La société Charlevoix, fondée à Sudbury en 1992, est une amicale vouée à l'étude de l'Ontario français. Elle se compose d'universitaires appartenant à des disciplines différentes (sociologie, littérature, histoire, économie, ethnologie) et provenant de Sudbury, d'Ottawa et de Toronto. Elle honore la mémoire du jésuite Pierre-François-Xavier de Charlevoix (1682-1761) qui a laissé des observations remarquables sur le territoire ontarien. Cette société publie les « Cahiers Charlevoix » depuis 1995.
Le salut de l'arrière-pays, c'est le signe de la main que les villages envoient aux villes, leurs voisines. Face à d'inquiétantes tendances démographiques et économiques, les petites communautés cherchent leur avenir. Voici un vibrant témoignage de confiance en leur coeur et leur esprit.
Cette collection d'oeuvres créées dans le cadre d'une série d'émissions de CBON, la Première Chaîne de Radio-Canada dans le Nord de l'Ontario, évoque les ambiances et célèbre les richesses humaines de huit localités nord-ontariennes : Gogama, Verner, Chapleau, Earlton, Iroquois Falls, Spanish, Sturgeon Falls et Fauquier. Chaque arrêt comprend le portrait d'un personnage local haut en couleur ; un « conte rural » signé par un écrivain renommé et inspiré par la communauté ; et un sketch comique dans lequel se déploient des projets de développement régional loufoques. Tout ça ponctué de chansons originales.
Le salut de l'arrière-pays rend hommage à des communautés menacées, mais fières, enracinées et résolues à bâtir l'avenir. Les petites communautés de partout au Canada s'y reconnaîtront.
« À tous ceux qui veulent que ça continue, on dit : Salut ! »
La société Charlevoix, fondée à Sudbury en 1992, est une amicale vouée à l'étude de l'Ontario français. Elle se compose d'universitaires appartenant à des disciplines différentes (sociologie, littérature, histoire, économie, ethnologie) et provenant de Sudbury, d'Ottawa et de Toronto. Elle honore la mémoire du jésuite Pierre-François-Xavier de Charlevoix (1682-1761) qui a laissé des observations remarquables sur le territoire ontarien. Cette société publie les « Cahiers Charlevoix » depuis 1995.
La société Charlevoix, fondée à Sudbury en 1992, est une amicale vouée à l'étude de l'Ontario français. Elle se compose d'universitaires appartenant à des disciplines différentes (sociologie, littérature, histoire, économie, ethnologie) et provenant de Sudbury, d'Ottawa et de Toronto. Elle honore la mémoire du jésuite Pierre-François-Xavier de Charlevoix (1682-1761) qui a laissé des observations remarquables sur le territoire ontarien. Cette société publie les « Cahiers Charlevoix » depuis 1995.
De 1986 à 1996, le développement des services de santé et des services sociaux en français, en Ontario, a été rendu possible grâce à un contexte politique et législatif favorable et à une alliance entre acteurs politiques et fonctionnaires francophones engagés envers leur milieu.
Ces Chroniques d'une vie politique mouvementée proposent un portrait de la vitalité politique de l'Ontario francophone et de la capacité de ses acteurs en milieu communautaire à participer au changement social.
Les lecteurs trouveront dans ce livre, matière à réfléchir sur l'avenir des services de santé et des services sociaux en français, en Ontario.
Cet essai présente un modèle d'analyse qui permet de comprendre dans son ensemble la circulation des biens, des idées et des personnes au pays. Le modèle s'appuie sur la sociologie des communications et la démarche vise à accroître la force explicative des sciences sociales en l'affranchissant des catégories limitatives de l'Acteur et de ses intérêts. Si les sciences sociales ont prêté à la collectivité des qualités caractéristiques de l'« humain » (intention, intérêt, rationalité...), l'approche de Simon Laflamme prend ses distances face à ce modèle. L'auteur renouvelle ainsi le discours des sciences sociales.
Appliqué au Canada des années 1981 à 1995, le modèle transdisciplinaire livre le portrait d'une société postmoderne des plus complexes au cours d'une période où elle s'interroge sur son destin, et même sur son droit à l'existence en tant qu'entité étatique.
Pour Lucie Hotte et moi, il était clair qu'il fallait non seulement ouvrir les limites de l'espace marginal à laquelle la littérature franco-ontarienne a été réduite jusqu'à présent, mais aussi aller bien au-delà d'un langage critique que l'Institution accueillerait comme caution de la problématique sociopolitique de l'exiguïté; car reconnaître à la littérature franco-ontarienne sa « réinterprétation du manque, de la privation de l'être », c'est, somme toute, encore la réduire à l'exiguïté. Il nous semblait donc que la façon la plus sûre de faire accéder (timidement sans doute, mais il faut bien un commencement) la littérature franco-ontarienne au rang des discours du savoir était d'évacuer toute référence à la dimension identitaire dans laquelle les oeuvres ont été produites, donc de lire les oeuvres pour leurs qualités proprement formelles, ou si l'on préfère, selon le projet esthétique plus ou moins avoué des auteurs, qui sont autre chose que des sensibilités à refléter la réalité. À tout le moins, il s'agissait pour nous de relier la problématique identitaire à l'enjeu esthétique dont elle participait.