Á fleur de peau, les rendez-vous d'une plume vagabonde qui cherche au travers d'histoires aussi courtes que diverses à vous divertir, vous émouvoir et débusquer un peu d'humaine vérité.
L'auteur
Jacqueline Gilbert de nationalité belge est née à Paris et réside à Waterloo.
Depuis toujours amoureuse de poésie, dès 2009 elle nous offre un recueil par an.
Au bout des mots, elle a recours à la peinture comme autre moyen d'expression et l'opportunité d'illustrer les couvertures de ses recueils, celles de ses romans et aujourd'hui... la couverture d'À fleur de peau.
Des poèmes comme des tableaux qui jalonneraient un parcours, esquisseraient une quête. Ils évoquent le passage d'une vie, la difficulté d'aimer, et pour certains, la violence du monde. La forme est brève, l'écriture vive. Dans le flot des mots les sons se répondent, parfois le rythme claque. Çà et là, quelques miroirs sont posés qui bousculent le genre.
28 portraits de personnages qui font le dur apprentissage de la rue. Décider où dormir la nuit prochaine : au métro ou au samu ? Faire ou non la file, que certains trouvent humiliante, pour le repas de midi au restaurant du coeur ? Ces personnages sont sans domicile fixe. Ils circulent dans les grandes villes entre tous ces lieux qui font réseau pour eux.
Des portraits également de détenus en prison, avec leurs parcours, leurs attentes et le sens qu'ils donnent à leur peine et à leur vie. Une grève, inhumaine du point de vue des détenus, sans service minimum. Des allers-retours rue-psychiatrie-prison. Oui, il y a des passerelles puissantes.
Ces portraits cherchent à comprendre le parcours suivi et le choix subjectif de certains. L'arrivée à la rue est-elle une issue malheureuse ? Oui sans doute en général, mais acceptons l'hypothèse que cela peut être une étape de transition sur un chemin de vie, ou encore un objectif inconscient. La prison de son côté est une peine infligée. Oui, mais peut-elle être un point d'apaisement dans le tumulte intérieur, un lieu où déposer les armes ? Ou alors un lieu où enfin on mange à sa faim et où on loge aux frais de la princesse ?
L'auteur et le photographe
Valerian Dirken, né en 1950, fait une carrière technico commerciale. En 2009, il s'inscrit en psychologie à l'université. Il réussit les premières années. Il est participant à l'Ecole de la Cause Freudienne. Il acquiert alors une amorce d'expérience clinique par des stages en milieu psychiatrique. Cela le passionne. Devenir chercheur ? C'est alors qu'il pense à la psychanalyse appliquée à la rue et à la prison. Pourquoi ne pas aller au-devant de l'individu précarisé ? Depuis 2015, bénévole dans un restaurant du coeur. Le titre qu'il s'est auto assigné est éplucheur de légumes orienté par la psychanalyse. Depuis cette époque il est également visiteur en prison. Il voit ainsi chaque semaine deux ou trois détenus pendant trois quarts d'heure, selon l'humeur du jour. Mais l'écriture bouleverse tout cela.
Karim Abraheem, né en 1952 en Iraq, est photographe, installé en Belgique depuis vingt ans. Il a publié plusieurs recueils de photos dont le dernier Iraqi mornings en 2016, chez Vision Publishers. Il travaille actuellement sur Mossoul détruite. Après Daesh. Son regard sur la rue en Belgique est plein de respect et de finesse.
Critiques amicales
GM - 31/07/2018 - « Une écriture classique, concise, enlevée, piquante, qui attrape une situation sur le vif, en une page parfois (...) ».
MB - 17/09/2018 - « Le plaisir de la découverte de tous ces personnages dont le charme réside, pour la plupart, dans la fragilité, la soif d'amour, de justice (...). (Tel) portrait est interpellant. (Tel autre) est surréaliste. »
DCP - 09/09/2018 - « Les personnages sont très bien campés et même si ce ne sont pas toujours des personnes recommandables, ils sont présentés avec beaucoup de chaleur, d'humanité et de sympathie, ce qui les rend tellement attachants. (...) J'ai bien apprécié ces portraits : l'écriture est rapide et courte, pas trop de narrations, ce qui rend la lecture facile et incite le lecteur à poursuivre. »
MB' - 07/09/2018 - « J'ai lu tes textes (relatifs à la prison) avec attention. Tu fais part d'un ressenti honnête, de doutes parfois. Tu termines en disant que tu as atteint ta mission de visiteur en "créant un espace de parole". Je crois que c'est vrai et que c'est notre premier objectif. Dans certains cas, on peut faire plus, dans d'autres non. (...) mais je pense que ton approche est honnête. »
HJ - 11/07/2018 - « Il regarde, il observe, froidement parfois. C'est son regard sur la souffrance. Cela peut créer un malaise chez le lecteur, comme s'il n'avait pas d'affect face à ce qui lui est montré. Voilà un style à garder ! »
Le cinéma est un rendez-vous amoureux, un lieu de culte, une fête, un petit bonheur, une sortie loin de chez soi, un moment de réflexion, une crise de rire, une montée d'adrénaline, une magnifique cascade de sanglots. Le cinéma c'est le rêve, c'est la vie plus grande que nature, avec des couleurs plus vives, des sentiments plus forts, des mots plus ciselés.
Passionné par le septième art depuis sa plus tendre enfance, Dominique Terrier vous propose cent-dix-sept chroniques où critiques de films et souvenirs cinématographiques se mélangent harmonieusement pour sublimer son amour du cinéma.
En devenant auteure, Solène de Montmarès accède à une certaine plénitude et son parcours de vie trouve ainsi un accomplissement dans et hors l'écriture.
On parle souvent de la loi des séries mais pour l'héroïne c'est tout simplement la concrétisation de ce en quoi elle a toujours cru : « fais de ta vie un rêve et de ce rêve une réalité ».
Hélène Montbrecq montre ici qu'écrire, tout comme créer, est un moteur essentiel de l'existence et conduit tout un chacun à se découvrir, à accoucher de sa vraie personnalité ; sans doute un bien sympathique moyen d'apporter à l'humanité ce petit quelque chose d'unique mais finalement tellement nécessaire à tous !
Ne sont bonnes que les choses partagées : un partage au goût d'éternité car tout ce qui est écrit le reste à jamais !
Ce recueil de contes reprend quelques pierres de la construction de la pensée imaginaire de la tradition du peuple Nzebi qui jusque-là constituaient la trame de la sagesse que véhicule la tradition orale.
L'auteur met donc au goût du jour l'art oratoire du peuple Nzebi, le véhicule pédagogique qu' est le conte et donc fait la promotion la promotion de la sagesse ancestrale Bantou dans le processus de développement endogène des nations africaines.
Huit femmes se rencontrent régulièrement pour randonner dans la campagne wallonne. Une fin de journée d'hiver, elles entrent dans une taverne ; elles en ressortent troublées, voire inquiétées par la parole d'une voyante. Chacune est traversée par un questionnement lié à son histoire de vie mais toutes ont acquis la liberté qui vient avec l'âge. Sont-elles pour autant heureuses ?
Survient un événement grave qui les indigne au point de les entraîner à tirer sur le fil de leur vie et à se sentir politiquement concernées par l'avenir de leurs enfants et petits-enfants. Solidaires de l'aventure d'un couple de maraîchers accompagnés de jeunes en recherche d'un avenir meilleur, elles découvrent dans l'engagement un autre sens à leur vie. Entre émotions, audaces, réflexions et questions sur leur avenir, les huit promeneuses se lancent dans l`action collective autour d'un projet de transition vers une société qui doit impérativement réagir pour assurer l'avenir des générations futures.
Il m'a fallu Un demi-siècle pour voir le bout du tunnel : 50 années de malheur . J'aimerais vous dire qu'il y a eu beaucoup de moments heureux, mais je vous mentirais. Les beaux souvenirs de mon passé se comptent sur les doigts d'une main. Et pourtant, je peux affirmer aujourd'hui que j'ai découvert l'authenticité du bonheur... je remercie mon coeur d'avoir survécu à toutes les tragédies.
Ce livre est mon pur vécu, sans aucune fiction. J'ai voulu publier mon histoire afin de la partager avec les lecteurs. Certains se reconnaîtront dans mes écrits qui, je l'espère, pourront apporter des réponses à leurs questions.
Les temps sont au "jeunisme". Cependant les seniors font partie du tissu vivant de toute nation. Ils seront bientôt majoritaires. L'avenir leur réserve souvent d'heureuses surprises et ils sont encore actifs et indispensables.
L'auteur a été chercheur en physiologie et en neurosciences en France et à l'étranger.
À 97 ans, il est médecin dans un désert médical.
Sa patientèle comprend surtout des nonagénaires et plusieurs centenaires.
Il a été collaborateur d'ouvrages polémiques d'histoire contemporaine.
C'est la première fois qu'il publie sous son vrai nom. Il a mis beaucoup de lui-même et de son expérience dans ce roman qui pourrait être le vôtre.
On peut se libérer des traditions, ces chaînes qui nous endoctrinent, et nous empêchent de dire « oui » à la vie.
Il en est ainsi de la religion qui apparait à beaucoup comme la garante de la morale, comme le montre Diderot dans Entretien d'un philosophe avec la maréchale de..., laquelle s'étonne face à Crudeli :
« C'est donc vous qui ne croyez rien ? ....Cependant votre morale est d'un croyant. »
Les attaques violentes et incessantes dont sont l'objet les acquis de nos sociétés occidentales m'ont poussé à écrire cette fiction pour apporter une modeste contribution à la résistance qui s'impose. J'ai voulu aussi comprendre pourquoi je n'avais pas su m'engager autant que je l'espérais en faveur de la laïcité et d'une vraie libération des femmes qui pourront alors mettre leur courage, si souvent supérieur à celui des hommes, au service de ce monde qu'on ne contrôle plus.
La tâche est immense dans ce monde où sept milliards d'individus croient. Les cinq cents millions d'athées qui respectent les croyants ne veulent qu'être respectés.
Le carburant préféré d'un auteur est sa mémoire, l'introspection est son terreau et la page blanche son jardin. La nouvelle et la chronique se frôlent sans cesse, la différence entre une histoire imaginaire presque vécue et un souvenir teinté de sépia est bien mince. Les brouillards du Rhône contient des nouvelles sombres, d'autres moins, des hommages au polar et à ses maîtres comme James Cain, Jim Thompson et Frédéric Dard, une réflexion sur la création littéraire et quelques vrais morceaux de vie.
Nouvelles
Marylebone Lane / Mandrin / Plafond / Taïaut / Le facteur est toujours à l'heure / Demain / Canicule mortelle / Du sang dans le pain / This is the end / Lui et moi / La caresse / Septième sens / Quand tu descendras du ciel / La carpe / Mise au poing / Bad team
Chroniques
Mon clavier s'appelle Christian / Cogito ergo sum / Journey / Quand j'étais gone / Mémoires d'un prolétaire
Le 24 février 2022, le despote Poutine en envahissant l'Ukraine, a mis en péril la Paix dans le monde. Au surplus, il a voulu briser l'équilibre des forces qui régnait en Europe, depuis la disparition de l'Urss en 1991, entre les pays de l'Europe de l'ouest et ceux de l'ancien pacte de Varsovie. Ainsi, le traité de Paix signé à cette époque, par les chefs respectifs des États-Unis et de la Russie, vient d'être mis à mal.
Avant d'arriver à cette concorde, le chemin avait été long. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l'Europe avait été coupée en deux immenses territoires et entités politiques contraires: d'un coté un monde libre axé sur la démocratie et de l'autre, un agglomérat de pays placés sous le dogme du Marxisme-Léninisme. Le communisme n'arrêtait pas de gagner du terrain et l'oncle Sam ne parvenait pas à endiguer ce mal endémique.
Deux événements majeurs, en date du 6 août 1978 et du 16 octobre de la même année, en Italie, surviennent et concourent à l'arrêt de cette hémorragie. Cela permit aux États-Unis d'élaborer un plan subtil guidé par la Foi. Plus de treize ans leur seront indispensables pour atteindre le but ultime. La fin justifiant les moyens et ne pouvant agir à découvert, les States durent utiliser parfois, des moyens peu orthodoxes et avoir recours à des agents spéciaux appartenant à des services cachés dont la structure des Invisibles.
Des chefs d'états, des hommes politiques, de remarquables religieux, des agents des services secrets, des individus peu recommandables et des anonymes prêtèrent leur concours à cette courte épopée. L'Américain, Bill Kozlovski et l'Ukrainienne, Natalia Kalia animent le récit de ce roman.
Vous dire, cher lecteur, comme il est parfois d'usage, que toute ressemblance avec des personnages ayant réellement existé ne serait que fortuite, que ce récit est purement fictif, serait vous mentir, car Eléa existe réellement ! Elle vit simplement dans un monde différent du nôtre. Un univers que vous avez peut-être déjà ressenti, car il est tout près. Vous vous êtes alors sans doute ravisés, rassurés, en vous répétant que l'on ne peut croire que ce que l'on voit...
Là-bas, en cet instant même, les deux soleils d'Asgard se lèvent sur une sombre menace, prête à anéantir tous les peuples de cette contrée. Face à elle, se dresse une jeune fille différente, Elea. Elle ne le sait pas encore, mais elle perçoit l'insaisissable ; les autres mondes qui se frôlent et se touchent parfois.
Après un premier roman de science-fiction, « Nano », publié en 2011, Keenan Locar, nous entraîne aujourd'hui, avec « Le Monde d'Elea », dans un périple à la fois poétique, aventureux et initiatique. Le mystère s'épaissit au fil des pages et dépasse ce que l'être humain est capable de concevoir. La notion même de réalité s'étiole et les sciences se réconcilient avec la magie.
Des cimetières profanés, des enfants assassinés, des exorcismes qui se multiplient. Il se murmure que le mal a élu domicile dans la capitale des Gaules. Du haut de la colline de Fourvière, le cardinal lui-même doit alerter le Saint-Siège. Le capitaine Léo Vias, fin limier de la police judiciaire lyonnaise est chargé de l'enquête. La course contre la montre qui s'engage le mènera sur des pistes inquiétantes et troubles. Une confrérie sataniste oubliée semble contaminer la population comme la peste...
Trouverez-vous l'entrée du Cercle des traboules ? Les apôtres du diable se sont réveillés.
Pour son deuxième roman, Yann Botrel nous propose une immersion au sein de milieux secrets et hostiles. Dans l'obscurité des sous-sols et de certaines ruelles de la ville lumière se cachent en effet des individus tourmentés et dangereux.
Le capitaine Léo Vias réussira-t-il à lutter contre cet ennemi invisible ? Est-il seulement humain ? Le policier devra affronter ses vieux démons et Satan lui-même. Une enquête haletante, des personnages hauts en couleur, un suspense de tous les instants. Croyez-vous au diable ?
Avec ce livre, le lecteur démarre la décennie 2020 sur les chapeaux de roue! Bien plus qu'un livre sur le succès d'entreprise en Afrique, ce livre bouscule les idées reçues, met le lecteur au défi tout en l'amenant à faire une profonde introspection personnelle, et partage des connaissances stratégiques adaptées aux réalités du combat que vivent les entrepreneurs en Afrique.
Condamnés à Réussir met la lumière sur des pans de l'histoire du continent qui ne sont pas enseignés à l'école, démontrant que personne d'autre que les africains ne pourra propulser la transformation du continent.
D'un style simple, percutant, direct et précis, l'oeuvre tient tantôt du roman, tantôt du guide. L'auteure partage des moments intimes, des échecs émouvants, mais aussi de puissants témoignages illustratifs. Le langage accrocheur du livre le rend indispensable à la bibliothèque de tous les Acharnés.
Être une baby-boomer : cela fait-il inévitablement de vous une ennemie de la nature, indifférente à votre impact sur l'environnement ?
Ce livre vous emmène, de rencontre en rencontre, dans une déambulation. À travers des histoires d'animaux, toutes vécues, il vous propose de réfléchir ensemble à ce qui est essentiel : ce qui lie les humains à la nature n'est pas qu'une affaire de statistiques pour mesurer une biodiversité en déclin mais c'est surtout une question d'identité.
Des défis majeurs attendent les futures générations : les inégalités, les migrations et le terrorisme. Libertas, Organisation non gouvernementale fondée en 2011, examine l'origine factuelle des rencontres conflictuelles entre musulmans et non musulmans et propose des solutions pour tenter de les résoudre.
Notre analyse montre que la conquête de l'Occident par l'Islam n'est pas une hypothèse sérieuse. Cependant, la baisse des taux de natalité et le vieillissement des populations européennes nécessitent une immigration contrôlée mais une intégration culturelle et structurelle efficace ce qui fait défaut aujourd'hui. La rencontre entre musulmans et non musulmans pose des problèmes sérieux dus aux différences de valeurs entre l'Occident et l'Islam : celles-ci entraînent des comportements différents dans l'organisation de nos démocraties occidentales et donc des conflits.
L'analyse des différences civilisationnelles permettent d'élaborer des stratégies interculturelles pour construire des ponts entre l'Islam et l'Occident. La valeur « travail » est un pont possible mais suppose une intégration approfondie des immigrants très loin d'être satisfaisante tant en Belgique qu'en Europe. Les 21 Propositions de Libertas devraient permettre une participation optimale des immigrants à la vie économique afin de maintenir notre sécurité sociale à l'horizon 2050.
Michel Annez de Taboada est Docteur en Sciences, diplômé en administration des Entreprises et diplômé en Sciences religieuses islamiques (Université Catholique de Louvain). Après une carrière internationale dans l'environnement, il préside Libertas depuis 2011.
Caroline Bosschaert de Bouwel est spécialiste en communication et écrit pour différents médias.
Philippe Girard est le directeur très investi d'une usine hightech de métallurgie. Il est heureux, son entreprise performe bien, il a toute la confiance de ses actionnaires entrepreneurs californiens. Mais ceux-ci vendent l'entreprise à un gros fonds de pension. Désormais, face à lui il trouve Jim et Rose, les nouveaux dirigeants imposant dès le départ des directives précises et standardisées aux Français et exprimant leur mécontentement sur la manière dont l'usine est managée.
Le choc de deux cultures nationales et managériales. Le choc de deux visions stratégiques. Une guerre larvée s'engage entre Philippe et ses actionnaires américains, dans laquelle chacun est convaincu de détenir la vérité.
Philippe sortira-t-il indemne de ce bras de fer psychologique ?
En octobre 2018, baroudeuse dans l'âme, Mélissa décide de tout « plaquer » et de partir à l'aventure à l'autre bout du monde. Seule avec son backpack, embarquée sur des chemins d'Asie incertains, elle atterrit au Laos et fait la connaissance de Sabou, jeune laotien, qui a improvisé dans son salon une salle de classe dans laquelle il enseigne l'anglais aux enfants du village.
Mélissa, touchée par l'engagement de Sabou, décide de mettre son projet de voyage de côté et de poser ses bagages à Nong Khiaw au nord du Laos. Des sourires, des regards d'enfants aux difficultés diverses, Mélissa raconte son aventure qui l'a emmenée vers la création d'une école gratuite encadrée par des salariés et des bénévoles du monde entier.
Ce journal-récit de voyage vaut pour sa fraîcheur et la passion qui le traverse. Mélissa Lansmant est une jeune femme entreprenante, profondément humaine qui d'un rêve a fait une réalité.
« J'ai écrit pour rendre compte de mon aventure et pour inspirer ceux qui auraient un projet. Je veux leur dire que tout est possible. »
Dans ce livre, le commandant de police Christian Guth nous raconte ses dix années de lutte contre la pédophilie, les crimes sexuels et le trafic des enfants en Asie du Sud-Est.
Au Cambodge, où les enfants pauvres sont des proies faciles pour les prédateurs sexuels et les réseaux criminels, il a eu la charge de mettre sur pied une unité de police qui a eu à traiter un grand nombre d'affaires éprouvantes dont les plus édifiantes sont relatées dans cet ouvrage.
Sur la base d'histoires réelles, ce livre ouvre également une réflexion sur l'intolérable et l'acceptable en matière de services sexuels rémunérés.
Comme beaucoup, je pensais que le pire n'arrivait qu'aux autres. Jusqu'à ce jour, celui où commença le début de la fin de ma vie. J'ai cependant décidé d'aller de l'avant, de me battre et j'ai eu cette envie folle de vous raconter mon histoire. Celle d'un combat entre le corps et l'esprit, un douloureux combat seule contre moi-même, seule contre les autres. Humiliée, dégradée, je suis pourtant là, devant vous, debout sur ma prothèse, mais je suis là.
Les raisons de ma colère, tomes 1 et 2 sont le récit de deux témoignages, deux drames que j'ai vécus de très près et qui ont bouleversé ma vie à jamais.
Le premier, « 5 novembre 2018 » raconte les circonstances de l'effondrement des immeubles 63 et 65 de la rue d'Aubagne, à Marseille, dans ma rue. Huit personnes, mes voisins directs, y ont perdu la vie en quelques instants.
Le tome 2, « 5 mai 1985 - Chincheros - Pérou », évoque ma jeunesse et mon voyage au Pérou. Ce jour-là, un architecte de 29 ans, le grand amour de ma vie, mourait sous les tirs d'un policier, dans un petit village du Pérou. Il marchait simplement dans la rue, aux côtés de sa mère. Il était venu apporter les plans de la place d'Armes de ce village. Un travail important et fastidieux qu'il avait exécuté bénévolement. Il s'agissait du village natal de sa maman. Il y avait grandi lui-même...
Ex-journaliste et auteure, je m'appelle Soledad Dorian et je raconte ces deux drames personnels à la première personne. J'écris habituellement de la fiction : romans, fables, contes, poèmes, scénarios, etc. Après trois années sans écrire et une profonde dépression, j'ai pu me lancer dans ce projet éditorial. Une thérapie indispensable. Et un soulagement. J'habite toujours rue d'Aubagne, à Marseille, en face des immeubles effondrés. Cet endroit que l'on nomme aujourd'hui : « La dent creuse ». Et je suis toujours en colère...
Dans une voie privée parisienne, la découverte des corps de deux soeurs jumelles va conduire le commissaire Gaspard Aclet à mener une enquête hors des sentiers battus. En temps normal, il s'en réjouirait plutôt, mais, le destin facétieux en a décidé autrement : le même jour a disparu son directeur qu'il doit à la fois rechercher et remplacer à la tête du service. C'est beaucoup pour un policier sans ambition, paresseux mais à l'esprit curieux, portant sur le monde et sur ses frères humains un regard souvent étonné
Odyssées obscures est le second volet d'une trilogie consacrée au voyage (dont le premier volume s'intitule Sentiers lumineux, également publié chez Atramenta).
C'est une ode au mode de vie des voyageurs au long cours ; une dizaine de personnages se croisent, parcourant principalement l'Afrique et le Brésil ; nous les suivons dans leurs itinerrances.
Le lecteur est invité lui aussi à se perdre et à se retrouver dans la construction insolite de ce roman.