Dans la ville de Fukuneko, les chats sont loin d'être des félins ordinaires. En effet, si vous êtes chanceux, l'un d'eux vous choisira peut-être pour vous rendre heureux ! Dénommés les "fukuneko", ces serviteurs du dieu des chats ont le pouvoir d'apporter le bonheur à l'humain de leur choix.
C'est ainsi que la jeune Ako, fraîchement débarquée à la campagne, se voit adoptée par Fuku, la chatte de sa défunte arrière-grand-mère. À ses yeux seulement, l'animal a l'apparence d'une fillette aux oreilles de félin...
Laissez-vous envoûter par les chats du bonheur et leur magie !
On dit que les fukuneko, ces chats porte-bonheur, s'attachent aux humains à qui il manque quelque chose. Si Ako a Fuku, probablement pour combler la douloureuse absence de ses parents, son petit-frère Yôta ne devrait-il pas lui aussi avoir son propre fukuneko ? La cadette de la fratrie va d'ailleurs en apprendre plus sur sa mère grâce à leur oncle Ichi...
La bande de petits chats continue de s'agrandir avec l'arrivée de Charlotte, une fukuneko bien sensible qui redoute le départ de sa maîtresse à l'étranger. En effet, ces créatures toute mignonnes ne peuvent s'éloigner de la ville de Fukuneko...
En emménageant à la campagne, la jeune Ako a découvert les fukuneko, de curieux petits chats qui apportent de la chance à leur maître grâce à leur danse magique ! Elle possède d'ailleurs son propre chat porte-bonheur, Fuku, de même que sa nouvelle amie Chika est accompagnée au quotidien par le facétieux Kosuke. Les jeunes filles font bientôt la rencontre d'autres fukuneko, comme le chef Haku, et la candide Azuki. Cette dernière aurait d'ailleurs bien besoin d'un coup de main des deux humaines pour se rapprocher du beau chat blanc...
Même si elle a du mal à y croire, l'entourage d'Ako semble persuadé que ses parents vont revenir un jour. Et voilà maintenant qu'on lui annonce que ce jour est pour bientôt ! Entre espoir et doute, la jeune fille se demande bien comment réagir face à sa mère, dont l'absence lui a causé tellement de peine... Mais sans qu'elle le sache, un autre problème se profile : si ce qui manque à Ako réapparaît, Fuku pourra-t-elle rester son fukuneko ?
Un quatrième et ultime volume riche en émotions et révélations !
Depuis 2019, les 18-34 ans consomment plus d'actes esthétiques que les 50-60 ans. À partir de ce constat alarmant, Elsa Mari et Ariane Riou ont mené l'enquête. Elles ont poussé la porte des cliniques convoitées, conscientes de cette frénésie de l'intervention. Elles ont écouté des mères et des filles remodelées, la chirurgie en héritage. Mais aussi des jeunes hommes, alléchés par les tarifs, au risque de graves complications.
À qui la faute ? Quelle est la chaîne de responsabilité qui pousse cette génération dans la gueule du loup ? Et quelle future société se dessine lorsqu'une jeunesse n'est plus capable de s'aimer ?
Édifiant. Indispensable.
Démétrios, dans son petit village de la Grèce du 4e siècle avant notre ère, n'aspire qu'à une chose : vivre de son métier de peintre sur céramique. Et, peut-être, ravir le coeur de la belle Apollonia, la fille du patriarche...
Le destin en décide autrement : le voici chargé de sauver son village des appétits guerriers de la cité voisine ! Alors qu'il se lamente sur son sort, la foudre frappe. Lorsqu'il reprend ses esprits, Démétrios a été projeté à travers le temps et l'espace dans le Tokyo de 1964, au moment des Jeux olympiques !
Après Thermae Romae, voici la nouvelle comédie sportive de Mari Yamazaki : Olympia Kyklos !
Démétrios a sauvé son village des appétits conquérants de la cité voisine au cours d'une épreuve sportive qu'il a ramenée du XXe siècle. Il est bien décidé à retrouver ses vases et ses pinceaux, mais le patriarche ne l'entend pas de cette oreille : il en est sûr, Démétrios a l'étoffe d'un champion, il est l'athlète qui apportera gloire et prospérité à sa communauté ! Aux abois, Démétrios est à nouveau transporté jusqu'au Japon des olympiades de 1964. Après le sport, cette fois, c'est sa conception du dessin que notre jeune peintre va voir bouleversée, en devenant l'assistant du dieu du manga, Osamu Tezuka en personne !
"Je suis né dans une tombe. Pas un simple trou pioché dans la terre, mais une chambre rectangulaire toute blanche avec des murs passés à la chaux, un carrelage sanitaire où mon père était couché, nu, sur une dalle de marbre, enroulé dans un drap blanc. Quand je l'ai embrassé, il avait la peau tiède et j'ai compris qu'il était mort. Abattu d'une balle de gros calibre dans le dos par les tueurs qui guettaient.
Je ne le savais pas encore mais il me faudrait toute une vie d'adulte, un livre entier, pour trouver un sens à ce chaos primaire.
Où que je sois, quoi que je fasse, sur un ring de boxe, à pied sur la ligne verte de Beyrouth ou à Bagdad sur l'Euphrate, dans Jérusalem la maudite ou Sarajevo l'assiégée, dans les banlieues obscures de l'islam, au coeur d'une forêt d'Amazonie ou des charniers du Rwanda, je n'aurais pas d'autre choix que de chercher encore et encore à résoudre la même énigme de l'ombre. À oublier la nuit. Et à chercher la lumière."
J.-P. Mari
Bouleversé par la mort tragique du marathonien avec lequel il s'était lié d'amitié dans le Japon de 1964, Démétrios, de retour dans son Antiquité natale, décide de quitter sa cité pour voir le monde et devenir un meilleur peintre, un meilleur athlète, un meilleur homme. Ses pas le mènent tout d'abord à Athènes où Platon, philosophe entre les philosophes, pourrait bien lui prodiguer de précieux enseignements s'il n'est pas trop occupé à rivaliser avec ses disciples... à la lutte ?
Comment concilier art et sport ? Une réflexion profonde et joyeuse sur la création et l'expression de soi.
Pline était un naturaliste de la Rome antique dont la vie entière fut guidée par une imagination sans limite et un amour inconditionnel de la recherche. Son Histoire naturelle est une encyclopédie monumentale née d'une inextinguible soif de connaissance appliquée à l'ensemble des phénomènes se produisant sur notre planète. Aujourd'hui, nous ne disposons que de très peu de sources nous permettant de nous faire une idée de l'homme qu'était Pline, aussi devons-nous nous en remettre à notre imagination. Un exercice qui, personnellement, me donne la chaire de poule ! Comme j'aimerais que nous puissions remonter dans le temps, mon complice de choc et moi-même, afin de vivre en immersion dans le monde de celui que je considère aujourd'hui comme un mentor !
Mari Yamazaki
Soyons francs : je m'en remets à Mari Yamazaki pour absolument tout. Si Pline est un navire que nous avons mis à flot, elle est le capitaine idéal pour ce voyage qui commence. Une aventure qui pourrait presque avoir des airs de croisière puisque, après tout, je n'ai que la moitié du travail à faire...
Tori Miki
Après un voyage émaillé de détours inopinés, Pline gagne enfin Rome aux côtés de Félix et d'Euclès. La capitale impériale s'offre alors au regard médusé du jeune scribe dans un tourbillon de charmes et de dangers.
La suite de la grande fresque historique par l'auteure de Thermae Romae.
Pline découvre les merveilles d'Alexandrie : son phare, sa bibliothèque... mais une lettre de Sénèque le pousse à reprendre ses voyages. Un nouveau périple qui le fera tomber nez à nez avec le minotaure, ainsi que le colosse de Rhodes ! Néron, quant à lui, est toujours sous le choc suite à l'incendie de Rome. Livré à lui-même, il va devoir se résigner à faire appel à Pline...
Plus que jamais assoiffé de connaissance, Pline comprend que les écrits de ses contemporains ou des auteurs du passé ne lui suffiront pas. L'heure du départ a sonné, cap vers l'Afrique !
An 62 de notre ère.
Substitut du gouverneur de la province de Sicile, Pline se rend à des fins d'observations au pied de l'Etna, qui vient d'entrer en éruption. Il a pour compagnons de route son scribe Euclès, son garde du corps Félix et son chat adoré, Gaia. Sur ordre de l'empereur Néron, le naturaliste et sa suite regagnent Rome. Ils retrouvent une capitale impériale au bord du désastre. De plus, son air aggrave l'asthme dont souffre Pline. Tous quittent Rome et reprennent la route vers le Sud.
Après une traversée mouvementée, Pline et sa suite débarquent enfin sur la côte africaine. Carthage et son animation, puis le désert et ses dangers, s'offrent au regard du naturaliste pendant qu'à Rome, les intrigues politiques et l'instabilité de Néron annoncent de funestes événements.
En déclarant la mort de la nature, nombreux sont ceux qui voient dans l'Anthropocène l'opportunité de prendre enfin les commandes d'un système-terre entièrement modelé par les humains.
À rebours de cet appel au pilotage global, Virginie Maris réhabilite l'idée de nature et défend la préservation du monde sauvage. Elle revisite pour cela les attributs de la nature que les fantasmes prométhéens du contrôle total s'appliquent à nier : son extériorité, en repensant la frontière entre nature et culture ; son altérité, en reconnaissant la façon dont les non-humains constituent leurs mondes tout comme nous constituons le nôtre ; et enfin son autonomie, en se donnant les moyens de respecter et de valoriser ces mondes multiples.
L'auteure invite à remettre au cœur de la réflexion sur la crise environnementale la nécessité de limiter l'emprise humaine sur la planète, en redonnant toute sa place au respect de cette nature indocile qui peuple nos paysages, nos imaginaires, et qui constitue finalement l'autre face de notre humanité.
Virginie Maris est philosophe de l'environnement au CNRS. Elle travaille au Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE) à Montpellier. Ses travaux portent sur la biodiversité, les sciences de la conservation, les valeurs de la nature ou encore les rapports entre écologie et économie. Elle est l'auteure de Philosophie de la biodiversité. Petite éthique pour une nature en péril (Buchet-Chastel, 2010) ainsi que de Nature à vendre. Les limites des services écosystémiques (Quæ, 2014).
L'avenir du capitalisme, est le texte intégral et inédit de la conférence que Bernard Maris prononça à l'Institut Diderot, il apparait comme la quintessence de la pensée de feu Oncle Bernard. Dans ce court essai, Bernard Maris apporte un éclairage limpide et efficace sur la « puissance la plus décisive de notre vie moderne », le capitalisme. De ses plus lointaines origines à son état actuel, l'auteur définit et retrace avec brio l'évolution du modèle économique de référence de nos sociétés. Avec une ouverture pleine d'espoir pour le dépasser.
En septembre 1878, déportés au sud loin de leurs terres des Grandes Plaines, les Cheyennes croupissent et se meurent, incarcérés à ciel ouvert, dans cette partie hostile du Territoire Indien, futur État de l'Oklahoma. Les promesses non tenues du gouvernement les laissent souffrir des affres de la faim, les rations promises ne viennent pas ou alors au compte-gouttes. Pour survivre ils n'ont plus le choix : à leurs risques et périls, sous le commandement de leurs chefs Dull Knife et Little Wolf, ils décident de regagner à pied leur pays au Montana. Commence alors un des plus terribles exode de l'Histoire : affamés, dépenaillés ils marcheront, durant les quatre mois du terrible hiver 1878-1879, pour retrouver leur Terre. Pourchassés par l'armée, et laissant de nombreux morts, les Cheyennes, une fois arrivés connaîtront l'emprisonnement dans des baraquements où ils endureront - femmes, enfants et vieillards compris... - sévices physiques comme psychologiques, humiliations et tortures.En 1964, John Ford a fait de cette tragédie humaine un western testamentaire qui a rendu justice au peuple cheyenne en en faisant un classique qui reste dans toutes les mémoires.La densité du roman de Mari Sandoz, la subtilité et la précision des descriptions, l'atmosphère et l'esthétique « très indienne » qui s'en dégagent, font que l'ouvrage dépasse de loin une simple histoire de western : c'est tout simplement un chef-d'oeuvre de la littérature américaine.
Mari Sandoz, 1896-1966, a écrit de très nombreux ouvrages, notamment sur l'Ouest des pionniers et les Indiens. Elle a en l'occurrence écrit la mythique biographie du chef sioux Crazy Horse publiée dans la présente collection.
Souffrance dans les eaux glacées du calcul égoïste, servitude, frustration, angoisse sous l'impitoyable « loi de l'offre et de la demande » ou celle de la « destruction créatrice »... Tel est l'univers des héros houellebecquiens.Comme Balzac fut celui de la bourgeoisie conquérante et du capitalisme triomphant, Michel Houellebecq est le grand romancier de la main de fer du marché et du capitalisme à l'agonie. À travers le prisme des grands auteurs (Keynes, Malthus, Marx, Schumpeter...), Bernard Maris nous invite à une surprenante lecture de son oeuvre pour comprendre la crise du monde contemporain.Vous aimiez l'écrivain ? Il vous paraîtra encore plus grand sous ses habits d'économiste.Vous le détestiez ? Son respect du travail, des femmes, du lien amoureux et son mépris pour le libéralisme vous le feront aimer.
Iduna, 16 ans, cache un lourd secret. En apparence, elle est une Arendellienne comme les autres, inventive et meilleure amie du prince Agnarr. Mais elle est aussi Northuldra. Depuis la bataille de la forêt, ce peuple n'inspire que mépris et méfiance au royaume d'Arendelle, bien qu'il reste piégé, avec quelques Arendelliens, dans une brume impénétrable au coeur du bois. Iduna ignore pourquoi cette brume est apparue. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle ne doit révéler son identité réelle à personne - pas même à Agnarr. Sa vie en dépend. Heureusement, le prince est loin de se douter qu'Iduna est la petite fille Northuldra qu'il a vue danser sur un courant d'air il y a des années, le jour du désastre. Celui où Agnarr a perdu son père, le roi, et où lui-même a failli mourir. Ce dont Agnarr est conscient, en revanche, c'est qu'Iduna représente une alliée précieuse pour faire face à ses nouvelles responsabilités de jeune souverain.
Leurs liens se renforcent et, bientôt, l'amitié se transforme. Si seulement tomber amoureux n'était pas si risqué pour leur avenir : Iduna et son identité secrète, Agnarr bientôt roi d'Arendelle... Pour avoir une chance de connaître le véritable amour, le jeu en vaut toutefois la chandelle.
Apprenez à vaincre votre peur de l'échec !
Il nous arrive à tous d'échouer à un examen, de rater une présentation professionnelle ou de sous-performer lors d'une compétition sportive, alors que notre préparation et nos compétences devraient nous mener à la réussite. Au moment d'accomplir ces actions, la peur de l'échec nous freine voire nous paralyse. Il est temps de casser ce schéma : Marion Mari-Bouzid, psychologue et ex-compétitrice en sports de combats, propose des stratégies efficaces pour vaincre sa peur de l'échec et performer à son plus haut niveau.
Se basant sur son expérience professionnelle et sur nombre de témoignages recueillis au cours de sa pratique, l'auteure offre une méthode concrète qui permet aux personnes déjà performantes d'optimiser encore leur potentiel et aux personnes entravées dans leur réussite de vaincre leur blocage. Elle propose des exercices pratiques, et met à disposition des questionnaires, pour que chacun puisse s'évaluer et s'orienter dans la méthode. Outil indispensable, cet ouvrage permet de retrouver le chemin de la réussite et de la réalisation de soi.
Faites de vous votre meilleur allié pour vaincre votre peur de l'échec et vous dépasser !
À PROPOS DE L'AUTEURE
Marion Mari-Bouzid est psychologue clinicienne spécialisée en thérapies comportementales et cognitives. Également instructrice de pleine conscience, elle est l'auteure de trois livres de psychologie. Elle se consacre, depuis une quinzaine d'années, à la préparation mentale en sports individuels d'opposition et au traitement des troubles de la performance dans les champs scolaire, artistique et professionnel. Conférencière, elle intervient au sein de grandes écoles et en entreprise.
A quoi servent les économistes ? s'interroge Bernard Maris, le co-auteur de Ah ! Dieu ! Que la guerre économique est jolie !
Si l'économie est une science qui prédit l'avenir, le plus grand économiste s'appelle Madame Soleil. Rappel de leurs propos à l'appui, nos Minc, Attali, Barre et Sorman font pâle figure. L'oracle George Soros, vénéré pour avoir spéculé sur la livre et fait fortune, a perdu le double en jouant sur le rouble. Car tous ces experts qui viennent nous conter l'avenir et les bontés du marché ne cessent de se leurrer et de nous tromper en toute impunité, profitant de ce que la théorie économique est à l'agonie. Les nouveaux gourous Merton et Sholes, prix Nobel d'économie 1997, ont été ridiculisés par le naufrage de leur fonds spéculatif et ces adeptes du libéralisme sans entraves ont dû en appeler à l'argent des contribuables pour éviter un krach boursier. Quant au patron du Fonds monétaire international, le Français Michel Camdessus, il n'a vu venir ni les crises asiatiques, ni celles du Mexique et du Brésil.
Les Balladur, Tietmayer, Trichet, Dominique Strauss-Kahn et autres marchands de salades économiques ont surtout une fonction d'exorcistes. Dans un monde sans religion, ils sont devenus les conteurs intarissables des sociétés irrationnelles, chargés de parler sans cesse afin d'éviter que le ciel ne nous tombe sur la tête.
Cette biographie du chef sioux Crazy Horse est l'exemple même de la fusion entre l'art de la biographie et l'oeuvre littéraire. Né au sein des Oglalas, une des sept bandes des Sioux tetons-lakotas Crazy Horse, comme pour rappeler ses cheveux aux boucles un peu claires, portait tout jeune le nom de Curly. Perçu aux yeux des siens comme énigmatique, solitaire, le jeune chef exerçait auprès du « peuple profond » des Lakotas un prestige mystérieux. Il consacra sa vie à combattre un envahisseur dont la supériorité militaire et les épidémies qu'il apportait ont attiré sur les Indiens les pires malheurs et calamités. Sandoz, outre qu'elle s'attache à décrire « son homme étrange » dans l'émotion comme dans l'affliction, rapporte dans le souffle de sa passion, les événements historiques et personnels qui ont accablé la vie de « son héros ». Après une courte existence où se sont croisées joies simples, déconvenues, trahisons, défaites mais aussi victoires comme à Little Big Horn face au général Custer en juin 1876, Crazy Horse sera contraint, surtout par les siens, de se rendre. Le 5 septembre 1877, après avoir présenté sa reddition, il sera lâchement assassiné à Fort Robinson par un soldat... grâce à l'aide d'un de ses « frères Lakotas ».
Mari Sandoz (1896-1966) est née dans le Nebraska et a grandi sur les lieux où vécut Crazy Horse. Ses écrits sont imprégnés d'une enfance où elle côtoya toute petite les Indiens. Cela explique en partie une certaine manière d'écrire qui fait sa spécificité. Sandoz a de nombreux livres à son actif dont Automne cheyenne publié dans la présente collection.