L'Alchimiste est une grande saga d'aventure destinée aux 8-12 ans qui
mêle mystère, humour et énigmes. Dans une Europe médiévale regorgeant
de secrets enfouis et de mécanismes étranges, le déluré Flamel,
l'intrépide Basile, la lunaire Esperanza et le flambeur Fibus se
lancent dans la quête de la Pierre Philosophale. Aventure compliquée
pour ce groupe hétéroclite qui va devoir se surpasser pour résoudre
d'audacieuses énigmes et surmonter de périlleuses épreuves cachées
derrière de mystérieuses portes. D'autant qu'à leurs trousses, le
Masque d'Acier, un homme aussi inquiétant que puissant est prêt à
tout pour trouver la Pierre avant eux. Le problème, c'est que ni nos
héros ni leur ennemi ne se doutent une seule seconde de l'improbable
pouvoir de la Pierre si convoitée...
Nous sommes envahis de messages, d’images et de discours qui nous persuadent de la violence de notre monde. Paradoxalement, il n’a peut-être jamais été moins violent qu’aujourd’hui… Derrière le spectaculaire des événements, la violence est une réalité multiple, mouvante, et parfois insaisissable : certaines violences sont manifestes, d’autres marchent à bas bruit, comme les paroles insinuantes de Iago détruisant peu à peu l’âme d’Othello, comme le contrôle sur les âmes et les corps qui « violent » nos libertés. Même les formes les plus visibles de la violence, même les guerres ne sont pas des phénomènes monolithiques : le droit, les pratiques, la fonction politique de la guerre lui donnent un sens qui ne se réduit pas à des opérations militaires, et qui supposent une analyse conceptuelle. On peut justement attendre de la philosophie, non qu’elle mette fin à la violence, mais qu’elle nous aide, en la conceptualisant, à la mettre quelque peu à distance. N’oublions pas l’antique définition du diable : haineux certes, mais aussi impuissant et ignorant. Ne confondons pas violence et puissance… Alexandre Abensour, ancien élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), agrégé de philosophie, enseigne en CPGE économiques et commerciales au Lycée Saint-Jean de Douai et en Lettres Supérieures au Lycée Sainte-Marie de Neuilly. Nicolas Tenaillon est agrégé de philosophie, professeur de culture générale en CPGE économiques et commerciales au Lycée Saint-Jean de Douai.
Dans chaque recueil de la collection Fidelio, cinq auteurs racontent leurs premiers émois littéraires avec l'écrivain qui a changé leur vie : ici, cinq grands noms de la littérature américaine contemporaine qui n'ont cessé de les fasciner et qu'ils évoquent, chacun à leur façon, intimement, passionnément.Nicolas Chemla évoque avec mordant l'écrivain du Nouveau Journalisme et du " réel comme hallucination " Tom Wolfe. Clarisse Gorokhoff part à l'aventure outre-Atlantique pour nous parler de son monstre sacré,
bigger than life, Norman Mailer. Gilles Marchand livre sa vision du romancier qui fut reconnu dans le monde entier pour l'inoubliable
Le Monde selon Garp John Irving. Delphine Bertholon décrit son grand amour littéraire pour celle qui reste pour elle un mystère, la discrète mais incontournable Laura Kasischke. Le critique littéraire Alexandre Fillon dit, non sans nostalgie, à quel point l'écrivain de la génération X au talent démoniaque Bret Easton Ellis a compté pour lui.
Un matin, l'assesseur de collège Kovaliov se réveille sans son nez ! À la place, il ne reste qu'une surface lisse et plane. Prêt à avertir la police de cette disparition effroyable, il se retrouve « nez à nez » avec son appendice ! Ce dernier déambule dans les rues de Saint-Pétersbourg en tenue de conseiller d'état, bien décidé à conserver sa liberté ! L'ironie de Gogol, l'humour pince-sans-rire de Pouchkine et la poésie de Tourgueniev se mêlent dans ce recueil pour dépeindre la Russie du XIXe siècle et la naissance du genre fantastique.
Qui n'a jamais lu, sur une plaque de rue ou au fronton d'une école, le nom de « Marcel Paul » ? Partout en France, édiles et élues ont depuis longtemps marqué l'espace public de ce patronyme. Pourtant, que sait-on aujourd'hui de l'homme que fut Marcel Paul et de sa vie ?
Né en 1900 à Paris, placé dès son plus jeune âge à l'Assistance publique, Marcel Paul devient pupille de la Nation après le premier conflit mondial. Ouvrier électricien, il adhère à la CGTU et au Parti communiste où il milite durant l'entre-deux-guerres, s'imposant comme un militant de premier plan.
Durant la Seconde Guerre mondiale, son engagement dans la Résistance lui vaut l'internement puis la déportation. Matricule 53057 à Buchenwald, Marcel Paul participe activement à la mise sur pied d'un réseau d'entraide parmi les prisonniers. À la Libération, cet ancien ouvrier et militant CGT des industries électriques et gazières intègre le gouvernement du général de Gaulle comme ministre de la Production industrielle. C'est alors qu'il mène le combat de sa vie, obtenant la nationalisation de l'énergie et créant ainsi EDF-GDF.
En retraçant l'itinéraire méconnu de celui qui a rendu possible l'un des fleurons de l'industrie française, les auteurs donnent tout son sens à l'action de Marcel Paul, à l'heure où les privatisations vont croissantes.
Lorsqu'elle est possible, la chirurgie ambulatoire est aujourd'hui considérée comme la meilleure façon de prendre en charge un patient devant être opéré. Ce livre présente l'importance de l'organisation optimale des unités de chirurgie ambulatoire ; il en rappelle Les principes et les exigences, et répond à trois questions fondamentales : pour quel patient ? Pour quel acte ? Dans quelle structure ?
L'organisation des locaux, l'environnement informatique et le pilotage médicoadministratif sont des éléments essentiels à la prise en charge. Une politique bien conduite d'évaluation des pratiques, de gestion des risques et d'assurance qualité est garante d'un fonctionnement performant et sécurisé. En effet, ne pas exposer le patient à un risque majoré est une des préoccupations majeures de la chirurgie ambulatoire.
Abordant tous ces sujets, l'ouvrage accompagne pas à pas les gestionnaires et acteurs de soins, tout au long du parcours opératoire du patient, en proposant d'en optimiser chacune des étapes. Sa présentation sous forme de fiches en rend la consultation facile et efficace. Chaque fiche est accompagnée de conseils pratiques et de compléments numériques, vidéos ou textes de loi utiles.
On ne peut plus animer une réunion comme il y a 20 ans : l'entreprise a changé et l'animation de réunion aussi. Ce livre original montre qu'il faut agir différemment suivant les différents types de réunions actuelles. Distinguant la réunion
P : réunion Performance (dialoguer et piloter la performence)
E : réunion Exploration (Innover, Disrupter, travailler de façon créative et penser "out of the box")
P : réunion Projet ( Gérer et animer efficacement une réunion de projet)
S : réunion Solution (Résoudre des problèmes de fond)
les auteurs montrent comment agir.
Leur ouvrage est conçu comme un outil de travail : il aborde tour à tour les différentes réunions existantes, les innovations récentes en la matière ainsi que les trucs et astuces pour être plus efficace et surtout faciliter l'action productive au profit des enjeux et objectifs de chacun.
A destination des élèves des classes préparatoires commerciales, cet ouvrage propose d'explorer toutes les problématiques du nouveau thème de l'épreuve de français-philosophie à partir :
• d'un cours approfondi avec de nombreuses références
• de textes commentés
• de dissertations corrigées
• d'un glossaire
Aimer est la chose du monde la mieux partagée, et l’on ne voit guère ce que la pédanterie des philosophes pourrait nous apprendre sur ce sujet qui n’ait pas déjà été dit mille fois par la chanson populaire. Édith Piaf a-t-elle besoin de Platon ? S’il est vrai qu’une tradition un peu sévère voit d’un mauvais œil l’amour passion, il ne faut pas oublier qu’aimer ne se réduit pas à l’adoration de l’amant pour l’aimé. Il existe de multiples formes d’amour, que cet ouvrage s’efforce d’explorer. Et, ô surprise, il n’est pas sûr que Platon soit finalement le moins bien armé pour nous aider à comprendre toutes les nuances de ce qu’est aimer, depuis le coup de foudre jusqu’à la vérité. D’ailleurs, il n’existe pas beaucoup de chansons sur l’amour du Vrai, du Bien et du Beau…Le but de cet ouvrage est de donner des éléments clairs et solides pour aborder une telle variété de domaines. Le cours permet de se repérer de manière précise dans les pensées des philosophes et des écrivains. Nous proposons également une série de 20 textes commentés, ce qui permet de travailler activement des auteurs aussi différents que Boèce, Voltaire ou Proust… Enfin, des corrigés de dissertations et un glossaire complètent les outils, offrant ainsi un manuel complet pour préparer dans les meilleures conditions le thème des concours.
Preuves de l’existence de nouvelles exoplanètes, découverte de trous noirs supermassifs, hypothèse de l’accélération de l’expansion de l’univers, les progrès de l’astrophysique sont quotidiens. Mais, au sens strict, la « cosmologie », discours raisonné sur le monde, ne se réduit pas à l’exploration et à la mise en forme des espaces lointains et des corps qu’ils contiennent. Parce qu’elle est originellement métaphysique, son objet est de spéculer sur le monde, sur son sens, sur la place que l’homme peut ou doit y occuper. Se faisant, elle s’ouvre sur l’anthropologie et autorise à faire du monde non plus seulement une donnée naturelle mais un espace culturel partagé que l’homme habite et transforme pour y vivre et s’y épanouir. D’Anaxagore à Goodman, ce manuel se réfère à toute la tradition philosophique, pour montrer comment l’histoire de la « mondialisation » est d’abord celle de la réflexion sur notre présence dans le monde et sur le sens que peut avoir ce concept.
Alexandre Nicolas est né le 6 juin 1917 à Saïda en Algérie. Pour cet enfant d'un petit village des Hauts Plateaux de l'Algérie, l'armée est une promotion dont il est fier. Comme celle de l'Education nationale qui le fait instituteur en 1937. C'est son histoire qu'il raconte ici : lieutenant pendant la guerre, instituteur jusqu'au bout, il deviendra en 1962, à Sidi-Bel-Abbès, directeur de l'Office culturel français, puis s'installera en 1964 à Aix-en-Provence, ville d'où était parti son père en 1912 pour Saïda.
Pour son numéro d'automne, l'équipe de 24 images nous présente 100 cinéastes qui, selon leur point de vue, renouvellent et font évoluer le cinéma d'aujourd'hui. Une liste qui ne se targue pas d'être exhaustive - et encore moins consensuelle! - mais qui souhaite plutôt attirer l'attention sur certains réalisateurs qui font du cinéma un art toujours vivant. Ainsi, cinéastes québécois et réalisateurs internationaux se côtoient dans une sélection incluant aussi bien les documentaristes que les cinéastes expérimentaux et d'animation. Des choix fait selon les affinités des collaborateurs de la revue avec les cinéastes afin de partager non seulement leur enthousiasme, mais aussi de susciter la réflexion et les débats.
Cinquante ans après leur création, Le chat dans le sac de Gilles Groulx et À tout prendre de Claude Jutra ne peuvent nous laisser insensibles à leur quête de liberté, tout comme aux doutes et tourments qui les habitent. De quelle manière ces deux films résonnent-ils encore aujourd'hui? Ce dossier de 24 images cherche à réaffirmer l'inaltérable actualité du cinéma de Groulx et de Jutra en replongeant d'abord dans l'esprit de l'époque (témoignages d'artisans ayant oeuvré sur les deux films; récits de cinéastes sur leur rapport avec ces deux oeuvres) puis en créant des parallèles avec le jeune cinéma québécois actuel (absence de portée politique et sociale, « néovérisme » pessimiste, etc.).
Certains films plus que d'autres ont le pouvoir d'habiter nos rêves et nos pensées bien au-delà de leur vision. L'espace de liberté que quelques-uns portent en eux nous aide à repenser constamment le cinéma, et à penser avec lui. Les films de Jean-Luc Godard sont de ceux-là, et le choc ressenti devant Adieu au langage a suscité un ensemble de textes conçus à la lumière de ce film et des horizons qu'il ouvre. Partant de ce film d'une richesse fabuleuse, ce numéro de 24 images a aussi tenté de voir comment d'autres cinéastes actuels affrontent la question du langage au cinéma, notamment grâce aux analyses de quelques films présentés cet automne : Atlas d'Antoine D'Agata, Journey to the West de Tsaï Ming-liang et Still the Water de Naomi Kawase, entre autres.
Bling-bling : cliquetis des chaines en or qui s'entrechoquent, couronnes serties de pierres brillantes, colliers, bagues, sparkles, joncaille massive dans les mauvais quartiers, décapotables rose bonbon dérapant sur les bords de mer, silicone, strass, mèches blondes péroxydées, sirop de fraise dans le champagne, signes ostantatoires, goût de l'excès, coquilles vides, genre pornographique, comptoirs en toc, tombeaux marbrés.
Bling-bling : miroir de la vacuité ? contestation de l'ordre établi ? hallucination de l'époque ?
- Allez, sers-nous une coupe bébé !
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Bling-bling pour un numéro de Squeeze 24 carats, noir-glacé-prestige, édition first-select-privée, entrée VIP, piscine-caviar-coca à volonté !
9 textes courts, 9 auteurs brillants et une pluie de paillettes.
Sous le signe de la Shéhérazade des Mille et une nuits de Miguel Gomes, le numéro 175 de 24 images nous propose un bilan mi-décennie pour accompagner et réfléchir les changements d'un art, le cinéma (sous toutes ses formes), qui évolue à toute vitesse. Fin de la distribution traditionnelle, nouveau rôle des festivals, enjeux de la diffusion en ligne, impasse de la critique, naissance du vulgar auteurism, évolution du transmédia, triomphe du cinéma de la franchise, etc. Ce riche dossier est complété par un palmarès des incontournables de 2010 à 2015. On retrouve aussi dans ces pages un hommage à l'immense Chantal Akerman, sans oublier des entretiens avec Rabah Ameur-Zaïmeche ainsi qu'avec Guy Maddin et Evan Johnson.
On ne peut plus parler ni du cinéma, ni du spectateur comme on le faisait il y a 10 ou 20 ans. L'évolution des technologies, en affectant ceux qui les utilisent, reconfigure sans cesse notre rapport au monde. Comment cette mutation du regard du spectateur s'opère aujourd'hui et quel avenir nous permet-elle d'entrevoir? Cette édition de 24 Images est presque entièrement consacrée à cette question, réunissant des textes qui explorent une grande diversité de voies. Une entrevue avec la philosophe française Marie-Josée Mondzain, spécialiste de l'art et des images, nourrit ces réflexions. Hors dossier, le Dictionnaire des films québécois de Marcel Jean, un essai sur Timbuktu d'Abderrahmane Sissako et un DVD compilation de sept courts métrages québécois de La distributrice de films.
Circuit consacre son numéro d'automne au cinquantième anniversaire de la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ) qui en 1966 était le seul organisme voué à la musique contemporaine au Québec et est aujourd'hui l'un des plus anciens. Quatre auteurs refont l'histoire de l'organisme et des oeuvres qu'elle a créées et commandées. Si à l'origine il s'agissait d'une poignée de pionniers cherchant à imposer leurs convictions, aujourd'hui l'organisme s'est consciemment institutionnalisé. En 2017, la SMCQ n'est pas spécialement la voie (ni la voix) de la jeunesse branchée et de l'underground, et le milieu des musiques de création s'est considérablement diversifié. (Maxime Mckinley) Toutefois, des deux grandes périodes artistiques de la SMCQ : celle du cofondateur Serge Garant (1966-1986) et celle de son successeur Walter Boudreau (depuis 1988) se dégagent des constantes. Parmi celles-ci : le désir de présenter, dans le grand concert du répertoire international, la musique des compositeurs d'ici.
Quatre univers de la littérature russe magnifiquement et subtilement retranscrits par deux très grands comédiens. Tout en douceur et en sensibilité, Dominique Blanc interprète La Dame de pique et Une âme simple. Avec une voix grave et une présence "terrienne", Jean-Claude Carrière lit Le Nez et Zinotchka.
Les nouveaux : Cyrille Latour, Fabien Maréchal & Sophie Stern
Les récidivistes : Alexandre Nicolas, Corine Pourtau, Cléo Jansen, Julien Boutreux, Marlène Tissot, Michel Antoine Chappuis, Sandra Bechtel, Thibault Marthouret & Yan Kouton
Éditeurs à l'honneur : Antidata & L'Amourier
Édito :
Ce hors-série du Cafard hérétique ne serait pas, sans l'engouement et la persévérance de Brigit Wettstein, fondatrice des éditions Pearlbooskedition (Zurich), qui a publié en 2014 Die Versuchung des Malers, et en 2015 Bilder von Malers (AQ-Verlag, 1981), réalisant ainsi le rêve de Martin Disler (1949-1996), artiste peintre et sculpteur suisse connu pour avoir fait partie des « Nouveaux fauves », d'accéder au statut d'auteur.
Martin Disler, peintre
Martin Disler, auteur
Martin Disler, redécouvert
Les extraits sont tirés des ouvrages publiés aux éditions Pearlbooksedition et les oeuvres reproduites viennent de la succession de Martin Disler
Contributeurs et contributions :
Alexandre Nicolas // poèmes (pp. 79-83 ; pp. 93-102)
Bruno Lus // Les Fruits secs (pp. 52-57)
Denis Moreau // Le sang des martyrs (pp. 107-110)
Ève Vila // En attendant Alma (pp. 73-78)
Guillaume Marie // Les watères du château (pp. 5-12)
Ivan Pozzoni // poèmes (V.O. + trad., pp. 112-115)
Jacques Cauda // Les Crabes (pp. 103-106)
Jean-Jacques Nuel // poèmes (pp. 17-26)
Jean-Luc Manet // Tourner la plage (pp. 43-49)
Julien Boutreux // Horizon (pp. 86-92)
lachaisetriste // Le Fer à repasser (pp. 117-124)
Mickaël Auffray // L'Impasse (pp. 13-16)
Réginald Cornier // L'ange blond du train de l'enfer (pp.27-31)
Romain Paris // Kif-Kif (pp. 125-130)
Sandra Bechtel // La vie d'art[r]iste (pp. 58-72)
Yan Kouton // poèmes (pp. 34-42)
Éditeurs invités :
Les Cosaques des Frontières
Chats de Mars
Photo de couverture et photos intérieures :
Lachaisetriste
Contributeurs et contributions :
Alexandre Nicolas // poèmes (pp. 79-83)
Antonin Crenn // Peine perdue (pp. 42-43)
Axel Sourisseau // poèmes (pp. 116-117)
Brice Gautier // Fin de cycle (pp. 50-55)
Cléo Jansen // J'ai vu (pp. 6-7)
Fabien Sanchez // Choix de textes issus d'un manuscrit en cours (pp. 10-22)
Frédérique Maupu-Flament // Météo maternelle (pp. 104-105) ; Ménage (pp. 106-108)
Guillaume Marie // Dans le jeu (pp. 40-41)
Jacques Cauda // Sans rien ni titre (pp. 47-49) ;
Jean-Luc Manet // Nizhónígo ch'aanidíínaal, Nashoba ! (pp. 73-76)
Julien Boutreux // Le dernier kung fu du maître (pp. 68-72)
Julien Transy // Suite de poèmes (pp. 44-46)
lachaisetriste // Frère de silence (pp. 8-9)
Réginald Cornier // Bonne année ! (pp.27-31)
Romane González // Métro (pp. 24-30)
Romain Paris // Kif-Kif (pp. 31-37)
Sandra Bechtel // [Pas] comme tout le monde (pp. 30-33) ; Rêves orphelins (pp. 34-38)
Yan Kouton // poèmes (pp. 58-67)
Éditeurs invités :
Dernier Télégramme
La Crypte
Photo de couverture et photos intérieures :
lachaisetriste
Contributeurs et contributions :
Alban Kacher // 37.12. 22.85 (p. 88)
Alexandre Nicolas // Poésies (p. 112)
Denis Moreau // Nul autre qu'Alphyre (p. 42)
Dominique Touri // Edgard (p. 76)
Dorothée Coll // Poésies (p. 58)
Julien Boutreux // Peut-être (p. 60) + Anagrammes (p. 128)
Myriam OH (Ould-Hamouda)
// Si tu me cherches, j'explore le chaos (p. 4) + J'arrive (tu peux mettre la table) (p. 68) + Flemme (p. 97) + de nombreux autres poèmes
Romane González // Filles mortes (p. 131)
Thomas Louis // Rôti (p. 30)
Tom Saja // L'Homme qui ne dort plus (p. 20)
Victor Malzac // Cahier de doléances (p. 12)
Yan Kouton // Poésies (p. 31)
Éditeur invité :
Lunatique
Photo de couverture et photos intérieures :
lachaisetriste
Couverture : © Jacques Cauda
Les contributeurs : Alexandre Nicolas, Angèle Casanova, Antonin Crenn, Axel Sourisseau, Bruno Lus, Jean-Luc Manet, Julien Boutreux, Michel Antoine Chappuis, Perrine Le Querrec, Réginald Cornier, Sandra Bechtel, Thibault Marthouret, Vanessa Kientz & Yan Kouton
Éditeur à l'honneur : Qupé éditions
Édito :
Ce hors-série du Cafard hérétique a été conçu avec la complicité de Jacques Cauda, bien sûr, mais aussi de Sandra Bechtel et d'Alexandre Nicolas, deux fidèles contributeurs de la revue, qui ont dressé un portrait de l'artiste ou tout au moins tenté de le faire :
« Elles sont quand même bizarres vos questions, non ??
Tu es quand même bizarre comme individu, non ?!! »
Ce qui donne à peu près ceci :
Jacques Cauda l'Homme :
insolent, fiévreux, instinctif.
Jacques Cauda l'Artiste :
contrasté, audacieux, subversif.
Jacques Cauda l'uvre :
inclassable, désinhibée, puissante.
Jacques Cauda l'Explorateur :
sans détours, sans compromis, sans limites.
Une personnalité aussi unique que multiple [selon nous]
À la production « exotique, préhistorique et inconsciente » [selon lui].
À l'image du Cafard hérétique, donc.