Depuis 20 ans, Bernard Fripiat donne ces trucs en réponse aux interrogations des patrons, assistantes de direction, commerciaux qui s'inscrivent à ses stages d'orthographe. Son but : lutter contre la honte de faire des fautes, pire ennemie de l'apprentissage.
Chaque truc renvoie à un épisode de la série humoristique « Orthogafe.com » accessible sur YouTube, ce qui vous permettra de rire de l'orthographe en famille. Après avoir bien ri, nous cesserons de la regarder comme une montagne infranchissable et la verrons telle qu'elle est : une épine dans le pied. Ce n'est pas grave, mais pour courir, c'est embêtant ! Enlevons l'épine !
« L'orthographe, 99 trucs pour en rire et la retenir », stylo rouge et nez rouge très compatibles pour ne plus s'en faire un mauvais sang.
Bernard Fripiat est aussi chroniqueur sur Europe 1.
« Bernard Fripiat, le plus fameux coach d'orthographe, s'est constitué un incroyable matériel de prestidigitateur. »
François de Closets, Zéro faute, Éditions des Mille et une nuits
« D'une phrase, d'une expression ou d'une question toujours avec cet accent belge inimitable, Bernard a emballé les auditeurs de France Bleu 107.1 et a donc ajouté chroniqueur radio à la longue liste de ses activités. »
Billie, Radio France
L'orthographe, ses règles obscures et ses exceptions vous font souffrir ?Rassurez-vous, c'est voulu !Comment pourrait-il en être autrement dans un pays à l'histoire si tumultueuse ? Comme la France, notre orthographe a traversé les siècles en empruntant des voies détournées, sans craindre détours ni autres pirouettes.Il fallait un Belge tel que Bernard Fripiat pour raconter cette histoire avec un humour et une irrévérence qui déculpabiliseront les pires cancres.En une centaine de questions-réponses, il explique l'origine de chaque difficulté et raconte la folle épopée d'une orthographe que le monde entier nous envie...
Hitler propose le 17 juillet 1940 une paix unilatérale en échange de laquelle, il n'émet aucune exigence. Beaucoup considèrent cette offre comme l'ultime chance de sauver la Grande-Bretagne. Et pourtant, Churchill refuse. Bernard Fripiat imagine une rencontre entre Rudolf Hess et Winston Churchill pour essayer de comprendre les raisons qui conduisirent le Premier Ministre à oser tout risquer et prendre cette décision qui sauva le Monde.
« Je ne connais rien de plus jubilatoire que d'interpréter un personnage qui assouvit une légitime vengeance. Il suffit de voir le nombre de vedettes qui ont joué le Comte de Monte-Cristo. Malheureuse-ment, de tels rôles au féminin sont rares. Il faut dire que la vengeance nécessite une vive intelligence et que la plupart des auteurs sont des hommes... Lorsque s'est présentée l'occasion de jouer Sylvie qui, pendant plus d'une heure, se venge patiemment d'un mufle qui s'est cru killer, je ne l'ai pas laissée passer. On devrait conseiller la lecture de cette pièce à toute femme victime d'une goujaterie. »
Nadia Moreau, Comédienne
« Deux êtres forts, durs, insensibles (en tout cas en apparence) qui s'affrontent droit dans les yeux est toujours un spectacle original. En jouant ce rôle du Juge, je me remémore les westerns de Sergio Leone qui ont bercé mon enfance. Avec un plaisir extrême, j'y retrouve la même force, la même tension et, surtout, le même humour. »
Jean-François Warmoes, Comédien
Comédien reconnu, auteur confirmé d'essais et de romans, Bernard Fripiat est passé maître ès caricatures.
Daumier les a peintes, Bernard les met en scène. La lumière de son projecteur est impitoyablement crue.
A jour frisant, il dévoile l'implacable univers d'une jungle sans frontière. Grâce au talent irrésistible de Bernard on rit beaucoup... jaune.
Menacé de mort, un présentateur vedette va devoir se promener dans les méandres de son passé pour retrouver à qui il a fait du tort et qui lui en veut. Que sont devenues ses victimes "médiatiques"?
Pour trouver la réponse, il devra piéger une jeune téléspectatrice pour l'amener à enquêter et découvrir les arcanes de ce milieu, accomplissant ainsi un véritable parcours initiatique.
Si vous pensez que le talent c'est d'être, mieux encore de naître, alors nul besoin de faire et adieu la galère pour rejoindre « La galerie des places ». Place enviable mais attention, instable, éjectable car la cour nombreuse accourt !
Dans ce roman « On peut toujours dire : non ! », Bernard Fripiat met en garde. Humour, classe, élégance, vérité, sont une fois de plus les forces de sa grande armée à lui. Chef séducteur conquérant et drôle, ses mots, ses phrases, ses idées frappent sans jamais blesser et comme pour chacune de ses batailles, un ouvrage...Un engagement sincère et humaniste... Ah ! Le nouveau Fripiat est arrivé !! Avez-vous lu (vu au moins) le dernier Fripiat ?! Accourez... »
Le 22 novembre 1900, mourait, dans la solitude Maître Théophile PARDASE, accusé de détournement de fonds et abandonné par les siens. Pour se venger il décide qu'héritera de son "magot" celui de ses descendants qui sera âgé de 27 ans le 22 novembre 2000. Les descendants de Théophile PARDASE vont devoir faire preuve d'imagination pour qu'un de leur rejeton puisse toucher le pactole, d'imagination mais aussi de cruauté pour éviter qu'un autre membre de cette belle famille réussisse à placer un de ses enfants...
Le roman noir par excellence.
Spécialisé dans l'Histoire de la langue française, (il est notamment chroniqueur sur Europe 1 et auteur de « l'orthographe. 99 trucs pour en rire et la retenir »), l'historien Bernard Fripiat nous propose grâce à ce recueil de nouvelles de parcourir la nature humaine en décrivant la rencontre entre un prédateur et sa victime.
Se promenant alternativement dans le passé et dans le présent, ces 22 nouvelles nous montrent que l'homme change peu. Le plaisir que ressent une noble romaine devant la mise à mort d'un gladiateur s'apparente à celui du critique participant à une mise à mort médiatique. La démarche d'un inquisiteur obligé de faire avouer les impies ressemble étrangement à celle d'un « winner » forcé de fermer une usine en préservant les intérêts des actionnaires. Guidés par leurs complexes et leurs frustrations, les prédateurs savent se montrer redoutables.
Heureusement, les « méchants » ne triomphent pas toujours. Parfois l'issue est heureuse et même certains prédateurs se ressaisissent en passant du bon côté. A travers cet acte, peut-être redécouvriront-ils la douceur de vivre.
Pour mériter cette grâce, il faut du courage, de la lucidité et beaucoup d'humanité. Pas de leçon de morale en revanche chez Bernard Fripiat, mais de l'aide toutefois pour s'y retrouver.
En riant, voilà bien une façon agréable d'apprendre l'Histoire... C'est ce que proposent Catherine et Bernard nous embarquant à l'époque carolingienne en compagnie d'un étudiant en Histoire, d'un androïde et d'une esclave, entre autres personnages.
Une traversée temporo-spatiale sérieusement rigolote grâce à des pilules qu'on est tout à fait d'accord d'avaler... pour voyager sans mal... des transports et rencontrer un sacré Charlemagne. Saura-t-on enfin qui a foutu le bordel dans l'Europe en 814 ? Aurélien verra-t-il s'ouvrir les portes de l'agrégation, abandonnera-t-il à son époque Brune, la blonde esclave dont il est tombé amoureux ?
Ces deux auteurs confirmés ont décidé de nous amuser d'abord, puis nous instruire. Quel nouveau pari ont-ils donc fait ? ... Raviver nos mémoires alanguies dans l'été.
Depuis la nuit des temps, Néron est considéré comme le monstre absolu, mais est-ce vrai ? Voilà la question que se pose le livre 2 des questions d'Aurélien "Néron ? Et si c'était un brave type ?" . Historien du 22ème siècle (capable de voyager dans le temps), Aurélien essaye de savoir si, devant un jury américain qui mettrait systématiquement en cause la crédibilité des témoins à charge, Néron irait jusqu'au procès pour crime. Lui et ses amis vont découvrir la vie romaine.
Voici quelques extraits...
Mort de Britannicus.
- Utiliser deux fois de suite la même technique d'assassinat, observe le défenseur de Néron, ils manquent d'imagination. Ton Suétone ignore-t-il que les nobles utilisent des goûteurs ?
- Tacite a anticipé ton argument. Selon lui, le poison se trouvait dans l'eau utilisée afin de rafraîchir la soupe brûlante. Il crédibilise la version de Suétone.
- Crédibilise ! s'exclame Fanfan. On contrôle la soupe de crainte qu'elle ne soit empoisonnée, mais personne ne songe à vérifier l'eau.
- D'un autre côté, la mort subite est rare à 13 ans.
- Hormis une morsure de serpent, précise Fanfan, aucun poison ne peut provoquer une mort si rapide.
- Sauf le cyanure qui ôte la vie deux ou trois minutes après son absorption, répond le futur agrégé.
-Je n'en ai jamais entendu parler, objecte le jeune Romain.
- Normal, sourit Patrick, le cyanure à dose mortelle rapi- de a été découvert en 1782, 2535 ans après la fondation de Rome.
- As-tu le nom des consuls ? plaisante Brune.
- Louis XVI et Marie-Antoinette. Mais c'est une autre histoire.
Cette plaisanterie n'est pas du goût d'Aurélien.
- Il doit bien exister d'autres poisons, grommelle-t-il.
Le chef de l'expédition consulte sa tablette.
- Le curare injecté par voie veineuse tue en cinq ou dix minutes. Il est inoffensif par voie buccale
- Les dieux possèdent parfaitement l'art d'administrer la mort, constate Fanfan. Votre cyanure éviterait à ceux qui se suicident de s'ouvrir les veines avec un couteau. Même si on s'entoure d'eau chaude, la douleur est terrible.
- Comment Socrate s'est-il suicidé ? questionne le futur historien.
- Il a avalé de la ciguë, reconnaît le jeune Romain. Dix heures de souffrance avant de mourir.
Bernard Fripiat, spécialiste de la langue française, et Laurent Petitguillaume nous offrent dans cette bande dessinée drôle et passionnante, un formidable éclairage sur les subtilités de la langue française. Grâce à leurs saynettes et leurs mises en situation cocasses, il ne sera plus question de faire des fautes d'orthographe ! Au programme, participes passés avec "être" et "avoir", verbes pronominaux et homonymes en tous genres (à/a, on/ont, et/est...).