' J'aurais voulu être Alexander Trocchi. J'aurais voulu être aussi beau, aussi singulier, aussi talentueux que lui. J'aurais aimé moi aussi être un séducteur en série, un libertin sans entraves. Moi aussi, j'aurais été adulé par Patti Smith, William Burroughs, Allen Ginsberg, Jim Morrison, Leonard Cohen, John Lennon ou Eric Clapton. En Alexander Trocchi, j'ai cru voir mon envers solaire, mon frère de lumière, un modèle, un exemple à suivre. Il avait fait de sa vie une oeuvre d'art. Et puis, un jour, j'ai découvert qui il était vraiment. '
Proche de Debord, Alexander Trocchi (1925-1984), lettriste puis situationniste, a été éditeur à Paris, journaliste puis capitaine de chaland à New York, et serait peut-être devenu un grand écrivain s'il n'avait eu un talon d'Achille : l'héroïne, dont il était un fervent défenseur. Détesté par les bienpensants, poursuivi par la police, il a passé son temps à fuir les auto rités comme les responsabilités. Évoquant une époque bohème presque irréelle, Christophe Bourseiller réhabilite ce personnage déclassé, hors norme, ' dandy psychédélique ' pour les uns et ' Camus écossais ' pour les autres.
L'histoire des hitlériens français.De la naissance du parti nazi en 1920 jusqu'à la déclaration de guerre en 1939, on a vu croître en France un courant d'opinion pacifiste, humaniste, européiste et germanophile. " Hitler est un modéré, disaient en substance ses apôtres, c'est un humaniste, un pacifiste. Il n'est antisémite que par tactique. Il calmera ses troupes. D'ailleurs, l'Allemagne ne veut pas la guerre... " Qui étaient les partisans de cette grande réconciliation généralisée entre les peuples ? Jean Luchaire, Fernand de Brinon, Jacques Benoist-Méchin, pour n'en citer que quelques-uns. En parallèle, l'extrême droite française se construit, à l'exemple du fascisme, puis du nazisme. Le Faisceau, la Solidarité française, le Parti franciste, le Parti populaire français et une myriade de groupements haineux inventent le fascisme à la française et soutiennent ouvertement les dictatures, en général, et Hitler, en particulier. Lorsque la guerre éclate, ces adeptes se métamorphosent, s'enfonçant dans une collaboration toujours plus radicale, qui les mène, en une spirale destructrice, à l'apocalypse de 1945. De Pierre Laval à Jacques Doriot en passant par Alphonse de Chateaubriant, Marcel Déat, Eugène Deloncle et beaucoup d'autres, nous suivons ainsi les parcours inouïs de ces champions de la paix devenus des prêcheurs de haine.
Fake news et Fact-checking : la guerre de l'info fait rage. Mais qu'est-ce que vraiment que le complotisme ? Il fallait la science, le talent et la lucidité de Christophe Bourseiller pour dresser un état planétaire de ce fléau postmoderne. Un document total sans concession, mais aussi sans préjugé. Lumineux d'explication. À l'heure du grand torrent communicationnel, les informations semblent toutes se valoir et devoir être toutes soumises à caution. Ce qui fait le lit du complotisme contemporain, la forme la plus virulente, la plus massive de ce travers humain. Il a pris force désormais de religion. Son credo ? On nous cache la vérité.
C'est en spécialiste des mouvements subversifs que Christophe Bourseiller nous raconte et nous explique l'origine et le développement de ce courant qui, grâce aux nouveaux médias, rassemble des millions d'individus de sensibilités politiques et de cultures différentes dans un même culte. Il en établit la généalogie, en dresse les portraits des grands acteurs, en analyse les récits primordiaux, en décrypte les mécanismes et les raisons du succès, en identifie, éclaire et critique les vrais dangers.
Son actuelle prospérité est également le lieu d'un questionnement, à travers l'analyse de la pensée des principaux complotistes contemporains : John Robison, Nesta Webster, Myron Fagan, Milton William Cooper, Boyd Graves, ou Ernst Zündel.
D'Augustin Barruel à Thierry Meyssan, des illuminati aux extraterrestres, de l'incendie du Reichstag au réchauffement climatique, et du 11 septembre au coronavirus, voici l'enquête sans précédent et le manuel de prévention contre l'autre grande pandémie planétaire.
Terriblement actuel, diablement pertinent, hallucinatoirement passionnant.
Casseurs, Black-Blocs, Antifafs, Skinheads rouges : c'est en spécialiste reconnu des marges activistes que Christophe Bourseiller nous fait plonger dans l'univers militant et violent de l'ultra-gauche. À l'heure où la démocratie se fragilise, une indispensable enquête sur ceux qui la menacent.
Ils ont pour nom de guerre les " Black Blocs ", les antifas, les autonomes, les zadistes. Ils se définissaient hier comme situationnistes, conseillistes, luxemburgistes, marxistes libertaires, anarcho-communistes.
Ce sont eux les " infiltrés ", les " provocateurs ", les " casseurs " qui, au sein des manifestations, affrontent les policiers, vandalisent les commerces, dégradent les monuments. Eux qui occupent et radicalisent les fronts politiques, humanitaires ou écologiques, qui ferraillent au nom des Gilets jaunes, des sans-papiers, des néoruraux, des altermondialistes. Eux qui s'emparent de chaque foyer de contestation pour en faire un axe d'insurrection.
Ils forment l'ultra-gauche, cette mouvance qui se veut à la gauche de l'extrême gauche.
On la croyait finie. Elle est aujourd'hui plus active que jamais.
Christophe Bourseiller nous fait découvrir l'histoire de cette nébuleuse dissidente et la géographie de cet univers militant. Il raconte la chronique secrète de cette avant-garde critique de l'idéologie mais aussi de la culture, de la pensée, des arts. Il dessine le culte de la violence révolutionnaire qui l'anime.
Une plongée sans égale dans les marges.
Un travail d'investigation éblouissant, éclairant, indispensable.
Heurs et malheurs de la " génération de la Collaboration " dans la France de l'après-guerre.Après la Seconde Guerre mondiale, en dépit de l'Epuration, certains anciens collaborationnistes parviennent à se recycler et à faire vivre leurs idées. Trois mouvances spécifiques, très actives dans les années 1930-1945, perdurent : le Parti populaire français de Jacques Doriot, le Rassemblement national populaire de Marcel Déat, la nébuleuse " cagoularde " d'Eugène Deloncle. Si, en 1945, leurs chefs tutélaires ont disparu, une nouvelle génération leur succède : Georges Albertini, Guy Lemonnier, Georges Soulès, Maurice Bardèche, René Binet... Ce qui caractérise ces hommes âgé de vingt à quarante ans, c'est la souplesse, voire la plasticité. Il ne s'agit pas pour eux de renier leurs idées, mais bien au contraire de les adapter au règne des vainqueurs, de se glisser dans l'époque nouvelle en l'infléchissant. Dans ce monde bouillonnant de perpectives, on croise François Mitterrand et ses liens avec la Cagoule, des Français formés au camp de jeunesse à Auschwitz (1944), des commandos de miliciens parachutés en France à l'hiver 1945, des collaborationnistes sensibles au fédéralisme européen... Le bilan de cette génération formée de personnalités peu connues du grand public n'est pas négligeable : elle a jeté les bases de l'extrême droite moderne française, avec comme débouchés politiques le populisme poujadiste, puis la création du Front national ; elle a contribué à imbriquer l'anticommunisme et le processus de construction européenne. Au total, elle a vu ses voeux en partie exhaussés.
Qui était Jean Parvulesco (1929-2010) ? De ce mystérieux écrivain d'origine roumaine, auteur de plus de cinquante livres, on ne sait presque rien. Les cinéphiles se souviennent que, dans À bout de souffle de Jean-Luc Godard, il est incarné l'espace d'une scène par Jean-Pierre Melville. Chapeau, lunettes noires, il descend d'un avion. Sur le tarmac, il est assailli par les journalistes. À la question de savoir quelle est sa plus grande ambition dans la vie, il répond : ' Devenir immortel, et mourir. '
Christophe Bourseiller a bien connu Godard, pour lequel il a tourné plusieurs fois quand il était enfant. Des années plus tard, il a rencontré Parvulesco. L'énigme est restée entière. Il a relu son oeuvre fantôme, mené l'enquête sur ce personnage de l'ombre qui fut tour à tour un passager clandestin de la Nouvelle Vague et l'ami intime d'Éric Rohmer, un dandy fascisant et un poète ésotérique. L'inclassable Parvulesco est mort depuis dix ans. Son immortalité commencerait-elle maintenant ?
Le livre de référence sur la vie et l'oeuvre de Guy Debord.Astre noir de la littérature, cultivant le paradoxe et la provocation, Guy Debord demeure aujourd'hui plus célèbre et fascinant encore que de son vivant. Son oeuvre, dont le titre le plus connu est La Société du spectacle, ouvrage prophétique, a trouvé des millions de lecteurs un peu partout dans le monde.
Christophe Bourseiller, dans ce livre qui a fait date à sa sortie en 1999, en enquêteur obstiné et implacable, réussit le pari de reconstituer le parcours de Guy Debord, pourtant rempli de zones d'ombres, depuis l'enfance et les amitiés avec les surréalistes, jusqu'à son suicide en 1994. Il met en lumière le rôle intellectuel et historique de ce penseur iconoclaste, fondateur et chef de file du mouvement situationniste, à la fois brillant analyste et farouche ennemi de la société contemporaine. La magie de ce livre est de rassembler les pièces éparses du " puzzle Debord " pour donner sens à un apparent chaos.
Préface inédite de l'auteur
Quel romancier promenait son homard en laisse dans les jardins publics parisiens ?
Quelle icône de Hollywood martyrisait ses enfants ?
Quel écrivain aimait par-dessus tout décapiter des rats dans des bordels ?
Quel musicien vivait dans un placard, entouré de dizaines de parapluies ?
Quel philosophe étrangla sa femme sans en avoir conscience ?
Franchement cinglé Van Gogh ? Dangereusement azimuté Maupassant ? Bon pour l'asile Kubrick ? Dans une savoureuse galerie de portraits, Christophe Bourseiller dévoile la folie des génies. Sous sa plume enlevée, ils apparaissent, saisis sur le vif, dans leurs excès quotidiens et leurs délires parfois meurtriers. Paranoïaques, maniaques, fantasques, superstitieux ou redoutablement névrosés... : un tour d'horizon des grands esprits qui ne tournaient pas rond.
Avec la participation involontaire de Blaise Pascal, Friedrich Nietzsche, Vincent Van Gogh, Marcel Proust, Virginia Woolf, Erik Satie, Salvador Dalí, Stanley Kubrick et bien d'autres !
Christophe Bourseiller est écrivain, historien et comédien. Il est l'auteur de trente-deux ouvrages, dont Et si c'était la vérité ? (La Librairie Vuibert, 2015).
Depuis que les Français l'ont découvert dans Un éléphant, ça trompe énormément, Christophe Bourseiller fait partie de la famille. S'il s'invite aujourd'hui à déjeuner, c'est pour nous raconter ses mille et une vies d'enfant de la balle.
Acteur, écrivain, homme de radio, de télévision, spécialiste des mouvements extrémistes, des contre-cultures et des théories du complot... cet iconoclaste n'a eu de cesse de se tourner vers les autres et de questionner son passé tumultueux. Aragon, Yves Robert et Danièle Delorme, Andy Warhol et Jean Genet, Jean-Luc Godard et Claude Lelouch ont été ses plus belles rencontres. Autant de personnalités, attachantes et hautes en couleurs, à travers lesquelles il se livre, au fil de souvenirs doux-amers, pour un autoportrait poignant et inattendu.
Un livre d'amour et d'humour.
Voyage dans la tête des conspirationnistes
- Et si 1789 n'était qu'un coup d'État ourdi par la franc-maçonnerie ? Si les sans-culottes qui ont pris la Bastille n'étaient que des figurants, manipulés par un lobby satanique, unissant les philosophes des Lumières, les francs-maçons et les Illuminati ?
- Et si les extraterrestres nous avaient déjà envahis ? Les aliens ont pris le pouvoir en s'affublant de masques souples : George Bush, François Fillion ou Vladimir Poutine ne sont pas humains ! Une guerre entre extraterrestres fait même rage sur notre sol pour le contrôle des richesses. Qui gagnera ? Les « petits gris » ou les « reptiliens » ?
- Et si le 11 Septembre n'était pas un attentat islamiste ? Non seulement le 11 Septembre a été perpétré par les services secrets américains, mais Ben Laden, qui est toujours vivant, est lui-même un agent de la CIA.
- Et si l'État islamique n'était qu'une invention américaine ? Daech n'est qu'une création israélo-américaine visant à hâter le choc des civilisations. Les tueurs sont des agents du Mossad ou des pantins au cerveau lavé.
- Et si Marilyn Monroe ne s'était pas suicidée ? Elle a été assassinée par Bob Kennedy parce qu'elle s'apprêtait à révéler sa liaison secrète avec les frères John Fitzgerald et Bob Kennedy.
Ils pullulent, les Christs revenus, les messies arrivés et les Mahdis libérateurs. On recense entre l'an 1 de l'ère chrétienne et ce début du xxie siècle le surgissement de cent quatre-vingt pseudo-messies, dont on trouvera ici la biographie scintillante et détaillée. Ces personnages baroques et flamboyants, pervers et inquiétants, ont rassemblé à leur époque des millions de disciples à qui ils ont prétendu apporter l'espérance et offrir un âge d'or pour mieux les mener à leur perte.
Aujourd'hui même, il n'y pas moins de vingt messies en activité, parmi lesquels Raël qui attend les extraterrestres, Inri Cristo, sosie absolu de Jésus, Maitreya qui se cache en attendant son avènement, Shoko Asahara, le leader sanglant de la secte japonaise Aum, Yahweh ben Yahweh qui règne aux États-Unis sur un gang implacable, ou encore Marina Tsvigun qui rassemble en Russie des milliers de disciples pâmés.
Nouvelle édition revue, corrigée et augmentée par l'auteur @ Titre disponible au format numérique
Ils sont environ 20 %, ces Français contestataires prêts à rejoindre les courants extrémistes pour tout changer et balayer le système, au prix de la violence, s'il le faut. Localisés aussi bien à l'extrême gauche qu'à l'extrême-droite, on les remarque lors des grandes élections (1988 : 15 % pour Le Pen) ou des grèves de la Fonction publique (animée par des militants révolutionnaires). Qui sont-ils ? Où vont-ils, à travers les années Mitterrand ? Comment vont-ils évoluer face aux enjeux européens et aux échéances sociales, économiques de demain ? Christophe Bourseiller a mené l'enquête : passionnant et terrifiant tableau, fort documenté, de ce qui couve et grandit dans la France d'aujourd'hui.
Qui l'eut cru ? La France bouge, tressaute et se renouvelle sans cesse... Êtes-vous libertin, libertarien, bouddhiste, sadomasochiste, primitiviste, trotskiste, gothique, marxiste-léniniste, indigné, anarchiste, antoiniste, rosicrucien, fou de Techno, punk, skinhead, rasta, franc-maçon, sataniste, polyamoureux, néopsychédélique, hipster, païen, roots, geek ou no life ? Bienvenue au royaume des minoritaires qui composent un bien fascinant paysage. Pour le plaisir, Christophe Bourseiller a sélectionné des lieux au caractère étrange, baroque et marginal : bars et lieux de vie, disquaires, librairies, boutiques de mode, antiquaires, restaurants, boîtes de nuit... À ces lieux provisoires, il a ajouté des monuments sauvages et autres mausolées interdits, qui sculptent l'étrangeté d'une France éruptive, anti-système et contre-culturelle. Essayiste, écrivain et acteur, Christophe Bourseiller présente la nuit l'émission Electromania sur France Musique. Il a publié une trentaine d'ouvrages sur des sujets aussi divers que les extrémismes politiques, les musiques industrielles ou les contre-cultures. Gourmand et curieux, il sillonne la France à la découverte de ses mystères.
Juillet 1981. Joseph Frey, séducteur de soixante ans, tient une galerie d'art à Paris. Chevauchant difficilement sa Harley Davidson, ses cheveux grisonnants au vent, il collectionne les oeuvres avant-gardistes et les toutes jeunes filles. L'été s'annonce brûlant. Le gouvernement Mitterrand libère la bande FM provoquant la ruée vers l'or hertzien. Les radios libres envahissent les ondes, toutes aussi délirantes les unes que les autres. Curieux de tout, Joseph se met frénétiquement à l'écoute de toutes ces nouvelles stations jusqu'à ce qu'il tombe sur une mystérieuse radio... Un roman « kafkaïen », aux couleurs particulières des années quatre-vingt. Une vertigineuse fiction qui a pour décor le trou des Halles et les terrains vagues autour des premières tours de La Défense, sur une musique des Cure, un petit groupe anglais qui monte.
Et si Jésus Christ était gaulois ?
Et si le Titanic n'avait pas coulé du tout ?
Et si la famille du tsar avait survécu à la révolution de 1917 ?
On nous ment ! On nous manipule ! On nous cache tout ! Du moins à en croire la quarantaine de théories intrigantes, dissidentes, voire révoltantes, exposées dans ce livre.
Qui sont les « pseudo-historiens » dont les travaux contestent les versions officielles ? Doit-on les tenir pour des escrocs, des paranoïaques ? Ou bien les prendre pour des visionnaires ?
Voici des récits que vous ne lirez jamais dans les manuels. Avec une ironie mordante, Christophe Bourseiller dresse pour la première fois l'inventaire drolatique des plus belles divagations de l'Histoire.
« La Société du Spectacle », la célèbre formule de Guy Debord ; les slogans de mai 68, tels que « Sous les pavés la plage », « Jouissez sans entraves » ou encore « Ne travaillez jamais ! » ; les affiches et les bandes dessinées détournées : tout cela fait désormais partie de l'imaginaire collectif. L'aventure de l'Internationale Situationniste, le mouvement poético-politique créé par Debord, est moins connue. Ce sont pourtant les Situationnistes qui, dans l'ombre des insurrections estudiantines, ont transmis à la jeunesse leurs idées créatrices et subversives, dans le but d'en faire des chantres d'une nouvelle vie, poétique et quotidienne.
« Cofondatrice du Mouvement de libération des femmes, Antoinette Fouque apparaît également aujourd'hui comme une théoricienne exceptionnelle.
En liant pensée et action, inconscient et histoire, psychanalyse et politique, elle a donné à ce mouvement une dimension philosophique, quand d'autres le réduisent à une revendication sociale.
Au-delà du féminisme dont elle fait une critique radicale, Antoinette Fouque place la procréation au coeur de l'éthique et de la libido des femmes et en tire toutes les conséquences politiques, philosophiques, humaines, etc.
Ces entretiens permettent de découvrir ou de redécouvrir une des pensées contemporaines les plus anticonformistes et les plus créatrices sur le rôle des femmes dans le monde actuel et l'alternative dont elles sont porteuses. » C. B.