"Nous ne serons un État normal que lorsque nous aurons la première prostituée juive, le premier voleur juif et le premier policier juif." Haim Nahman Bialik.
Les organisations mafieuses israéliennes comptent parmi les plus violentes et les moins connues. Elles sont le produit d'une société profondément divisée, parcourue de violentes secousses sociales, et en guerre depuis bientôt soixante-dix ans.
Si certaines se contentent d'opérer à l'intérieur des frontières de l'État Hébreu, la plupart étendent leurs activités sur tous les continents. Serge Dumont retrace pour la première fois leur histoire depuis 1948.
Loin des élucubrations antisémites propagées par les partisans d'un "complot mondial" dont Israël serait le centre, la "mafia israélienne" n'est pas une structure comme Cosa nostra.
Pas de hiérarchie, pas de stratégie commune : les mafieux "blancs et bleus" passent leur temps à essayer de se détruire, et, à l'étranger, leurs relations avec les communautés juives de la Diaspora sont inexistantes, ou glaciales.
À la fin des années 2000, l'escroquerie à la taxe carbone a permis d'amasser un pactole d'au moins 1,6 milliard d'euros.
Racket, blanchiment d'argent, prostitution, trafic de drogue et d'armes, contrebande de diamants... les activités de ces clans génèrent tellement de cash que la police, bien qu'efficace contre l'activisme palestinien, semble désarmée face à un crime structuré militairement et qui a réussi à corrompre des personnalités politiques de premier plan.
Journaliste belgo-israélien, spécialiste des affaires judiciaires, Serge Dumont vit et travaille à Tel-Aviv. Il est le correspondant permanent des quotidiens Le Soir, Le Temps et La Voix du Nord.
Ce premier tome de la trilogie nous emmène dans un XVème siècle un peu décalé mais parfaitement documenté.
Un évêque retors et chafouin, un barbare au lourd passé, un moine exalté et une sorcière au grand coeur vont mener, bien malgré lui, notre jeune héros sur des chemins semés d'embûches.
Balloté par les évènements il finira par prendre son destin en main.
En marge de l'oeuvre et à côté du genre de « l'art poétique », se développe tout au long des siècles mais surtout à partir des XVIIIe et XXe siècles, une diversité de formes qui ont chacune leur spécificité, leur stratégie énonciative ou performative, leur façon de s'inscrire dans leur temps : poétiques d'auteur proprement dites, correspondances avec un « jeune poète », poèmes autoréflexifs, manifestes, tracts, préfaces auto-justificatives, modes d'emploi et, dans un passé récent, essais théoriques (de poétique, de sémiotique poétique, de sémanalyse ; textes de poésie / théorie).
Quel rôle jouent ces formes par rapport à la poétique historique et à la théorie des genres ? Quel est leur impact sur l'oeuvre ? Comment enfin les relier à leur contexte d'émergence pour en tirer tout le sens ?