Après une mission auSoudan du Sud qui tourne mal, le narrateur, ex-salarié d'une ONG humanitaire,se terre en Normandie, traumatisé. Jusqu'au jour où il retrouve le téléphoned'Arthur, un photographe qui l'avait accompagné à Malakal, tué dans descirconstances mystérieuses. Il se replonge alors dans ce passé trouble qu'ilvoulait oublier... lorsqu'il était au coeur des bombardements, dans une base desNations Unies, près d'un camp de population shilluk. Trente mille personnes yvivaient dans la peur, la misère, mourant de faim, quand elles n'étaient pas massacréespar les troupes gouvernementales du SPLA (Sudan People's Liberation Army),occupées à extraire le pétrole de ce sol de coton noir.Dans ce contexte brûlantde nettoyage ethnique, de tensions et de manipulations politiques, le narrateurparviendra-t-il à connaître la vérité sur la mort d'Arthur ? Engagé dans desorganisations non gouvernementales comme Médecins Sans Frontières, Paul Dukeeffectue, depuis une quinzaine d'années, des missions dans le monde entierauprès des populations les plus vulnérables (Afghanistan, Irak, Mali, Soudan duSud, RDC...). Sous le sol de coton noir est son premier roman.
Paul Dukes was sent into Russia in 1918, shortly after the Bolshevik Revolution, by C'; (the mysterious head of the British secret service). His mission: to pull together the British spy networks operating against the new regime. With its spies and diplomats thrown out at the start of the Red Terror, Britain';s espionage efforts were left to a British businessman with no previous experience as a spy. Dukes operated under a variety of covers, the most daring of which was as a member of the Cheka secret police. On his return, the government publicised his account of Bolshevik terror to justify a joint USUK military attack on northern Russia. Dukes became the only British secret agent to be knighted for spying and was awarded the Victoria Cross. This thrilling account of his mission, first published in 1922, remains a true classic of espionage.