La transmission est le coeur battant de nos vies, au point d'en orienter les moindres actions et relations. Un essentiel qui nous lie les uns aux autres, de génération en génération. Cette quête de mon père se révèle une enquête sur notre origine et nos héritages. Mon père Armand s'appelle aussi Amram, et Cèdre, son totem. Il est né au Maroc, vit en France et chérit Israël. Figure majeure du judaïsme, il est philosophe et talmudiste. Mais aussi, professeur et scout.
Père de tous et mon père. Comme la parole, à laquelle il a dédié sa vie, un homme complexe, généreux et d'une richesse inépuisable. Tenter de saisir par l'écriture ce qui se trouve à l'origine et à l'horizon de la transmission, si présente dans l'existence de mon père comme dans le judaïsme, est mon défi, le défi d'une fille pour son père.
Avec une rare tendresse et une éclairante poésie, Éliette Abécassis plonge dans ce mystère d'un père modèle et, ce faisant, met au jour son véritable héritage : celui de la culture sépharade et du désir jamais assouvi d'interpréter le monde.
Ce livre, construit comme une enquête littéraire, se lit comme un roman.
Agathe et Jérôme forment l'un de ces couples parfaits : deux enfants, lui a réussi socialement et financièrement, elle est un peu artiste... Mais huit ans plus tard, le décor de carton-pâte s'effrite. Tout ce qu'Agathe croyait inamovible va se révéler n'être que des illusions, et l'obsession de réunir les preuves des trahisons de son mari va prendre le pas sur sa vie tranquille. Pourtant elle doute, sera-t-elle capable de divorcer et de quitter ce rêve d'absolue normalité ?
« J'ai été aimée,
c'est la fin de l'amour,
aimée et adorée,
c'est la fin de l'amour,
aimée et répudiée. »
« Toutes les femmes ont un père : il faut bien comprendre ceci, qui n'est pas une évidence. Toutes les femmes ont un père : cela veut dire que toutes les femmes sont condamnées au malheur. »
Parce que, un jour, elle reçoit la lettre d'un inconnu qui lui dit être le fils de son père, qu'elle le croit sans hésiter, Hélèna, la narratrice, va réexplorer son passé.
Long cri, Mon Père est aussi une prière de ferveur qu'un fille trop aimante adresse à un père qu'elle a trop aimé.
Peut-on haïr et aimer à la fois ?
Au fil de sa lente dérive, avec une voix belle et grave, tendue à l'extrême, Héléna, mère et fille, enfant et maîtresse, découvre une autre vérité.
Enquêter sur la gestation pour autrui, c'est s'interroger non seulement sur un phénomène majeur de notre civilisation mais aussi sur l'avenir de l'humanité tout entière.Aux quatre coins de la planète se développent des milliers de centres de fertilité et de reproduction qui proposent la GPA à des parents en désir d'enfant. Éliette Abécassis dénonce ici toutes les implications et les dérives de cette pratique hypercapitaliste.
" L'être humain ne saurait être cédé, vendu ou échangé. Faire de la grossesse et de l'accouchement un service rémunéré est la plus formidable violence faite aux femmes depuis l'époque de l'esclavage. "
Inspirés d’histoire vécues ou inventés de toutes pièces, les secrets de famille de ce recueil vous feront voyager à travers les continents et les époques. Une lecture qui ne laissera personne indifférent !
Eliette Abécassis, agrégée de philosophie, est l’autrice de plusieurs romans, dont le très remarqué Un heureux événement (120 000 ex. vendus).
Camille Anseaume, journaliste et blogueuse, est notamment l’autrice de Un tout petit rien, vendu à plus de 20 000 exemplaires.
Sarah Barukh s’inspire d’histoires vraies pour écrire des romans au fond historique et social. Son premier roman, Elle voulait juste marcher tout droit, s'est vendu à 50 000 exemplaires.
Jessica Cymerman est journaliste et tient un blog dans lequel elle livre avec humour des réflexions variées en tant que mère de famille.
Melissa da Costa a reçu le Prix du jeune romancier pour son best-seller Tout le bleu du ciel. Chacun de ses romans séduit de nouveaux lecteurs.
Olivia Elkaim est notamment l’autrice du Tailleur de Relizane (20000 ex. vendus), finaliste du prix Femina 2020 et lauréat du Prix du livre à Metz.
Sandrine Roudeix, photographe et autrice, tisse des liens intimes entre ses personnages grâce à sa plume délicate et visuelle.
Agathe Ruga, autrice et chroniqueuse littéraire, est la fondatrice du Grand Prix littéraire des blogueurs. Elle a publié Sous le soleil de mes cheveux blonds.