"Avec un ciseau brutal, démystificateur, Jean-Pierre Giraudoux construit des tempéraments tout ensemble humains et surhumains, repense la légende... Et le tourbillon recommence, sous les yeux d'un choeur populaire et quotidien dont le langage réaliste commente les passions, les sentiments raffinés des rois."
Georges Wilson, directeur du Théâtre national populaire
"Louis, deuxième fils de Racine, connut de son vivant une certaine notoriété. Je dépassais la quarantaine quand on m'offrit un volume de ses oeuvres acheté sur les bords de la Seine et j'eus fugacement envie de l'évoquer, à l'affût, soudain, de ressemblances insolites et fécondes... Trois lustres plus tard, ayant enfin lu ses écrits, commençant une enquête sur son existence et sur son entourage, je ne me trouvai avec lui aucune affinité mais découvris le frère. De quatorze ans plus âgé, adoré par son père, admiré par Boileau et prisé par la Cour, Jean-Baptiste avait fui le monde, où il avait charmé, peu après la mort de Jean et son oeuvre, secrète, avait été détruite. Il avait sévèrement et somptueusement jugé celle de son puîné. Tout de suite, il me toucha. Dans le combat cornélien qu'il avait à coup sûr livré au tréfonds de lui-même, était-il mon double ou mon contraire ou les deux à la fois ? Je fus très vite son ami. Je voulus aussi être son chantre. Voici donc sa vie, telle qu'elle m'est apparue au terme d'impatientes et patientes recherches qui ont duré trois ans et qui n'ont point suffi à m'éclairer. Tous les personnages que je nomme, que je peins, même les plus humbles, ont vraiment existé. Succinctement décrits, les lieux sont, dans l'ensemble, ceux-là mêmes où les traces de Jean-Baptiste ont pu être saisies. Toutes les dates - et Dieu sait si j'en joue au long de cet ouvrage ! - sont exactes au jour près. Quant aux faits et quant aux citations, mes sources sont citées en annexe."J.-P.G.
Comment un jeune Romain devient-il proxénète avec les meilleures intentions du monde ? Faut-il admettre que l'ami fidèle, qu'on fréquente depuis des années, n'ait de cesse de vous détruire subtilement ? Qu'est-ce qui sépare l'écrivain enfin récompensé par la gloire et le disciple qui l'a défendu, seul, des années durant ? Tels sont quelques-uns des mystères que nous fait découvrir Jean-Pierre Giraudoux avec un souriant pessimisme, au long de ces nouvelles où les passions, l'aveuglement, la perversité volontaire ou inconsciente se donnent libre cours dans les âmes. Il y a deux façons d'être « d'arrière-garde », comme le proclame, non sans panache, le titre de ce livre. L'une est d'être démodé après avoir été du dernier cri. L'autre est de considérer que l'homme ne change guère, et de l'examiner avec la lucidité éclatante d'un Racine, d'un Chamfort, d'un Benjamin Constant. Jean-Pierre Giraudoux, qui a choisi la seconde solution, est indéniablement de la famille.
Mélancolie du temps qui passe, amours perdues et renouées, paradoxes et mystères du sentiment : voilà les aventures d'aujourd'hui et de toujours que Jean-Pierre Giraudoux prête à ses personnages. Car c'est être d'aujourd'hui que de combattre les rides au cours de discrets séjours dans des cliniques suisses ; de proposer à un ami veuf, grâce aux annonces d'un magazine à la mode, la compagnie d'un jeune homme, et, qui sait, des émois nouveaux... Mais c'est être de toujours que d'envisager le moment où l'amour doit vivre en disant adieu au désir ; ou de souffrir, après dix ans de liaison, d'un premier mensonge.
Le coeur doit-il être absent des méditations qui touchent sérieusement aux affaires des États ? Non, semble répondre Jean-Pierre Giraudoux quand, un an après un certain mois de mai, il fait le point à l'usage d'un jeune léniniste.
Dans un monologue qui est un dialogue à une voix, malgré un commun antigaullisme et un commun humour, se heurtent, antimarxiste, une passion de feu et, marxiste, une passion de glace. Ces passions s'annuleront-elles dans la VIe République ou s'ajouteront-elles l'une à l'autre dans la VIIe République, pour le bien du pays et du monde ? Telle est la question que l'auteur ne pose pas explicitement mais que soulèvera sans nul doute la lecture d'un essai à la fois ardent et raisonné, ingénu et m-ri, divertissant et grave.
Par un apparent paradoxe, Jean-Pierre Giraudoux - qui fut, à vingt-cinq ans, le benjamin des députés de France - en prenant pour interlocuteur un enragé minoritaire, inaccessible ami, s'adresse bien davantage aux jeunes inconnus, majoritaires de tout repos, auxquels la VIIe République voudrait, par les voies du coeur autant que de l'esprit, donner le besoin et le go-t de l'action politique.
Copieusement quadragénaire, Jean-Pierre Giraudoux a-t-il, de plus, parlé en lieu et place de parents victimes, volontiers masochistes ? Son livre, en tout cas, leur est également destiné.
"Le thème, l'accent, l'atmosphère de ce roman de J. P. Giraudoux ne surprendront pas ceux qui, dans l'ordre spirituel, croient aux lois naturelles de l'héritage."
Jean Blanzat, Le Figaro Littéraire
Avec Le Fils, Jean-Pierre Giraudoux nous donne le livre qu'on était le plus fondé à attendre de lui. Il n'en paraîtra pas moins inattendu, le non-conformisme de l'auteur, le plaisir qu'il éprouve à faire la nique aux autres et à lui-même, s'y manifestant aussi librement que jamais, en dépit de la gravité incontestable du propos.
Jean-Pierre Giraudoux nous brosse son autoportrait comme vu dans un miroir à trois faces. Il se considère d'abord à travers le grand écrivain dont il est le fils, ce qui nous vaut d'importantes évocations dans lesquelles Jean Giraudoux, à la fois si clair et si secret, nous apparaît pour la première fois dans sa juste lumière. Puis dans ses rapports avec Charles de Gaulle, dont Jean-Pierre Giraudoux fut un disciple de la première heure : c'est alors l'histoire d'un enthousiasme, suivi d'une déception totale, où l'on voit le jeune officier de marine de la Résistance, le député de la Libération et l'écrivain chaleureux d'Un Roi, devenir, adversaire passionné et peut-être lucide, le dramaturge satirique et meurtri d'Un Prince. Enfin Jean-Pierre Giraudoux se raconte à son fils, prétexte aux aveux sur lui-même les plus vrais, parfois les plus nus.
Certains chapitres, vivement dialogués, qui viennent comme en contrepoint, nous dépeignent sans indulgence un Paris qui atteint au symbole. L'ironie de l'auteur, qui ne ménage personne, s'y retourne volontiers contre soi.
On trouve même ici quelques poèmes, d'un classicisme narquois, mais les quatrains émouvants de l'Épilogue dégagent la leçon de ce livre amer et tendre, désinvolte et profond, où s'affirme le meilleur Jean-Pierre Giraudoux.
Un roi est une pièce en deux actes.L'action se déroule en l'ère chrétienne, dans la salle d'apparat du Palais Royal d'un pays d'Europe.
Aux scènes où l'action le demande, des laquais silencieux introduisent les différents personnages et accompagnent leur sortie.
Un recueil de nouvelles de Jean-Pierre Giraudoux publié en 1957.
Un texte passionnant de Jean-Pierre Giraudoux, publié en 1967.
Contre un théâtre " progressiste " qui bafoue toute psychologie, qui affectionne le bâclé, voici trois échantillons d'un théâtre d'arrière-garde où la psychologie est reine, où le ton se veut noble, au risque de peser.
Abordant un thème qui m'a toujours hanté, la hideuse importance, l'effrayant poids du corps, j'ai essayé, dans le quatuor qu'est Belle, d'illuminer une nudité qui ne soit pas obscène, afin de souligner la nuit où elle se meut, tout en accumulant pour ma joie personnelle, et également, lecteur, pour soutenir ton attention dans un sujet éloigné des soucis du moment, ces atroces mais merveilleuses surprises que l'existence quotidienne nous offre trop chichement : les coups de théâtre.
L'Impromptu de Bellac entend être gratuit, protégé de toute profondeur. Ce divertissement à mine de pastiche prouve peut-être une chose : tandis que dans un roman ou une nouvelle il serait la sécheresse, l'artifice au théâtre, dépouillant les sentiments, repoussant les contingences, apprivoisant l'invraisemblable, provoque une pureté qui est de la tendresse.
Une puissance mystérieuse m'a contraint de traiter à mon tour dans Au nom du Père le drame simple et peu neuf du prêtre qui a perdu la foi, adaptant au go-t de mécréants une souffrance qui ainsi aura été la mienne.
J.-P. Giraudoux
Je ne crois pas en l'indifférence. Mais je ne crois pas que, pour toucher, les mots, les phrases doivent à tout prix s'amonceler, imitant les montagnes.
Je ne crois pas en Dieu. Vivre sans Dieu et vivre cependant comme sous un reflet de la Divinité ! Cet état qui est le mien depuis ma post-adolescence, il m'est venu sur le tard l'idée - non, le besoin - d'en proposer l'exemple à des frères inconnus et donc de le décrire et de l'analyser. Pour les aider à vivre ? Mieux, pour faciliter gracieusement leur mort.
Afin qu'ils sachent bien que je ne suis pas un diplodocus, j'ai évoqué des faits de mon passé, tandis que j'exprimais les méditations qu'a appelées ce qui me reste d'avenir et dont plusieurs, en prime, traitent de la chose publique.
Je ne crois pas au Diable. Car aujourd'hui le Diable n'est plus Satan mais l'Ov"e"m que mes lecteurs, si, dans la couche conjugale, ils me lisent à voix haute pour bercer leur épouse, prononceront "ovem". Je me suis attaché non seulement à déceler cet Ov"e"m partout où, d'ailleurs, il ne se cache guère, mais aussi à l'asperger farouchement d'encre bénite par l'auteur mécréant de ces lignes.
Dans un joli volume de la collection "Ce que je crois", Jean Rostand déclarait : "Qui a vraiment ressenti, vécu le tourment de la question intérieure" - le tourment de qui, n'ayant pas la Foi, n'a su la remplacer - "ne parvient pas à concevoir d'où pourrait jamais lui venir l'apaisement."
J'aimerais que ce petit livre, modeste en tout cas dans ses proportions, soit, pour ceux qui me ressemblent, une recette de la paix intérieure.J.-P. G.
Pourquoi écrit-on un roman ? Parce que l'on ne peut pas s'en empêcher. Nul acte n'est plus impératif. Pourquoi lit-on un roman ? Parce que l'on vous a dit de le lire, parce que d'autres le lisent : nul acte n'est plus gratuit. Pourquoi publie-t-on un roman ? Si le livre est de Jean-Pierre Giraudoux, pour grandes que soient les vertus qu'il lui trouve, l'éditeur pervers est certain à l'avance que, devant ce qui apparaît une cabale du silence, la vente se limitera à un nombre dérisoire d'exemplaires. Nul acte n'est plus co-teux.Parce qu'il ne savoure le pornographique, l'abscons et le vulgaire qu'à doses homéopathiques, Jean-Pierre Giraudoux exècre pour une bonne part la littérature contemporaine. Mais il ne tient que peu rigueur à ceux qui la fabriquent - auteurs prostitués et critiques maquereaux, tous sont ingénus et il en est de délicieux - cependant ces derniers ont l'air de ne point accepter qu'il récuse leur jeu.L'auteur de Fuites s'amuse à penser que, lorsqu'ils seront morts - il leur souhaite une agonie consciencieuse à remords, puis, après rédemption, le paradis qu'ils n'ont pas mérité - lui et son oeuvre existeront encore pour l'exaspérante et lumineuse raison que les générations futures auront la curiosité de connaître le fils de Jean Giraudoux : sans doute s'étonneront-elles que le rejeton d'un des génies de l'écriture universelle n'ait pas été plus abruti par l'humeur d'une époque dont elles se gausseront et qu'il ait peut-être hérité, les inversant, quelques-unes des qualités de son père.Fuites est le contraire d'une fuite mais à travers un récit psychologique, une attaque politique de quelque imagination, d'une grande violence, d'une grande passion contre les trois maux où croupit le monde contemporain : le snobisme, le gaspillage et surtout la laideur.Puisse le lecteur, dont l'âme est encore saine, ne pas laisser à ses arrière-petits-enfants le soin de découvrir cet essai romanesque - où tour à tour huit héroïnes aident le héros à la méditation - et d'en être, à titre rétroactif, inspirés. Puisse-t-il, toutes affaires cessantes, tenter de décider si le petit livre jaune de Jean-Pierre Giraudoux, inséré naïvement dans le temps d'aujourd'hui, est l'histoire d'une défaite ou celle d'une victoire.Sosthène des Presqueuses
Un fils aimant juge et condamne un père écrivain qui, clown sublime, va de succès en succès ; un père adorant juge et admire un fils d'une beauté discète enfoui dans son échec. Où nous mèneront-ils ? Tel est le thème majeur du "dernier roman" de Jean-Pierre Giraudoux, spécialiste reconnu des rappiorts entre parents et progéniture.
Au cours d'un dépression cruelle, en une série de flash-backs, Lucien, fils avant tout, héros du "dernier roman", évoque à l'usage de sa jeune épouse, veuve récente de son père, le chemin de croix et le lys noir dont sa vie, à quarante-cinq ans, a été le parcours. Tout au long d'une action complexe où les personnages secondaires ne sont pas secondaires, le mythe de Paris, capitale du monde intellectuel, en prend sérieusement et drôlement pour son grade.
Bâtard soumis totalement à son célèbre père, Lucien était-il obsédé par les difficultés, pour lui d'abord filiales, d'une écriture créatrice ? Ou, tourment majeur, n'avait-il cessé d'être à la recherche, ou plutôt en atente d'une mère inconnue ?
La partition aux cent mouvements s'achève, après un suspense délié, sur une note inattendue à la fois pathétique et allègre qui est une fin absolue.
Ayant, en de récentes années, admiré et aimé Odile Mallet et Geneviève Brunet, j'eus envie d'écrire, pour ces troublantes jumelles, une pièce bien à elles.
Mes méditations, plume à la main, furent brèves : Amphitryon s'imposa où, depuis des siècles, des êtres identiques se heurtaient face à face. Un Amphitryon où l'impudique Jupiter serait, pour le même jeu, remplacé par la chaste Junon.
Je n'avais pas oublié que les amours doublement adultérines de Jupiter et d'Alcmène avaient donné naissance à l'invincible Hercule et inspiré, avant mon père, trente-sept Amphitryon, cinq ou six après lui. Quasi inexistante dans l'Amphitryon de Molière - le seul de ceux-ci avec lequel je fusse familier -, combien Alcmène était vivante dans l'Amphitryon de Jean Giraudoux et comme elle méritait de susciter le nouvel intérêt de Junon, autant et plus que la passion défraîchie de Jupiter ! De fait, ce n'est pas la légende gréco-romaine qui m'a inspiré, mais le texte bien français de l'auteur de mes jours où, pour la première fois, Léda, substituée une nuit Alcmène, avait un rôle majeur. La rivale d'Alcmène tient dans mon "divertissement" une place essentielle, bien qu'à proprement parler elle n'y paraisse pas.
Puisque Jupiter avait voulu séduire Alcmène, Junon entend faire la conquête d'Amphitryon. Cependant, à travers des quiproquos qui sont la trame de la pièce, une force aimable mais sans merci, dédaignant le mari, pour la déesse vers la mortelle. Non, lecteur salace, il n'y avait pas le moindre saphisme dans cette suite ingénieuse d'Amphitryon 38. Tout au contraire, grâce aux deux héroïnes, l'amour y cédera la place à l'esquisse d'une action politique, d'une révolution dont le Grand Soir chute brutale de l'intrigue, se trouve - ni à gauche, ni à droite - dans le coeur comme dans l'esprit de l'homme d'aujourd'hui.JEAN-PIERRE GIRAUDOUX
Ma première fait miroiter le portrait d'un homme qui, décidant de s'entendre avec la mort, s'arme d'onguents et de solitude.Félicité, onze ans, signe ma seconde... Papa trompe Maman, qui boit. Il ne m'aime ni l'un ni l'autre. Ah, quel malheur d'être une surdouée !Si Laurence, trente-cinq ans, n'avait pas pour la première fois en dix ans menti à Jean-Louis qui en a soixante-dix, aurait-on su dans ma troisième qu'il y a des lettres qui blessent le coupe-papier ?Pour ma quatrième, à ma femme, cette dernière petite mort qui est encore la vie.Ma cinquième débute par une annonce du Nouvel Observateur et se termine à peine en amitié particulière.Ma sixième : deux jumeaux tiennent leur journal. Coups doubles et double cour. Le corps de Gisèle lui porte à la tête.Ma septième est une image. Après cinq ans de manque, Madeleine donne rendez-vous à Antoine sur un banc (précis) de Zurich et l'inaccompli s'achèvera. La vicomtesse d'Ambremeuse ne pouvait faire moins pour ma dernière.Et mon tout forme le Miroir aux fruits d'or. Huit nouvelles. Aux styles de l'amour on naît par l'amour du style.
Un Théâtre rassemble l'oeuvre théâtrale de Jean-Pierre Giraudoux, écrite de 1947 à 1974. Deux de ces pièces sont inédites : Tel Père et le Dernier Amant. Trente ans ont passé depuis les Captifs. Pour un éditeur soucieux de marquer parfois des distances avec le goût du jour et ce snobisme que Jean-Pierre Giraudoux se plaît à dénoncer comme un des maux de notre époque, la réunion d'oeuvres éparses et convergeant en un unique volume est apparue comme une nécessité et un devoir.
Débuts au théâtre compile trois pièces de Jean-Pierre Giraudoux : Les captifs, L'école des hommes et Immortelle.
Mobilisé comme fantassin en juin 1940, Jean-Pierre Montaigne, - fils de Jean Giraudoux - a rallié les Forces Navales Françaises Libres après l'armistice.
Covaincu que seuls de la Communauté Française les jeunes n'avaient aucune part dans la responsabilité de la défaite, il a voulu que d'exil leur voix encore neuve se fasse entendre.
Les circonstances lui ont permis de prendre la parole à la radio de Londres.
Ce volume est le second de la série des Carnets Giraudoux Racine.
Ce volume est le premier de la série des Carnets Giraudoux Racine.
Ce volume est le sixième de la série des Carnets Giraudoux-Racine.
Depuis le début des années 1970, des pullulations de campagnols terrestres causent des dégâts considérables dans plusieurs régions à vocation d'élevage (Auvergne, Franche-Comté...) avec de multiples conséquences sur l'économie, la santé et la faune. La solution chimique proposée d'abord a provoqué des effets secondaires néfastes sur la faune auxiliaire et le gibier. Le problème « campagnol » est devenu problème sociétal.De 1992 à 2007, plusieurs plans d'actions ont pris en compte l'étude globale des processus et la recherche de solutions durables pour mettre en place les moyens d'une lutte raisonnée. Le bilan présenté dans cet ouvrage illustre l'apport d'une démarche systémique pour lutter contre un ravageur.
Articles de Guy Tessier, Jean-Pierre Giraudoux, notamment, et lettres de Jean Giraudoux à son fils Jean-Pierre.