«Comment finissent les arbres» est le texte involontaire d'une mémoire spasmodique dont les à-coups - des listes, des moments, des incipits de récits, des non-poèmes et des poèmes - composent une fresque protéiforme de voix et d'espace-temps.
Plus concrètement, ce texte tente à sa manière de gérer ses revenants, d'aménager un lieu où peuvent se côtoyer l'échec de la transmission de l'héritage catholique, l'existence vide des banlieues et les plus banales questions métaphysiques.