C'est de la monnaie que part et à la monnaie qu'aboutit forcément toute recherche, toute combinaison portant sur le crédit. Qu'il s'applique à aspirer et à vivifier la monnaie, à en accélérer les mouvements, à en accroître l'utilité ; qu'il s'ingénie à restreindre les déplacements de la monnaie, à lui donner des auxiliaires, ou même à la supplanter dans une certaine mesure : c'est toujours - et le crédit n'a que ces deux visées, qu'il poursuit, au fond, simultanément, tout opposées qu'elles paraissent à première vue - c'est toujours la monnaie qui reste son objectif.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.