Un couple qui dure serait-il la plus grande aventure des temps modernes ?
Alice et Jules vivent ensemble depuis soixante ans.
Par un tour de force littéraire, Eliette Abécassis remonte le cours de leur relation amoureuse, étape par étape, pour nous en révéler les nuances, les rêves, les désirs, les trahisons et les regrets.
Vieillesse, routine, retrouvailles, désamour, haine, jalousie, enfants, mariage, passion : le film défile à l'envers, par une série de rebondissements, passant de l'ère des réseaux sociaux à la chute du mur de Berlin, Mai 68, la guerre d'Algérie...
Voici le roman de l'amour pérenne, envers et contre tout : Un remède au cynisme et à la solitude de notre époque.
Ce roman d'une passion d'amour contrariée est aussi le roman d'une époque.
Amélie et Vincent se rencontrent, jeunes, à la Sorbonne à la fin des années 80. Chacun ressent un coup de foudre sans oser l'avouer à l'autre : aucun des deux ne se sent « à la hauteur », aucun ne fait le premier pas, aucun n'a la maturité de saisir son bonheur...
Ils se donnent rendez-vous, la jeune femme est en retard : A quelques minutes près, ce jour-là, ce n'est pas un simple rendez-vous qu'elle rate, c'est sa vie.
Puis la vie prend le dessus, les emporte malgré eux vers des destins qu'ils ne maîtrisent plus, leur fait prendre des bifurcations comme on emprunte des portes, puis des couloirs, de dix ans, de vingt ans, de trente ans...
On suit en parallèle la trajectoire intime et professionnelle d'Amélie et de Vincent, et chaque fois que les hasards de l'existence les remettent en présence, ce n'est pas « le bon moment ».
« Trente ans que nous nous connaissons... Des mariages, des divorces, des deuils, des enfants, des centaines de voyages, parfois au bout du monde, des succès, des échecs, des espérances déçues, des rêves d'enfance perdus, des enfances déchues...Trente ans de rêves et de désir ».
Paris, 1240. L'ombre du Moyen Âge plane sur la cour de saint Louis. Complots, rumeurs, trafics, meurtre mystérieux d'un enfant... jamais les enjeux de pouvoir n'ont été si violemment discutés. Au coeur de tous les débats, le dogme et le fanatisme religieux. Le sang coulera-t-il de nouveau ? Justice sera-t-elle faite ?
Eliette Abécassis trace une fresque fascinante où se mêlent l'amour et la haine, la passion et la dévotion, la fidélité et la traîtrise. Et s'affirme, après Qumran et Le Trésor du Temple, comme un des auteurs phares du thriller historique et religieux.
La transmission est le coeur battant de nos vies, au point d'en orienter les moindres actions et relations. Un essentiel qui nous lie les uns aux autres, de génération en génération. Cette quête de mon père se révèle une enquête sur notre origine et nos héritages. Mon père Armand s'appelle aussi Amram, et Cèdre, son totem. Il est né au Maroc, vit en France et chérit Israël. Figure majeure du judaïsme, il est philosophe et talmudiste. Mais aussi, professeur et scout.
Père de tous et mon père. Comme la parole, à laquelle il a dédié sa vie, un homme complexe, généreux et d'une richesse inépuisable. Tenter de saisir par l'écriture ce qui se trouve à l'origine et à l'horizon de la transmission, si présente dans l'existence de mon père comme dans le judaïsme, est mon défi, le défi d'une fille pour son père.
Avec une rare tendresse et une éclairante poésie, Éliette Abécassis plonge dans ce mystère d'un père modèle et, ce faisant, met au jour son véritable héritage : celui de la culture sépharade et du désir jamais assouvi d'interpréter le monde.
Ce livre, construit comme une enquête littéraire, se lit comme un roman.
C'était l'une des plus importantes découvertes du siècle. Les manuscrits de la mer Morte, retrouvés dans les grottes de Qumran.
Et bientôt volés.
Au fil d'une enquête jalonnée de cadavres crucifiés, Ary, jeune juif religieux, percera-t-il le secret qu'ils renferment ?
Les énigmes liées à la mort du Christ ont-elles encore le pouvoir de tuer ?
QUE RESTE-T-IL DE NOS AMOURS ?
Il y a peu de temps encore l'amour était un absolu, un idéal. Et nous pensions qu'il n'était possible d'être totalement heureux qu'en rencontrant son âme soeur.
Mais qu'en est-il de l'amour à l'heure du grand marché des sentiments qui se développe au gré des algorithmes ? De l'amour fou, serait-on passé au désamour ?
De manière très originale, Eliette Abecassis propose de réenchanter notre époque en mal d'aimer et de retrouver la force du sentiment en suivant les pas des héro set des héroïnes des films et des romans où l'amour est plus fort que tout.
Et si réinventer l'amour était nécessaire à notre survie en tant qu'êtres humains ?
Il y a quelques années, je sortais dans la rue avec une étoile de David autour du cou. J'étais fière de m'appeler Esther Vidal et je ne baissais pas la voix pour dire mon nom. Nous n'étions pas en danger dans la ville. Ni agressées à la sortie de l'école, de la synagogue, ou chez soi. Traiter quelqu'un de « sale juif » était un tabou. Je ne pensais pas qu'il pût y avoir dans Paris des manifestations contre les juifs. A vrai dire, je n'aurais même pas imaginé que l'on puisse entendre, lors d'une manifestation : « A mort les juifs. » Une jeune femme, deux enfants, deux amours. La peur, le désir, l'espoir, la tentation de quitter la France et de faire son « alyah ».
Peut-on échapper à son destin ? À celui qu'on choisit pour vous ? se demande Esther Vital. Juive marocaine née à Strasbourg, écrasée par le poids de la tradition et de la famille, mais aussi déchirée par la nostalgie des paradis abandonnés - l'Espagne de Cordoue à Tolède, le Maroc, de Mogador à Fès -, Esther tente de savoir qui elle est, dans l'illusion de la liberté. Lorsqu'elle choisit l'amour comme évasion, tout ce à quoi elle pensait avoir échappé la rattrape. La veille de son mariage, vêtue de la robe pourpre des promises sépharades, Esther découvre les maléfices du mauvais oeil, et le terrible secret qui la marque... À travers cette quête des origines, Eliette Abécassis explore avec émotion et érudition l'histoire des juifs marocains, depuis l'Inquisition jusqu'à l'époque contemporaine, leurs rivalités, leur culture et leurs croyances. Voici le grand roman du monde sépharade.
« Pour bien faire les choses, il faudrait commencer par divorcer. »
« Désormais, ma vie ne m'appartenait plus, je n'étais plus qu'un creux, un vide, un néant. Désormais, j'étais mère. »
Violent, sincère, impudique, le nouveau roman d'Eliette Abécassis brise les tabous sur la maternité, cet « heureux événement » qui n'est peut-être qu'une idéologie fabriquée de toutes pièces. Après Mon père et Clandestin, la romancière affirme un ton toujours plus personnel, où la fiction se mêle à une analyse subversive de la société.
« A la terrasse des cafés, seuls ou avec des amis, ils sont sur le qui-vive. À l'affût d'une nouvelle, dans une attente fébrile, constante, ils ont toujours leur téléphone à portée de main. Le soir, ils ne s'endorment pas sans l'avoir consulté, le matin le saisissent avant même d'avoir ouvert l'oeil, pour savoir ce qui est arrivé. Mais quoi, au juste ? »
Dans ces Liaisons dangereuses à l'ère d'Instagram, Éliette Abécassis décrit de façon inédite une génération née au début des années 2000, en proie à la dépendance et la violence induites par les réseaux sociaux.
Un roman incisif qui sonde notre époque, et tout ce qui, en elle, nous interroge et nous dépasse.
Vienne, mars 1938. Sigmund Freud a convoqué la Société psychanalytique pour une session extraordinaire. Élèves et disciples sont réunis autour du maître qui s'exprime devant eux, peut-être pour la dernière fois. Il n'y a plus d'autre choix : il faut fuir l'Autriche.
Mais lui, pourquoi reste-t-il, malgré l'invasion des nazis ? Quel secret renferme la lettre retrouvée par son fils ? Comment Marie Bonaparte parviendra-t-elle à le convaincre de partir ? Qui est le mystérieux Anton Sauerwald ?
Aux heures les plus sombres de l'Histoire, ce roman passionnant offre une nouvelle vision du père de la psychanalyse.
Avril 2000, désert de Judée. Un archéologue sacrifié sur un autel, près des grottes de Qumran. Les services secrets israéliens en état d'alerte.
Ary le héros de Qumran, est à nouveau plongé au coeur d'une des plus extraordinaires énigmes de l'Histoire qui unit, au fil des siècles, les Esséniens, les Templiers et la secte des Assassins.
Et, remontant du fond des âges, le mystère du trésor du Temple.
« Femme ? Epouse ? Non. Tu es Agouna. Enchaînée, ancrée, enlisée. »
Anna a beau être divorcée, aimer Sacha éperdument, elle sait que si elle cède à sa passion, elle sera considérée par tous comme une femme adultère. À moins que son ex-mari ne lui accorde enfin le guet, ce divorce religieux juif qui la délivrerait de ses chaines.
Écartelée entre des pulsions amoureuses de plus en plus exigeantes et sa conscience, Anna se heurte sans cesse au poids de traditions qu'elle n'ose transgresser.
« J'ai été aimée,
c'est la fin de l'amour,
aimée et adorée,
c'est la fin de l'amour,
aimée et répudiée. »
« Et si le secret du monde tenait dans un code à notre portée ? »
Un formidable thriller historique et ésotérique où se mêlent Facebook et le nombre Pi, Archimède et les Jésuites, les souterrains d’un monastère de Judée et le siège de Syracuse.
Un grand roman dans la lignée de Qumran ou du Da Vinci Code.
Romancière et essayiste, Eliette Abécassis alterne textes intimistes (La répudiée, Mon père, Un heureux événement), épopées (Qumran, Le Trésor du Temple, Sépharade) et essais (Petite métaphysique du meurtre, Le Livre des Passeurs, Le Corset invisible).
« Ce journal de vie est le mien, celui d'une femme, d'une mère et d'une philosophe qui s'interroge. Comment vivre dans un monde où tout s'achète et tout se vend en un clic ? Un monde dont le seul but est de fabriquer des besoins ? Un monde sans foi ni loi, où on ne se pose plus la question de ce que l'on peut faire ou doit faire ? L'envie d'y croire est une impulsion qui nous porte, nous élève, nous renforce. Souvent une intuition, parfois une conviction, mais surtout l'expression d'une foi en nous-même et envers les autres. Celle d'une philosophie de vie qui renoue avec le sens. »
« Toutes les femmes ont un père : il faut bien comprendre ceci, qui n'est pas une évidence. Toutes les femmes ont un père : cela veut dire que toutes les femmes sont condamnées au malheur. »
Parce que, un jour, elle reçoit la lettre d'un inconnu qui lui dit être le fils de son père, qu'elle le croit sans hésiter, Hélèna, la narratrice, va réexplorer son passé.
Long cri, Mon Père est aussi une prière de ferveur qu'un fille trop aimante adresse à un père qu'elle a trop aimé.
Peut-on haïr et aimer à la fois ?
Au fil de sa lente dérive, avec une voix belle et grave, tendue à l'extrême, Héléna, mère et fille, enfant et maîtresse, découvre une autre vérité.
« Puis-je vous demander pourquoi vous avez décidé de suivre cette philothérapie et ce que vous en attendez ? - Cela va vous paraître naïf ou idiot... Je crois que je suis malade, Professeur. - Quel genre de maladie avez-vous ? - Je suis malade de l'amour. À chaque fois, c'est la même chose. Je vis des histoires dans lesquelles je m'enivre, je me perds et je me noie. J'en ressors de plus en plus lessivée, désespérée, avec l'impression que je ne trouverai jamais l'homme de ma vie. Je voudrais guérir, me libérer de l'amour pour commencer enfin à vivre, débarrassée à tout jamais de cette illusion mensongère. » Éliette Abécassis raconte l'amour à l'heure du virtuel, tout en proposant dans chaque chapitre une leçon de philo, vivante et accessible, sur les déclinaisons de l'amour : le désir, la passion, la trahison...
« Personne ne te rendra plus heureuse que moi, puisque c'est moi qui t'ai faite. Personne ne te comprend comme moi puisque tu viens de moi, puisque tu es moi. » Deux personnalités du monde de la mode, mère et fille. Une histoire d'amour, de possession, d'admiration et d'émancipation. Où la séduction, le désir sont le fil conducteur de la relation, la féminité un héritage.À travers le destin de deux femmes et le lien si particulier qui les unit, Éliette Abécassis, l'auteur d'Un heureux événement interroge dans ce texte à la fois pudique et dérangeant le rapport mère-fille, la maternité, la transmission.
Enquêter sur la gestation pour autrui, c'est s'interroger non seulement sur un phénomène majeur de notre civilisation mais aussi sur l'avenir de l'humanité tout entière.Aux quatre coins de la planète se développent des milliers de centres de fertilité et de reproduction qui proposent la GPA à des parents en désir d'enfant. Éliette Abécassis dénonce ici toutes les implications et les dérives de cette pratique hypercapitaliste.
" L'être humain ne saurait être cédé, vendu ou échangé. Faire de la grossesse et de l'accouchement un service rémunéré est la plus formidable violence faite aux femmes depuis l'époque de l'esclavage. "
« Alors il s'est dit qu'il avait jusqu'au bout du quai pour la séduire »
Le temps de la traversée d'un quai, un homme tente d'échapper à son destin : aux frontières de l'intime et de l'identité, Eliette Abécassis explore le sentiment amoureux et le vertige de la rencontre.
Pourquoi le corps d'un homme, assassiné il y a deux mille ans au Tibet, se retrouve-t-il aujourd'hui dans un temple shintoïste de Kyoto ?
Pourquoi tient-il dans sa main le fragment d'un manuscrit de Qumran ?
Qui avait intérêt à ce qu'on le découvre là ?
Chargé par les services spéciaux israéliens d'élucider le mystère, Ary Cohen se retrouve lancé dans la mission la plus périlleuse qui lui ait jamais été confiée.
Thriller autant qu'aventure spirituelle, La dernière tribu explore les arcanes du judaïsme et du bouddhisme tibétain et japonais. Érudition, intelligence, invention : avec le talent d'une grande romancière et le sens de l'intrigue d'un maître du suspense, Eliette Abécassis joue avec les textes sacrés, les religions, l'Histoire et le temps.
Comment la Bible est-elle née ? Par qui a-t-elle été rédigée, mais aussi protégée et perpétuée ? Moïse aurait écrit ses livres dans le désert, mais qui connaît ses autres rédacteurs ?
Deux auteurs issus de deux cultures différentes, Eliette Abécassis (autrice du célèbre Qumran) et Néjib (auteur de la fiction historique Stupor Mundi) se sont ici réunis pour raconter l'histoire épique du Livre.