Après sa défaite contre les Sorcières commandées par Sanctus, et les Aguries menées par son demi-frère Vivien, Elgar brûle de retrouver sa place légitime ! Il décide d'évincer le nouveau champion de la reine Jamaniel, sa mère, en la personne de Tête Noire, le démon qu'elle a ramené à la vie pour s'assurer la victoire. Mais Tête Noire a d'autres desseins, dont celui de régler ses comptes avec son passé. Oriane, quant à elle, compte bien retrouver son père en suivant la piste des cadavres qui jonchent son ténébreux chemin... Avec ce troisième tome du cycle des Sorcières, Jean Dufaux abat les nouvelles cartes de son fabuleux jeu épique, mêlant tragédies, trahisons, luttes de pouvoir et combats de l'amour contre le mal. Au service de cette Grande Fresque, entre Shakespeare, Tolkien et George R. R. Martin, les enluminures de Béatrice Tillier, aujourd'hui une des seules autrices réalistes, atteignent des sommets de précision et de souffle épique ! Une stèle de plus vient s'ajouter à cet édifice fantastique qu'est « La Complainte des landes perdues » !
Sobold est mort subitement. Il était le chef du clan des Greenwald et le mari d'Aylissa, la cousine de Sioban. Ses hommes sont en colère. Ils ne s'expliquent pas ce décès brutal. Il faudra toute la force de persuasion de Sioban pour les rappeler à leur devoir de fidélité vis-vis des Sudenne. Cette force, elle en aura aussi besoin pour atteindre son objectif : garantir la paix entre les clans, malgré leurs divergences. Aylissa, aussi perfide que séductrice, ne partage pas cette vision. À ses yeux, seul le pouvoir compte. Et tous les moyens sont bons pour l'obtenir. Bientôt, les événements se précipitent. Les Sacrifiés, venus des terres pourpres au-delà des landes perdues, s'apprêtent à attaquer. L'affrontement est inéluctable. Sioban devra triompher, tout comme elle devra triompher du piège du Mal, tapi en elle et toujours prêt à resurgir... Dans ce deuxième tome du quatrième cycle de La Complainte des landes perdues, Jean Dufaux et Paul Teng composent une fresque ambitieuse, entre scènes d'action spectaculaires et exploration de la psychologie, parfois tortueuse, des personnages de cette saga haute en couleur.
Les sorcières se révoltent : elles refusent que Brynia, l'une des leurs, s'allie à la reine et aide son fils Elgar à devenir le prochain roi. En effet, elles sont convaincues que c'est Vivien, le bâtard du roi, l'être choisi par l'Inferno Flamina, qui doit monter sur le trône. De colère, Sanctus tue Brynia. La soeur de cette dernière, qui réside au château, décide alors de se venger. Elle fomente un plan terrible : réveiller Tête noire, cette créature dont la seule évocation faisait trembler chaque être vivant. La reine Jamaniel suit les ordres de la sorcière et se rend auprès de dame Ceylan, l'unique femme à avoir eu un enfant de Tête noire. Sous la menace, elle obtient l'information qu'elle veut : le lieu de la dépouille de la créature. Néanmoins, dame Ceylan n'entend pas laisser la reine agir à sa guise et, accompagnée de sa fille Oriane, elle compte bien retrouver Tête noire avant la reine qui, par ailleurs, tente de tuer Vivien...
Mai 54, Rome, midi.
Il fait une chaleur torride sur l'arène et les quelques gladiateurs survivants qui essaient encore de s'entretuer n'amusent plus personne, sauf l'empereur Claude, affalé dans les gradins déserts, avide d'entendre le dernier râle du dernier combattant.
En dehors de l'arène, la vie est aussi féroce. Tout le monde veut le pouvoir, tout le monde est prêt à tuer pour l'obtenir. Agrippine, par exemple, seconde femme de Claude et mère de Néron, est en train de faire fabriquer un poison pour son cher époux : maintenant qu'il a reconnu son fils, il peut disparaître et lui laisser le trône. D'ailleurs, il faut faire vite : Claude parle de la répudier et d'épouser la femme qu'il aime, Lolia Paulina, mère de Lucius Murena.
Evidemment, dans le colimateur d'Agrippine, la pauvre Lolia n'a aucune chance. Quant à Claude, il mourra empoisonné et son fils Britannicus sera écarté du pouvoir au profit de Néron.
Voilà l'histoire de Rome telle qu'on nous la raconte dans les manuels scolaires, à ceci près qu'elle prend ici un relief surprenant : sanglante et crapuleuse, elle n'est que superstitions, trahisons, terreur et violence.
En compagnie de Seamus, Sioban, la reine des Sudenne, rend visite à son oncle, lord Heron. Ce dernier leur raconte comment, en compagnie du père de Sioban, il avait été confronté au terrifiant Cryptos. Sioban fait la connaissance de sa cousine, Aylissa, sur le point de se marier. Derrière son visage d'ange, celle-ci dissimule des emportements soudains. Certains prétendent même qu'elle serait folle. Lors d'une promenade à cheval, Aylissa lui lance un défi : franchir la faille de Pathmoor. Sioban échoue. Elle est précipitée au fond d'un ravin. Accident ou piège tendu par Aylissa ? Sioban ne doit la vie qu'à un homme du clan des O'Kallan. Ce clan qui, jadis, avait trahi les Sudenne, et dont les membres vivent depuis à l'écart du monde. Mais cette rencontre inattendue changera le destin de Sioban. En affrontant le Niddhog, ce monstre issu des légendes maudites, elle détiendra désormais un pouvoir encore plus grand, conféré par le Harfingg... Avec ce premier volume du quatrième cycle de La Complainte des landes perdues, magnifié par le graphisme de Paul Teng, Jean Dufaux plonge encore plus profond au coeur du destin de Sioban, cette femme légendaire qui n'a pas fini de nous révéler ses mystères...
À Rome, au lendemain du grand incendie de juillet 64, l'empereur Néron est en proie au doute. Lucius Murena, son ami, a disparu. Celui-ci aurait-il participé à un complot contre lui, comme certains le prétendent ? Néron l'a cru, mais ne sait plus quoi penser. L'absence de Lucius le ronge, comme si son propre passé avait disparu, lui aussi. Lucius est entre les mains d'une femme, Lemuria, qui l'a drogué afin de faire de lui l'objet de son plaisir. Lucius décide de la fuir, car il doit retrouver sa liberté pour se retrouver lui-même. Mais sa mémoire est incertaine. Seul Pétrone peut l'aider à renouer avec celui qu'il était. Pendant ce temps, dans les cercles du pouvoir, des proches de l'empereur fomentent une cabale. Devenu l'homme le plus recherché de la ville, Lucius rencontre une femme étrange, surnommée « l'Hydre ». Elle détient un terrible secret. Un secret qu'elle ne peut partager qu'avec Néron lui-même... Trois ans après Le Banquet, le retour très attendu d'une série devenue culte et servie par le trait classique de Theo Caneschi, digne successeur de Philippe Delaby.
Rome, trois jours avant les ides d'Octobre. L'empereur Claude est mort, empoisonné par sa femme Agrippine, alors qu'il voulait la répudier pour épouser Lolia Paulina, mère de Murena.
Néron, fils d'Agrippine, devient empereur. Sa mère lui ayant acheté les faveurs de l'armée et du sénat, elle croit pouvoir gouverner. Mais à dix-sept ans, Néron n'est déjà plus un enfant, et elle va l'apprendre à ses dépens.
Britannicus, fils de Claude, a été écarté du pouvoir. Mais Pallas, pour se venger de Néron qui lui a enlevé Acté, son esclave préférée, remet à Britannicus un parchemin qui peut changer la face du monde : l'acte de répudiation marqué du sceau de son père, qui élimine Néron de la succession. Pendant ce temps, Murena recherche les assassins de sa mère tandis que Néron s'arrange pour régler le problème Britannicus.
Un dessin réaliste très fouillé, un scénario qui restitue trait pour trait l'histoire de Rome (à quelques détails près, puisqu'on n'a jamais retrouvé le testament de Claude) dans toute sa violence, mettant en scène des acteurs qui, dévorés par la cupidité et le goût du pouvoir, accumulent cruautés, crimes et trahisons sans la moindre scrupule.
Jean Dufaux poursuit la Complainte des Landes perdues, sa grande saga, avec la dessinatrice Béatrice Tillier. Dans ce troisième cycle, très justement intitulé « Sorcières »,la forêt cache une demeure fantomatique, une forteresse émerge du bord de la mer, et le décor est planté pour assister à une terrible course au trône. Tandis que, dans l'ombre, s'affrontent les sorcières, à coups d'amulette maléfique, de magie noire ou blanche...
Britannicus est mort comme son père, l'empereur Claude. Empoisonné. Le testament qui aurait pu mettre fin aux ambitions de Néron n'est plus que cendres. Néron reste seul sur le trône de Rome.
Seul ? Enfin presque. Dans l'ombre, sa mère, Agrippine, seconde épouse de l'empereur, a bien l'intention de faire ce qu'il faut pour " mordre à ce fruit pourri qu'est le pouvoir. "
Le corps de Britannicus enduit de plâtre finit à peine de brûler sur un bûcher battu par la pluie que la lutte pour le pouvoir reprend de plus belle.
Néron apprend de Locuste l'empoisonneuse comment Agrippine a fait assassiner Claude. Il la prend à son service. Agrippine riposte en faisant empoisonner l'empoisonneuse.
Néron se sent si seul qu'il appelle auprès de lui sa tante, Domitia Lepida, bête noire de l'impératrice. Agrippine riposte en obligeant son fils à signer lui-même la condamnation à mort de Domitia.
Agrippine, la meilleure des mères.
Dufaux débarrasse la légende romaine de ses derniers oripeaux romantiques. À travers le dessin réaliste et très fouillé de Delaby, il montre sans fard ce qu'a souvent été l'Histoire à travers les siècles : une succession de sinistres règlements de comptes entre membres d'une même famille peu disposés à partager le gâteau. Et utilisant sans une once de scrupule cruautés, crimes et trahisons. Rome antique, France du Moyen-Age, Italie mafieuse, même combat.
Rosinski, dessinateur de Thorgal, et Dufaux, l'un des meilleurs scénaristes actuels, nous font découvrir l'univers de Sioban, princesse sans royaume mais animée d'une extraordinaire soif de vengeance et de reconquête ! Complainte des landes perdues possède la force des récits fantastiques et la magie des légendes celtiques. En quatre albums, cette série fait déjà partie des indispensables.
Rome, an 58. L'ombre des crucifiés s'étend sur l'empire tandis que tout Rome bruisse de rumeurs. Néron, le nouvel empereur aurait fait empoisonner son demi-frère, Britannicus. Agrippine, pour rentrer en faveur auprès de son fils serait prête à lui ouvrir sa couche. Néron n'aurait de pensées que pour Acté, la belle prostituée qu'il a arrachée à Pallas l'affranchi. Au palais justement, Néron charge Acté d'annoncer à Murena qu'il est pardonné et que rien ne s'oppose à son retour à Rome. Murena ne demande que ça, mais exige de son souverain la tête de Draxus, l'assassin de sa mère. Draxus qui a commis ce meurtre à la demande d'Agrippine...
Néron imagine alors un plan machiavélique qui doit aboutir à la mort d'Agrippine. Il propose à sa mère de faire combattre Draxus contre un gladiateur choisi par Murena. Si Draxus gagne, la garde prétorienne qui veille jour et nuit sur la mère de l'empereur sera doublée. Si Draxus perd, la garde prétorienne sera supprimée. " La meilleure des mères " sent un piège implacable se refermer sur elle.
Fidèle aux récits des plus grands historiens (seul le personnage de Murena est fictif), cette saga qui fait revivre l'évolution - moins manichéenne qu'on le croit souvent - du règne de Néron accumule les lauriers. " Une leçon d'histoire à la mesure de la folie humaine." (Le Monde) " Murena est la meilleure fresque historique qu'il m'ait été donné de découvrir. " (Michael Green, professeur d'histoire romaine au King's College d'Oxford, conseiller historique sur le film Gladiator,) " Si j'enseignais dans le secondaire, je présenterais certainement Murena à mes élèves. " (Jean-Paul Thuillier, professeur et directeur du Département des Sciences de l'Antiquité à l'Ecole Normale Supérieure de Paris).
Partout, les arbres refleurissent. Et le mage Bedlam, affreux gnome qui règne en tyran sur les terres de l'Eruin Dulea, y lit les signes annonciateurs de l'accomplissement des légendes : "Le jour où les arbres de vérité refleuriront, ce qui est mort en ces terres revivra... Un chant se lèvera, et celui qui l'entendra reprendra la lutte contre l'usurpateur".
Un matin à l'aube, en effet, un chant se lève sur les plaines : la Complainte des Landes Perdues. Celle qui l'entend, c'est Sioban, fille du Loup Blanc et seule héritière véritable des terres de l'Eruin Dulea. Ce jour-là, une armée fantastique surgit de nulle part et conduit Sioban jusqu'aux Landes Perdues : les soldats de son père, morts au combat, qui se sont relevés pour elle.
Seamus, son protecteur, l'avait prévenue qu'un jour, une question lui serait posée : "Le mal est-il au coeur de l'amour ?" Et là-haut sur les Landes, son père lui redit que le plus difficile ne sera pas de gagner d'horribles batailles, mais de "frapper au coeur du mal" - qui est peut-être au coeur de l'amour. En effet, de maléfices en sortilèges, le diable lui-même n'y reconnaît plus ses petits.
Inspirée d'une littérature anglo-saxonne fantastique, violente et bariolée, une histoire pleine de sombres magies, mais aussi d'un humour pimpant illustré, entre autres, par Ouki, adorable bestiole un peu ivrogne et tout à fait indestructible : après avoir ingurgité une marmite entière de poison réputé capable de tuer un boeuf (glaires de crapauds, jus d'araignée, etc...), elle émet un vague "burp" et va s'endormir dans un coin...
L'histoire s'écrit dans le sangCe tome 10 de Murena signe le retour de la grande série sur la Rome antique ! Pour que cesse le massacre des chrétiens, accusés à tort d'avoir provoqué l'incendie de Rome, Lucius Murena se rapproche de Néron. Mais ce retour en grâce attise les convoitises et les rancoeurs. Il se retrouvera, bien malgré lui, au centre d'un terrible complot...
Rosinski, dessinateur de Thorgal, et Dufaux, l'un des meilleurs scénaristes actuels, nous font découvrir l'univers de Sioban, princesse sans royaume mais animée d'une extraordinaire soif de vengeance et de reconquête ! Complainte des landes perdues possède la force des récits fantastiques et la magie des légendes celtiques. En quatre albums, cette série fait déjà partie des indispensables.
Massam, l'esclave chargé des basses oeuvres de l'impératrice Poppée, a reçu l'ordre d'exterminer le gladiateur Balba, l'ami de Lucius Murena, et sa compagne Evix qui osa vaincre Néron à la course de chars. Déterminés à venger l'assassinat de Britannicus, ils sont considérés comme de dangereux ennemis de l'empereur. Les deux colosses finissent par s'affronter et Balba l'emporte sur Massam.
Au palais impérial, tandis que Néron projette de construire une Rome nouvelle, Poppée se prélasse en compagnie de ses suivantes. L'une de ses plus intimes, Arsilia, est invitée à rejoindre secrètement le poète Pétrone dans un quartier populaire de la ville. Elle s'y retrouve en présence de Murena dont elle s'était éprise au temps où celui-ci était l'un des proches de l'empereur.
Murena est persuadé qu'Arsilia est complice de l'enlèvement de la seule femme qu'il aime et qu'elle sait où elle a été emmenée. Toujours aussi éperdument épris et résolu à retrouver son aimée, Murena décide ainsi de partir en Gaule à sa recherche. Balba et Evix acceptent de le suivre à la condition qu'au retour, il les aide à éliminer Néron, le tyran et l'assassin de Britannicus. L'aboutissement de ce projet semble maintenant facilité par la disparition de Massam. Laissé pour mort, celui-ci se remet pourtant de ses blessures et Poppée veille personnellement à ce qu'il redevienne l'implacable tueur qu'il était...
Sioban, fille de Lady O'Mara et du Loup Blanc, régnait sur l'Eruin Dulea. Mais Dame Gerfaut lui a fait boire un philtre d'amour qui l'a enchaînée à son fils, un biscornu stupide et lâche. Et voilà Sioban qui épouse Gerfaut et, pire encore, abandonne au cuisinier son copain de toujours, Zog l'adorable petit ouki : son nouvel époux adore le ouki au miel !
Les jours sombres reviennent pour l'Eruin Dulea. Dieu merci, Kyle of Klanach, qui aime toujours Sioban, veille. Et lady O'Mara, pour délivrer sa fille du philtre, fera une chose terrible mais salutaire.
Inspirée de légendes anglo-saxonnes, la Complainte des landes perdues est une histoire pleine de mystères et d'horreurs, mais aussi d'humour et d'amour. Ce dernier volet du cycle répond enfin à la terrible question : l'amour est-il au coeur du mal, ou est-ce le mal qui est au coeur de l'amour ? Et après pas mal d'atrocités que nous ne dévoilerons pas, l'histoire s'achèvera sur un happy-end - y compris pour le petit Zog, mais ne le dites à personne.
Printemps 62. L'ambitieuse Poppée a pris la place de la belle Acté dans le coeur de Néron. Celui-ci se prépare à gagner la grande course de chars qui se disputera à Rome au Circus Maximus. La compétition se déroule, haletante, dangereuse. Contre toute attente, la victoire ne revient pas à l'empereur, mais à un mystérieux champion qui se révèle être une femme...
Le premier tome d'un nouveau cycle de 4 albums !
Le Cycle de l'Epouse se poursuit avec le septième tome des aventures de Murena. Au mois de juin 63 après J.-C., Néron vient de perdre sa petite Claudia Augusta. Le bébé n'avait que quatre mois et la détresse de son père est profonde. Aux marches de l'Empire, des juifs défient Rome et l'empereur s'interroge : quel est donc ce maître que sert le dénommé Pierre ? Et Murena ? Il a perdu sa bien-aimée Acté et décide de quitter la Gaule pour rentrer à rome. Mais quelle sera la réaction de l'imprévisible Néron lorsqu'il apprendra que le proscrit a regagné la cité aux sept collines ?
Néron en a rêvé. Lucius Murena l'a fait : incendier Rome. Pourtant, en expiation de sa faute, le jeune patricien tentera de sauver un maximum de vies humaines. Chacun, nantis et plébéiens, cherche une issue. Tandis que certains se jettent dans le Tibre, d'autres atteindront non sans mal le Champ de Mars. Le quartier du Transtibérin est épargné par les flammes. C'est là que vivent Pierre et les chrétiens. Plus homme que dieu, l'empereur est en proie au doute. Mais si Rome dévastée attise la cupidité des uns, elle révèle aussi quelques belles âmes.
Pour prouver qu'il est digne de confiance, Seamus doit se soumettre à un rituel et offrir un peu de son sang à Mornoir, une voyante dont le corps décharné gît au fond d'un gouffre dénommé "Trou d'0rgast?. Celle-ci confirme la bravoure du jeune homme et lui prédit un avenir hors du commun. Elle prévient cependant : lorsqu'il aimera, son reflet le trahira et il trahira les siens ! Seamus refuse d'admettre cette prédiction. Sûr de sa droiture et de son courage, il accompagne Sill Valt et les chevaliers sur les terres de Glen Sarrick. Hélas, ils arrivent trop tard : la féroce Morigane est passée par là, laissant derrière elle des cadavres atrocement mutilés. Des paysans prétendent l'avoir vue et la décrivent telle une jeune femme aux cheveux rouges survolant la lande.
Sill Valt recrute alors les villageois les plus valeureux pour l'aider à neutraliser cette créature maléfique.
En 2004, Delaby avait succédé avec brio à Rosinski pour le nouveau cycle de la Complainte des Landes Perdues. Cet album, Moriganes, est aujourd'hui réédité en tome 1 du cycle des Chevaliers du Pardon. En même temps parait le Tome 2, Guinéa Lord. Seamus et Sill Valt doivent à nouveau chasser les Moriganes, ces sorcières qui détruisent les hommes et les terres. La lutte du bien contre le mal ! La lutte des Chevaliers du Pardon contre les âmes sombres et cruelles !
Les légendes celtiques traversent cette saga mythique pour nous la rendre plus merveilleuse encore.
Sur le chemin des landes perdues, on retrouve Sill Valt et Seamus, le jeune novice devenu Chevalier du Pardon. Tous deux sont engagés dans une lutte sans merci contre les forces du Mal pour sauver Sanctus, la Morigane devenue Fée. Alors que Sill Valt traque le Guinea Lord, maître des Enfers, Seamus affronte Eïrell, l'ami dont le Démon a fait un ennemi. Le jeune Chevalier s'acquittera-t-il de sa mission ? La vie de son premier amour et le destin de l'île en dépendent...
Dans ce neuvième tome de Murena, Jean Dufaux et Philippe Delaby reconstruisent Rome et exposent les racines de la culture judéo-chrétienne. Néron craint de voir le peuple romain, horrifié par le grand incendie de Rome, se retourner contre lui s'il ne trouve pas de coupables à lui donner en pâture. Les chrétiens seraient des boucs émissaires parfaits ! La relation qu'entame Lucius Murena avec la belle Claudia l'empêchera-t-elle de se battre contre cette injustice ?
Quatrième et dernier tome du cycle des Chevaliers du Pardon de la Complainte des Landes perdues. Tandis que Seamus suit la fée Sanctus aux îles Keruan, Sill Valt veut percer le secret de la naissance du Guinea Lord. Il devra pour cela affronter la mère de celui-ci, la Dame à l'Hermine : une confrontation torride et effrayante. Jean Dufaux consacre un magnifique album à l'ultime combat d'un maître, le dernier album de Philippe Delaby. En digne héritier, Jérémy rend à Delaby le plus beau des hommages en terminant avec brio cet album.