« Sujets casse-gueule, paris réussis », c'est non seulement le titre du mot de la rédaction qui ouvre l'édition automnale de Ciné-bulles, mais aussi un excellent résumé des films couverts dans ce numéro. En effet, Barbara de Mathieu Amalric, un biopic pas comme les autres sur une chanteuse du même acabit et le documentaire DPJ de Guillaume Sylvestre, incursion en douceur dans une institution où le quotidien des travailleurs est fait de moments déchirants, constamment sur la corde raide, relèvent avec brio les défis que leur sujet pose. Destierros d'Hubert Caron-Guay, documentaire sur les migrants d'Amérique du Sud qui, passant par le Mexique, cherchent à atteindre les États-Unis ou le Canada, est de la même trempe. Le numéro propose aussi, entre autres, une critique du film 120 battements par minute de Robin Campillo, de Lucky de John Carroll Lynch et un article de fond sur Stalker d'Andreï Tarkovski.
Le nouveau film de Maxime Giroux, Félix et Meira, trône en page couverture de ce numéro de Ciné-Bulles. Avec une virtuosité et une sensibilité semblables à celles du réalisateur, le critique Luc Laporte-Rainville présente ce grand film, qui met en scène une histoire d'amour non conventionnelle entre un héritier francophone excentrique et une jeune mère juive hassidique. De plus, pour marquer la sortie de Deux jours, une nuit, le 9 janvier, on trace le portrait du cinéma des frères Dardenne; on découvre l'exposition Stanley Kubrick: The Exhibition; et on commente plusieurs films à venir sur les écrans, dont The Price We Pay d'Harold Crooks.
À l'image du caractère insaisissable de son sujet, énigmatique à souhait, la couverture de ce numéro de Ciné-Bulles est consacrée au Profil Anima, documentaire de Sophie Deraspe. Une oeuvre « au diapason de la politique internationale et de nos obsessions virtuelles qui génèrent un mystère abyssal, vertigineux, sans fin », selon Zoé Protat qui a analysé le film pour nous. Un entretien de Nicolas Gendron avec la réalisatrice nous convainc de toute la pertinence de ce film. Des entrevues avec Mathieu Denis, réalisateur de Corbo, puis avec Rafaël Ouellet pour son 6e opus, Gurov et Anna, sont aussi au sommaire de cette édition, chacune étant suivies d'un texte critique. Finalement, la chronique « Histoires de cinéma » se penche sur le cinéma de Godard, plus spécifiquement sur Sauve qui peut (la vie), 35 ans après sa sortie.
Dans ce numéro de Ciné-Bulles, un entretien en primeur avec Mina Shum qui signe le documentaire Ninth Floor sur les événements méconnus survenus à l'Université Concordia en 1969 (autrefois Sir George Williams) alors que des étudiants noirs accusaient un de leurs professeurs de racisme. OEuvre de mémoire qui fait la une de ce numéro. Également au sommaire de cette édition, des entretiens avec les réputés directeurs de la photographie André Turpin et Michel La Veaux qui ont réalisé, respectivement, le long métrage Endorphine et le documentaire Hôtel La Louisiane. Aussi, un retour, sous forme de portrait, sur le cinéma de Paolo Sorrentino, à l'occasion de la sortie de Youth. Et la chronique Histoires de cinéma raconte l'héritage à plusieurs égards du classique The Godfather de Francis Ford Coppola.
L'édition hivernale de Ciné-Bulles met de l'avant Luc Bourdon et son oeuvre de montage La Part du diable portant sur le Québec des années 1970 et réalisée à partir d'extraits de 200 films de l'ONF. Michel Coulombe s'est entretenu avec le cinéaste et Nicolas Gendron signe le commentaire critique de cet opus qui sortira en février. Également à l'avant-plan, lisez des critiques de The Square de Ruben Östlund et The Killing of a Sacred Deer de Yorgos Lanthimos. Ciné-Bulles se penche aussi sur l'exposition Il était une fois... le western - Une mythologie entre art et cinéma présentée au Musée des beaux-arts de Montréal, et constate qu'à trop embrasser, mal on étreint. Suivent un entretien avec Catherine Martin, réalisatrice de Certains de mes amis, et un retour sur Pather Panchali de Satyajit Ray. Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve fait également l'objet d'une riche et pertinente analyse par Jean-Philippe Gravel.
En couverture du numéro d'automne de la revue Ciné-Bulles, retrouvez Antigone, adaptation des pièces classiques de Sophocle et Anouilh, et cinquième long métrage de la cinéaste Sophie Deraspe. Marie Claude Mirandette s'est entretenue avec elle et Ambre Sachet passe à la loupe le travail d'adaptation dans son commentaire critique. Deux autres entretiens sont au sommaire : un d'André Forcier par Michel Coulombe pour la sortie du film Les Fleurs oubliées et l'autre de Myriam Verreault par Ambre Sachet pour Kuessipan. Sur le plan rétrospectif, redécouvrez Jésus de Montréal, 30 ans après sa sortie, un portrait de la filmographie de Quentin Tarantino et l'histoire du travail collectif ayant mené en 1981 au succès du film Les Plouffe de Gilles Carle. Le numéro comprend aussi des critiques de Parasite, Aquarela, Douleur et Gloire, La Fille du cratère, L'Heure de la sortie, The Last Black Man in San Francisco, Matthias et Maxime, Midsommar et Soleils noirs
À la une du numéro d'été de la revue Ciné-Bulles, Les Drapeaux de papier de Nathan Ambrosioni, jeune cinéaste français, qui raconte la difficile réunion d'un frère et d'une soeur alors que ce dernier est libéré après douze années au pénitencier. Éric Perron s'est entretenu avec le réalisateur et Ambre Sachet offre un commentaire critique du film. Ce numéro comporte trois autres entretiens, chose sans précédent. Lisez celui avec Hélène Choquette, documentariste s'étant penchée sur la controverse entourant Robert Lepage et le spectacle Kanata, puis celui avec Ian Gailer, directeur général et artistique du Festival de cinéma de la ville de Québec, et enfin le deuxième d'une série de grands entretiens menés par Michel Coulombe, cette fois avec le compositeur François Dompierre. Aussi au sommaire Les Sept Dernières Paroles, Sofia et Grâce à Dieu dans la rubrique « Avant-Plans », Les Sept Samouraïs d'Akira Kurosawa dans la rubrique Histoires de cinéma et une riche rubrique Critiques.
En couverture du numéro d'hiver de la revue Ciné-Bulles, retrouvez Portrait de la jeune fille en feu, un film de Céline Sciamma ayant remporté le Prix du scénario au dernier festival de Cannes. Le long métrage raconte une histoire d'amour impossible au XVIIIe siècle entre une peintre et son modèle. Frédéric Bouchard en signe le commentaire critique. Le numéro présente aussi deux entretiens, l'un avec le Winnipegois iconoclaste Matthew Rankin dont le premier long métrage prendra l'affiche prochainement. Le réalisateur est déjà bien connu des adeptes d'animation et de cinéma expérimental. Le second entretien a été mené avec Guillaume de Fontenay dont le premier long métrage, Sympathie avec le diable, raconte l'histoire vécue du siège de Sarajevo en 1992 à travers les yeux du correspondant de guerre Paul Marchand. Aussi au sommaire : un portait du cinéma de Ken Loach, un retour sur Où êtes-vous donc ? de Gilles Groulx en 1969 et une analyse du Joker de Todd Phillip, entre autres.
Le numéro printanier de la revue Ciné-Bulles s'ouvre sur un entretien de Marie Claude Mirandette avec François Delisle à propos de son plus récent long métrage, Cash Nexus (en salle le 22 mars). La critique du film qui fait la couverture du numéro est signée par Frédéric Bouchard. Aussi au sommaire de ce numéro : des entretiens avec Philippe Lesage pour Genèse et Robin McKenna pour Gift; des critiques des films Burning de Lee Chang-dong, The Favourite de Yórgos Lánthimos et Amanda de Mikhaël Hers; une analyse de l'oeuvre Un amour impossible sous l'angle Du livre au film; un bilan des documentaires québécois sortis en 2018; et un retour sur 1900 de Bernardo Bertolucci dans la rubrique Histoires de cinéma.
En couverture de son numéro du printemps, la revue Ciné-Bulles présente le film Garçon chiffon de Nicolas Maury. Le cinéaste accorde une longue entrevue et Ambre Sachet signe le commentaire critique de ce premier film délicat. Cette année marquant le 50e anniversaire de l'Association coopérative de productions audio-visuelles (ACPAV), Charles-Henri Ramond offre un portait de cette boîte de production presque aussi vieille que le cinéma québécois. Retrouvez aussi au sommaire un second entretien, celui de Nicolas Gendron, avec le réalisateur Matthew Bissonnette pour son long métrage Death of a Ladies' Man qui marche dans les pas de Leonard Cohen, puis Ambre Sachet aborde le domaine de l'éclairage dans la série sur la présence féminine dans les métiers du cinéma. Marie-Claude Mirandette, elle, signe deux articles, l'un sur une autre sortie française annoncée pour les prochaines semaines, La Daronne de Jean-Paul Salomé pour la rubrique du Livre au film et l'autre pour la section Histoires de cinéma sur Once Upon a Time in America de Sergio Leone.
C'est le film Souterrain de Sophie Dupuis qui se trouve à la une du numéro d'automne de la revue Ciné-Bulles. Lisez un entretien où elle détaille entre autres sa démarche de réalisation, et un commentaire critique du film. Pour cette édition, les membres de la rédaction vous a concocté un dossier spécial consacré à leurs cinéastes préférés. Laissez-les vous raconter comment Charles Chaplin, Louis Malle, Brian De Palma, Hayao Miyazaki, Denys Arcand, Robert Guédiguian, Andrea Arnold, Noah Baumbach et Jayro Bustamante les ont marqués. Également au sommaire, Coal Miner's Daughter de Michael Apted dans la rubrique Histoire de cinémas et le travail des preneuses de son, à découvrir, dans la rubrique Métiers.
Dans ce numéro : pour la sortie du sublime De rouille et d'os, Nicolas Gendron, sur 6 pages, passe en revue la filmographie du remarquable cinéaste qu'est Jacques Audiard. Huit pages sur Catimini dont un long entretien avec sa réalisatrice, Nathalie Saint-Pierre. Un texte détaillé sur le travail des cinéastes d'animation Quay à l'occasion de l'exposition au MoMA : Quay Brothers : On Deciphering the Pharmacist't Prescription for Lip-Reading Puppets. Dix pages - un texte exclusif - sur les guides de scénarisation. Des analyses de la filmo d'Alain Resnais sous l'angle de son approche théâtrale et des oeuvres Le Torrent et The Master. Aussi, des textes sur les films The End of Time, Amour, Life of Pi, A Late Quartet, À perdre la raison, Après la neige, Avant que mon coeur bascule, Dans la maison, Ésimésac, Frankenweenie, Le Horse Palace, Les Manèges humains, Thérèse Desqueyroux.
Dans ce numéro : un dossier de 32 pages (7 articles) sur la représentation de la femme dans les films, mais surtout sur la place des femmes derrière la caméra. Le coeur de ce dossier est une table ronde de 12 pages avec 4 québécoises de 3 générations : les cinéastes Léa Pool, Julie Hivon et Tara Johns et la productrice Stéphanie Morissette. Aussi la première entrevue accordée par Louise Archambault pour son film Gabrielle (6 pages), le plus grand succès du cinéma québécois en 2013. Également au sommaire de ce numéro, un entretien fleuve avec Denis Côté à l'occasion de la sortie de Vic et Flo ont vu un ours. Au fil de ces 8 pages, le cinéaste trace des parallèles entre ce 7e long métrage et ses films précédents. Les autres sujets de ce numéro : Hannah Arendt, Au-delà des collines, La Chasse, The Great Gatsby, Mud, Sarah préfère la course, The Must Be the Place.
Ce numéro, sorti le 11 décembre 2013, présente 12 Years a Slave en couverture : un texte de 4 pages qui met le plus récent film de Steve McQueen en perspective avec ses précédentes oeuvres. Puis, en primeur : 8 pages sur Arwad dont un entretien avec les réalisateurs. Et en exclusivité, un dossier sur le 50e anniversaire de la Cinémathèque québécoise (un entretien de 6 pages avec le directeur de la programmation et 8 pages sur les collections de l'institution). Aussi, au sommaire : un hommage à Michel Brault (6 pages) et des critiques des films L'Image manquante, Diego Star, La Grande Bellezza, La Passé, Dallas Buyers Club, etc.
En couverture de l'édition printanière de Ciné-Bulles, trouvez Les Intranquilles du réalisateur belge Joachim Lafosse. Martin Gignac l'a rencontré et Charles-Henri Ramond signe le commentaire critique. Marie Claude Mirandette, elle, a rencontré Emanuel Licha, réalisateur du documentaire zo reken, dont Nicolas Gendron signe la critique. Puis, Michel Coulombe s'est entretenu avec Joannie Lafrenière, réalisatrice de Gabor, un portrait du photographe d'origine hongroise Gabor Szilasi. Aussi au sommaire, des analyses sur Drive My Car de Ryûsuke Hamaguchi, Mères parallèles de Pedro Almodóvar, la pièce Macbeth au cinéma, Jonas qui aura 25 ans en l'an 2000 d'Alain Tanner dans la rubrique Histoires de cinéma et plusieurs critiques de films ainsi que des recensions de livres.
En couverture de l'édition estivale de Ciné-Bulles, retrouvez Babysitter, le second film de l'actrice et réalisatrice Monia Chokri. Martin Gignac s'est entretenu avec elle et Frédéric Bouchard signe le commentaire critique de ce fim dont « on ne peut nier l'audace formelle de la réalisatrice, qui magnifie le vernis illusoire de ses personnages pour mieux l'égratigner ». Michel Coulombe s'est lui entretenu pour sa part avec Luc Picard pour le film Confessions qui relate un pan de l'histoire de Gérald Gallant, célèbre tueur à gages lié au crime organisé à la fin des années 1990. Lisez aussi l'entrevue de Marie Claude Mirandette avec Éric Gravel, réalisateur du très estimé À plein temps. Le numéro propose aussi un portrait de la cinématographie de Paul Thomas Anderson, un article sur la plus récente adaptation du roman En attendant Bojangles, un regard sur la trilogie de Stéphane Brizé (La loi du marché, En guerre, Un autre monde), sur l'impitoyable univers de l'entreprise.
En couverture du numéro d'été de la revue Ciné-Bulles, retrouvez la relecture en prise de vue réelle du conte Pinocchio par Matteo Garrone. Catherine Lemieux Lefebvre en propose un commentaire critique approfondi. Puis, Marie Claude Mirandette s'est entretenue avec Simon Lavoie, réalisateur de Nulle Trace, un film atypique où se croisent les destins de deux femmes dans un univers post apocalyptique indéterminé. Frédéric Bouchard en signe le commentaire critique. Il s'entretient aussi avec Julien Knafo, réalisateur de Brain Freeze, un film de zombies « coloré d'un virulent commentaire environnemental et d'une grinçante satire corporative », dont il signe également le commentaire. Poursuivant sa série de grands entretiens avec des artisans du cinéma, Michel Coulombe rencontre Claude Beaugrand, concepteur sonore. Jean-Philippe Gravel offre un article hommage au cinéaste Bertrand Tavernier (1941-2021) en s'intéressant tout particulièrement à ses films intimistes. La rubrique Histoire de cinéma, signée elle par Orian Dorais, est consacrée au film Le Septième Sceau d'Ingmar Bergman.
En couverture du numéro d'automne de la revue Ciné-Bulles retrouvez le documentaire Le Silence de Renée Blanchar qui donne la parole à des hommes acadiens abusés par des membres de l'Église catholique, qualifié de bouleversant et nécessaire. Lisez le commentaire critique de Frédéric Bouchard et une entrevue avec la réalisatrice. Lisez aussi un entretien avec Caroline Monnet, réalisatrice de Bootlegger, accompagné d'un commentaire critique du film et un avec Martin Fournier et Pier-Luc Latulippe, réalisateurs de Dehors Serge dehors, lui aussi accompagné d'un commentaire critique. Archipel, film d'animation de Félix Dufour-Laperrière et Annette de Leos Carax font aussi l'objet de critiques approfondies. Dans la rubrique Métiers de cette édition, il est question d'effets spéciaux, et dans Histoire de cinéma, c'est Léon Morin, prêtre de Jean-Pierre Melville qui est abordé. Le numéro est complété par plusieurs critiques brèves de sorties récentes et par quelques comptes-rendus d'écrits sur le cinéma.
En couverture de ce premier numéro du 40e volume de la revue Ciné-Bulles, retrouvez L'événement d'Audrey Diwan, film « à la forte signature, abordant frontalement un sujet [l'accès à l'avortement] qui devrait tous nous préoccuper. » Frédéric Bouchard signe le commentaire critique de l'oeuvre, récipiendaire du Lion d'Or à la Mostra de Venise 2021. Le numéro offre aussi des entretiens, accompagnés de commentaires critiques, avec Philippe Grégoire, réalisateur du Bruit des moteurs et Nine Antico, réalisatrice de Playlist. Également au sommaire, de nombreuses critiques de sorties récentes dont Les oiseaux ivres d'Ivan Grbovic, un essai sur le cinéma et le confinement, un texte sur l'adaptation de Dune par Denis Villeneuve et un dossier « Mon meilleur court » réunissant des textes sur les courts-métrages préférés de l'équipe d'auteurs et d'autrices de la revue. Ce numéro est également le premier de Marie Claude Mirandette à titre de rédactrice en chef, Éric Perron lui cédant les rênes pour se consacrer à la direction de la revue.
En couverture de ce numéro de la revue Ciné-Bulles trouvez Phi 1.618 de Theodore Ushev, une expérience cinématographique, déroutante et captivante, tournée en Bulgarie, terre natale du réalisateur, entre deux vagues de pandémie et qui entremêle les styles et les images en prise réelles et animées. Charles-Henri Ramond signe le commentaire critique de ce film qui « intrigue et hante les esprits bien au-delà de son visionnement » et Marie-Claude Mirandette a rencontré le cinéaste, « un artiste visionnaire, généreux, curieux, qui rêve d'enchanter le monde, un film à la fois. » Lisez aussi un entretien avec Lawrence Côté-Collins, réalisatrice de Bungalow qui sous le couvert de la comédie, aborde la pression de conformité que subit le couple de protagonistes. Frédéric Bouchard a mené l'entretien et Charles-Henri Ramond signe la critique. Retrouvez aussi des gros plans sur La montagne de Thomas Salvador, Retour à Séoul de Davy Chou et Le plongeur de Francis Leclerc dans la rubrique du « Livre au film ». Thérèse Bérubé, scripte est le sujet d'un grand entretien, le cinéma de Dario Argento est à l'étude dans la rubrique . « Portraits » et c'est The Birds d'Alfred Hitchcock qui est revisité dans « Histoires de cinéma ». Le numéro est complété par plusieurs recensions de films et de livres sur le cinéma.