Patient-oriented approaches to healthcare management have been brought to the fore in recent years, yet this book underlines how even further change is needed in order to fully mobilise the experiential knowledge of patients, and ultimately improve our healthcare systems. With contributions from scholars and patients across the globe, this collection brings together a comprehensive overview of major achievements in patient engagement, analysing political, organizational and clinical contexts. By understanding the concept of care partnership, the authors explore how this patient revolution could transform, improve and innovate the ways in which care services are organized and delivered. Looking closely at the role of new technologies, this timely book will undoubtedly be of use to patients, managers and professionals within the healthcare industry, as well as those researching health policy and organization.
« L'ordi, il faut choisir : le casser ou divorcer... », « Comment résister à l'envahisseur ? », « Facebook a explosé mon couple ! » : de nombreuses personnes se plaignent de la place prise par l'ordinateur dans la famille.
Qu'il n'y en ait qu'un à se partager ou que chacun possède le sien, l'ordinateur est entré dans le quotidien de la famille. Pour un travail scolaire, une recette culinaire ou toute autre question qui surgit dans la conversation, le premier réflexe est de chercher la réponse sur internet. Pour le payement des factures, les réservations de voyages, l'album photos des vacances, la déclaration de contributions, un travail professionnel à terminer, c'est devant l'écran que cela se passe. Sans compter qu'avec les mails, les chats, les blogs et maintenant les réseaux sociaux comme Facebook, un grand nombre de relations se créent ou s'entretiennent par ce biais...
Mais qu'en est-il de l'ambiance familiale ? Est-elle nourrie ou perturbée par ces nouveaux comportements ? À côté des bénéfices et des gains de temps, le manque de sommeil, les repas expédiés, les plantages de la machine assortis d'énervement, les tensions entre partenaires ou entre parents et enfants sont fréquents. L'ordinateur n'est pas un objet innocent comme le lave-linge, c'est une véritable présence dans la maison qui modifie les relations entre les personnes.
Ce dossier fait état des joies et des difficultés rencontrées par les couples et les familles. En confrontant les expériences quotidiennes et l'analyse des spécialistes, il essaie de promouvoir des comportements qui favorisent des relations harmonieuses entre les personnes.
« Trouver sa place de grand-parent, cela demande d'avoir réfléchi au temps et à l'énergie que l'on est prêt à consacrer à ses petits-enfants, de marquer ses limites comme d'accepter celles que mettent les parents, mais surtout de faire preuve de souplesse en s'adaptant à toutes les circonstances de la vie qui conduisent parfois loin des principes que l'on s'était donnés. » « En tant que grands-parents, nous n'avons pas l'obligation de nous comporter en maîtres détenteurs de l'autorité, nous pouvons la faire respecter avec un petit clin d'oeil. » « Nous pouvons en quelque sorte être des ponts entre les parents et l'adolescent, relativiser ce qui semble insurmontable... »
Ces brèves réflexions de grands-parents illustrent quelques spécificités de la grand-parentalité : capacité d'adaptation, bien sûr, mais aussi, un nouveau rôle à s'approprier et à ne pas confondre avec celui de parent. Écoute, conseil, aide en tout genre, transmission de l'histoire familiale, de valeurs ou encore de compétences/connaissances sont autant de façons possibles pour les mamys et les papys de bâtir une relation avec leurs petits-enfants, toujours dans l'espace qui leur est laissé par les parents.
Mais parfois, pour diverses raisons, il se peut qu'aucune place ne leur soit accordée. Ainsi, un certain nombre de grands-parents s'interrogent sur leurs droits et entreprennent des démarches en espérant pouvoir être présents dans la vie de leurs petits-enfants. À l'inverse, d'autres grands-parents sont, quant à eux, sursollicités... et doivent parfois encore répondre aux demandes de soutien de leurs propres parents. Pris en sandwich, il peut leur être difficile de conjuguer ces interpellations émanant de toute part, qui plus est lorsqu'ils sont encore actifs professionnellement... N'y aurait-il pas un couac dans l'organisation sociétale ?