Raymonde et Robert Bidochon sont un couple moderne. Surtout Raymonde, qui décide de donner un coup de fouet à leur vie sexuelle en participant à des réunions « Lingeries Sex-toys », avec des amies. En quête d'idées neuves et plus ou moins farfelues, Raymonde va tout essayer pour réveiller Robert qui, lui, pense avoir déjà accompli quelque chose d'énorme avec un soin du visage clarifiant au lait de concombre... Un album hilarant qui signe le retour éclatant du couple de Français moyens le plus célèbre du monde.
Installés dans leur foyer chéri les Bidochon peuvent désormais profiter pleinement de leur vie commune. Place donc à la routine, à la corvée du débouchage d'évier et aux câlins du samedi soir. Des histoires de tous les jours, interrompues à chaque fois par une intervention de Robert ou de Raymonde, qui révèlent, tour à tour, un secret inavouable sur leur partenaire...
On a souvent dit que le locataire d'habitation à loyer modéré était un individualiste, refusant tout contact avec ses voisins. C'est archi faux ! Le plancher du H.L.M lui permet, au contraire, de cohabiter en permanence avec ses voisins... En suivant le quotidien de Raymonde et Robert, goûtez aux plaisirs de la copropriété et délectez-vous des subtilités du règlement intérieur.
10 ans de mariage avec Robert ? Raymonde se remémore le début de leur histoire... 10 ans plus tôt. Raymonde se rend compte qu'elle était toute seule et fait appel à une agence matrimoniale pour rencontrer l'HOMME. Elle obtient un rendez-vous avec Robert et tout commence alors. S'en suit mariage, nuit de noces, la belle-mère, la maison et toutes les joies du couple pour le meilleur et pour le pire !
Un téléphone, c'est bien. Un portable, c'est mieux. À condition toutefois de savoir s'en servir. Et d'avoir des gens à qui téléphoner. Malheureusement pour les Bidochon, ils n'ont qu'un seul couple d'amis. Du coup, "user le forfait" devient un véritable casse-tête. Qu'à cela ne tienne, Robert a trouvé une astuce : appeler des gens au hasard du bottin. C'est M. Grapovski qui va être content.
Un simple ongle incarné et voici que les Bidochon se retrouvent confrontés à l'administration et à son arme absolue : la paperasse. Responsable hospitalier, agent de la sécurité sociale, policier, contrôleur fiscal, surveillant en hypermarché... tous ceux qui bénéficient d'une miette de pouvoir sont ici passés au crible. Avec un humour bien affûté, Binet nous offre une analyse sociologique de tous ces petits dictateurs de bureau.
Dans ce nouveau tome, Robert et Raymonde découvrent l'écologie, d'un point de vue consommateurs (avec les lampes basse consommation, le tri sélectif, etc.). Raymonde est plutôt une adepte, contrairement à Robert qui se révèle être contre.
Rien de tel qu'un départ en vacances pour s'évader du stress et de la routine. Et quoi de mieux qu'un petit bungalow à Loumel, en Bretagne, pour passer un bon moment ? L'occasion pour Robert et Raymonde de découvrir les joies des villages de vacances : le resto interdit aux enfants, les jeux de groupe à l'apéro, le saucisse-purée, les excursions chronométrées et le musée du lacet.
Mais qu'est-ce qui pourrait les arrêter, nos rouscailleurs favoris
?!? Certainement pas le dernier purificateur-ionisateur, le
ramolibeur (pour ramollir le beurre, hein !), l'indispensable
estimeur de distance ou le non moins nécessaire gant de toilette
auto-savonnant ! Robert Bidochon semble avoir pillé l'intégralité des
catalogues pour hommes modernes, sillonné toutes les boutiques de
gadgets attrape-gogos, racheté sur e-Bay les cadeaux pourris de tous
les déçus de noël. Il entraine Raymonde, ses voisins et nous-mêmes
dans ses expérimentations enthousiastes, autant d'aventures
domestiques qui ne pourront finir qu'en fiascos retentissants... et
parfaitement désopilants !
Raymonde sombre dans une profonde dépression. Pour s'en sortir, il
lui faudrait de l'amour, du vrai. Avec du romantisme et tout le
tralala. De quoi lui donner des papillons dans le ventre. Mais avec
Robert Bidochon comme mari, il y a comme une erreur de casting. Qu'y
a-t-il de plus beau, pourtant, qu'une balade au clair de lune ?
(Heu... deux balades au clair de lune ?)
A la faveur d'un changement de majorité, Lucien Grangarçon est nommé
ministre aux Charcutiers. Mais son parcours au plus haut de
l'appareil d'Etat ne va pas se faire sans difficultés : magouilles,
ambitions, langue de bois, sondages, réformes impopulaires, grèves,
coups bas, journalistes trop curieux, etc. L'auteur des Bidochon
dresse un tableau à la fois effrayant et hilarant de la sphère
politique, avec la justesse qu'on lui connaît.
Un anniversaire de mariage, ça se fête... même chez les Bidochon ! Encore faut-il trouver la bonne idée de cadeau. Pourquoi pas un synthétiseur Bontympan ? À moins que Robert n'ait une autre idée derrière la tête... Après les cadeaux vient le repas en amoureux, sa digestion douloureuse et le traditionnel câlin d'anniversaire. Un grand moment de poésie et de tendresse.
Catastrophe : avec seulement 150 000 kilomètres au compteur, la vieille voiture des Bidochon vient de passer la roue à gauche. Direction le 71e salon de l'auto, à la recherche de sa remplaçante. Pourquoi pas une Rono 5 ? Un petit tour sur la nationale pour la roder, et hop : Robert et Raymonde partent à l'assaut des départementales. À lire avant de prendre le volant... mais pas en conduisant !
Une télévision, un canapé, une zappette : le rituel du soir est le même depuis des années et il n'est pas question pour les Bidochon d'en changer. Le changement, c'est comme ça qu'on fout en l'air les mariages ! Et tant pis si les programmes sont débiles et les talks-shows sans intérêt. Après tout, ça sert à quoi d'avoir une télé qui coûte la peau des fesses si c'est pas pour la regarder ?
C'est l'occasion pour l'auteur, avec toujours le même humour au vitriol, de promener son bistouri bien affûté dans les délicates relations malade-médecin-hôpital-famille. Avec une cruauté malicieuse, Binet nous fait partager le lit d'hôpital de Robert Bidochon et toutes les joyeusetés qui gravitent autour. Une histoire à faire déguster par tous ceux, cardiaques ou non, qui sont passés ou passeront un jour sur le billard.
Qu'il s'agisse d'un barbecue placé sous la protection du dieu des
merguez, du choix des horaires SNCF par minitel ou d'un diner
végétarien macrobiotique à "l'endive cuite", quand on respire autant
de joie de vivre que les Bidochon, chaque instant devient mémorable.
Et la moindre cueillette de champignons ou séance de self-control
devient tout simplement... inoubliable.
Pour la première fois de leur vie, Robert et Raymonde quittent leur France natale. Grâce à un concours organisé par les « Ravioli Patzani », les Bidochon s'offrent un voyage organisé et découvrent les merveilles d'un pays de l'Est non précisé. Vol en avion, gastronomie locale, monastère typique et contact viril avec les autorités locales... Ah que c'est beau l'exotisme !
Raymonde Bidochon à poil sur le net ! Le propre des phrases
d'accroche, c'est d'être là pour attirer l'attention. Celle ci
n'échappe pas à la règle. Mais rassurez-vous, on n'a pas encore
trouvé la photo dénudée de Raymonde sur un www.mature-middle-
frenchesalope.com. Et, le cas, échéant, Robert Bidochon en aurait été
le premier averti... Car, oui, ça y est, Robert surfe sur le web,
navigue sur la toile, maile et tchate comme un ouf ! Ou plutôt
essaie... et ce n'est pas triste. Binet tente ici de combler la «
fracture numérique » à sa façon. On se tient les côtes à voir ce
pauvre Robert tenter de dresser le mulot, se débattre avec les «
lignes chaudes » téléphoniques, mater des sites de cul en douce, et
on croit se voir à ses débuts en informatique, ou reconnaître un
proche si on a moins d'autodérision... Du pur, du drôle, du bon
Bidochon !
Certes, le H.L.M est un endroit délicieux. Rien ne vaut cependant une
petite maison bien à soi. Après avoir écumé les salons d'expo en
quête de la perle rare à la portée de leur bourse. Les Bidochon
trouvent enfin leur bonheur : une maison en préfabriquée entièrement
« boulonable », en dehors de l'agglomération de Champoteux, dans un
endroit calme, à la campagne. Mais leur projet sera semé
d'embuches... pour notre plus grand plaisir !
À peine apprend-il la mauvaise santé de sa "môman" que Robert accourt déjà à la rescousse. A la vue de son garçon chéri, la mère Bidochon reprend du poil de la bête et retrouve ses vieilles habitudes. Celles du temps où Robert était un enfant gâté qui adorait se déguiser en Zorro... Pendant ce temps, Raymonde subit les commentaires de sa belle-mère qui tombent comme autant de guillotines.
Qui ose encore douter de l'existence du paranormal à une époque où
les techniques de divination n'ont jamais été aussi nombreuses ?
Pendule, tarot, spiritisme, poupée vaudou, sel, oignon,
ventilateur... Robert et Raymonde ont décidé de toutes les passer en
revue. Mais n'est-il pas dangereux de jouer avec le feu de
l'occultisme ? Car les signes sont formels : un grand malheur
approche...
« Ces neuf années sont les années les plus importantes de ma vie. Ce
sont elles qui m'ont façonné, qui m'ont recouvert d'une épaisse
croûte opaque et résistante au temps. » Entré à six ans dans une
institution religieuse, Binet en sortira neuf ans plus tard. Il livre
ici ses souvenirs d'enfance et illustre une galerie de portraits
cruels ou attendrissants : le petit Tanié et son oeil de verre,
l'abbé Breuil, la soeur Marie-Louise qui sent très mauvais, les
profs... Il y décrit avec humour et sincérité la vie de tous les
jours dans cette école tenue par des religieux, au lendemain de la
guerre. Un récit intime et autobiographique où l'auteur des Bidochon
se livre sans réserve.
Quand Raymonde s'ennuie, elle fait entrer la moindre représentant de
commerce qui se présente à sa porte. Non seulement ça lui change les
idées, mais en plus elle tombe parfois sur des offres
exceptionnelles. Par exemple, comment résister au "body hop", le kit
de remise en forme avec son "slimtronic" et son "ventrisonic" ?
L'occasion pour les Bidochon de s'essayer à la gymnastique à
domicile.
Grande nouvelle de la rentrée : l'auteur des Bidochon est de retour !
Ce deuxième volume de Haut de gamme met en scène des personnages qui n'ont rien en commun, sauf la musique. On découvre ainsi comment un groupe punk se produit dans une église et massacre Bach, comment un grand pianiste cède aux caprices d'une milliardaire et comment un quintet de narcoleptiques, répète depuis quinze ans dans l'espoir, un jour, de jouer sur scène le célèbre quintet en do majeur de Schubert... Binet ? Un maestro !