le tiroir des souvenirs, est devenue sa vie. Dix ans après, on le retrouve en Afrique, en Amérique, en Asie, en Australie, toujours aussi enthousiaste, avec Rina, sa jeune épouse salvadorienne, sur les routes du globe à bicyclette ; des routes qui ont un caractère commun : elles traversent les déserts. Tour à tour au milieu des animaux sauvages, avec les Bushmen, les Aborigènes, les Masais, les Navajos, les Bédouins, les chercheurs d'or, les pilleurs de tombes, les « chasseurs de cyclistes », les scientifiques, traversant des montagnes, des déserts de sable ou de sel, des champs de mines, des coups d'État, risquant plusieurs fois leur vie ! Joël et Rina Lodé sont vraiment des « cyclotourisques » ! Et pour illustrer ces propos, vous allez constater, à travers le récit de leurs aventures, qu'un désert, ça n'est pas forcément ce que vous croyez... Laissons-nous entraîner dans leurs roues, et découvrons les Coureurs de Déserts...
A travers l'histoire de l'armateur Isaac Le Maire et de son fils Jacques et du Journal de voyage du Hollandais Guillaume Schouten, voyage effectué en 1615-1617, les enjeux économiques et stratégiques du passage du cap Horn sont abordés.
10 000 clichés utilisés dans plus de 400 reportages publiés au fil de dix grandes années de création dans la revue Atlas Air-France, avec le concours des agences et photographes français et européens.
Le livre que Florence a écrit correspond à sa véritable personnalité : un style original et attachant, du charme et du courage, toutes ces qualités qui font d'elle un chef de file de la nouvelle école de course en haute mer.
Une goëlette, un enfant et l'océan pour étrennes, voici ses compagnons, l'abominable Patte en Fer que vous n'arriverez jamais à détester totalement, Erebus qui conduira son pupille aux tréfonds des mers, ce mystérieux amateur d'antiquités de marine qui ne dévoilera qu'en fin de récit sa très étrange identité, et puis aussi Paul Johnson, Henry Wakelam, le compagnon de Moitessier, les chasseurs de cyclone de Puerto Rico, les pêcheurs entraînés et leurs hôtes japonais, la dame aux orchidées de l'île de la Réunion, tous personnages rencontrés par l'auteur et venus témoigner. Périple initiatique, comme l'est la course océane, voici qu'il mène à l'âge d'homme cet enfant que tout lecteur rêvera d'avoir été. De Stevenson à Jack London, la tradition des écrivains de mer retrouvée.
Ce livre emmène le lecteur sur l'Almaria, un bateau construit vers les années trente chez Abeking et Rasmussen et dont le rôle d'équipage est à l'heure actuelle surprenant un homme puis une femme, un enfant, un autre enfant, et avec eux embarque l'aventure... Des côtes de l'Afrique aux Antilles, en Amérique du Sud, à Panama, nous vivons avec eux dans un monde gai, chatoyant, surprenant, où l'on peut oublier pêle-mêle la routine, l'argent, le froid, la mesquinerie pour rêver avec eux... une sorte de rêve éveillé plein d'optimisme. Que deviendront plus tard Myriam et Nathalie ? Choisiront-elles de rejoindre notre civilisation classique et sordide ? En attendant elles vivent avec Georges et Monique Tardivel la plus libre des aventures. La plume passe de l'un à l'autre, si bien que nous avons un récit au féminin qui vient doubler, contredire ou appuyer le récit au masculin. Un livre coloré, attachant et très humain.
Ce livre est un volume de souvenirs, de souvenirs plus particulièrement liés à la mer : l'enfant qui a vécu toutes ses premières années dans nos pays ou indiscutablement la mer semble liée à la terre, choisit tout naturellement une carrière maritime, ce que n'a pas manqué de faire notre auteur. Avec une jolie plume, il nous conte simplement, naïvement, poétiquement ses premières années en Bretagne et à Granville. À chaque page nous pouvons retrouver avec un réel bonheur le goût de notre enfance.
Le livre de Jean Claude Parisis, « Histoire de vivre » ou « Des océans pour un Croquant », nous fait découvrir, au fil de ces pages optimistes, une vie un peu folle, qui montre comment on peut, après être né à la campagne, de parents paysans, loin de la mer, après avoir travaillé comme ouvrier, en usine puis sur des chantiers, menant une vie aventureuse et voyageuse, décider de réaliser ce qui vous fascine : naviguer sur des voiliers, « ces étranges engins, mi-bateaux mi-oiseaux », et courir en haute mer, avec les plus grands, que l'on rencontre tout au long de ce livre. On voit alors comment l'on peut se permettre, après un apprentissage qui dure en tout et pour tout deux ans, de gagner la Transat 76, la plus dure, avec Petrouchka dans sa catégorie, celle du Gipsy Moth ; de participer brillamment depuis à toutes les grandes épreuves, la Course Whitbread autour du Monde, sur 33 EXPORT, la Route du Rhum avec Petrouchka encore, jusqu'à la Transat en double Le Point Neptune Europe à bord de Fernande ; et ce n'est pas fini : Parisis écrit sa dernière page la tête pleine de projets pour des années... Un tel palmarès est certainement dû à un extraordinaire sens marin, à une intelligence aigüe et lucide, à une étonnante personnalité, mais surtout à une volonté de fer, ce que l'on peut lire entre les lignes de ce livre ; par-dessus tout cela il s'agit en réalité de l'histoire d'un homme : Parisis vous emmène gaiement d'un chantier à une course, vous conte avec verve ses tristesses et ses rires. Au-delà de ces pages, pleines à la fois d'optimisme et de tendresse, où point sans cesse une vertu devenue rare : l'espérance, Parisis prend toujours le meilleur et le pire avec le même calme, la même philosophie, sans phrases... histoire de vivre..., comme un homme.
Voici un livre exemplaire. D'abord, parce qu'il retrace le destin d'un type humain à propos duquel la. littérature française n'est pas bavarde : patron de pêche au chalut...... la pêche au chalut est la moins connue et, pourtant, l'une des plus dures... Dans son avertissement, l'auteur écrit : « Ce livre n'a aucune prétention littéraire ». C'est vrai. Il ne faut pas y chercher un style, mais on y trouvera, ce qui est plus rare, un ton dont la sérénité fait la grandeur.
Pour les humains de plus en plus à l'étroit sur les continents, la Mer représente l'avenir. Avec son pétrole et ses gisements sous-marins, avec l'aquaculture, les énergies nouvelles et l'espace qu'elle nous offre, la Mer est la réponse à l'humanité affamée de matières premières, d'énergie, de nourriture, de dépassement et de rêve. Un aussi riche et vaste réservoir, l'enjeu le plus formidable de la fin du siècle, suscite d'immenses convoitises. Prédisant cette course à la mer aux conséquences économiques, politiques et philosophiques planétaires, Yves la Prairie, « Monsieur Océan français », fondateur voici 10 ans, du Centre National pour l'Exploitation des Océans (CNEXO), s'emploie à préparer pour nous et nos enfants, pour notre pays et le monde, un mariage durable et fécond entre les hommes et la Mer. Futurologue lorsqu'il préside aux destinées du CNEXO, homme d'action lorsqu'il descend dans sa capsule de plongée, il nous livre avec « Le nouvel homme et la mer », la première synthèse prospective sur cette civilisation en gestation. Une vision de notre avenir d'une clarté fulgurante, dense d'espoirs, de mesures décisives et de propositions concrètes sur l'aménagement global des littoraux dont nous sommes si largement dotés sur ce continent et outre-mer. Un livre animé de cette intelligence des problèmes essentiels, qu'offre sans doute la contemplation d'horizons illimités. Un livre neuf et différent ; un très beau livre écrit d'une plume que ne désertent ni l'humour, ni la poésie.
Au fil de l'aventure, Ely Boissin, a parcouru les mers et les océans, s'acharnant sans cesse à faire revivre le passé. Il lui a fallu d'abord gagner la confiance des Anciens, afin que chacun lui révèle sa « Petite histoire ». Pour concrétiser les dires de ces hommes au passé étrange, l'auteur a cherché au fond de la mer les preuves de ces récits. Il en résulte parfois de stupéfiantes révélations ; les épaves tour à tour livrent leurs secrets sur des pirates, des trafiquants, et autres aventuriers de la mer. Trésors à jamais perdus, guerre ouverte avec les pilleurs de trésors antiques, histoires passionnantes par leurs rebondissements. Au détour d'une épave, la rencontre avec ceux que l'on appelle les monstres marins, le merveilleux flirt avec une murène qui tombe amoureuse, les plongées kamikazes dans l'arène de corail, face aux requins. L'auteur ne se contente pas de citer des faits, c'est l'aventure vécue, angoissante, étrange et mystérieuse, dont l'optimisme d'Ely Boissin fait un récit captivant et plaisant à lire, grâce à cette note d'humour qu'il sait si bien placer dans les moments les plus imprévus.
"Des hommes, un but, un navire : Cette trilogie nécessaire à toute expédition maritime n'a rarement trouvé aussi parfaite adéquation que dans l'aventure vécue à bord de la Curieuse. Explorateur dans l'âme, le commandant Raymond RALLIER DU BATY qui vouait une admiration sans limite à son maître Jean-Baptiste CHARCOT, au point de donner son nom à son premier navire, se lance à travers cette expédition dans une aventure digne de Jack LONDON. Ses compagnons partageaient la même soif d'inconnu, les LORANCHET, SAINT-LANNE et tous les autres, jusqu'au petit mousse de quatorze ans."