Depuis la fin du XXe siècle, la théorie quantique connaît un renouveau qui se traduit par l'émergence de technologies utilisant toute la puissance des interférences quantiques pour mesurer, simuler, communiquer et calculer. Parallèlement, cette « seconde révolution quantique » remet en question notre compréhension de la théorie quantique et nous pousse à dépasser la vision purement utilitariste de l'interprétation de Copenhague. Le livre utilise cette exploration pour éclairer le sens de la théorie quantique en insistant sur l'absence d'état objectif défini sans référence à un observateur. Il s'agit du premier (et seul) ouvrage qui présente une synthèse de l'ensemble de ces sujets.
Cet ouvrage a donc un double objectif : d'une part, il donne une introduction globale au domaine des technologies quantiques en présentant les relations entre théorie quantique, théorie de l'information et informatique ; d'autre part, il vise à éclairer le sens de la théorie quantique en se focalisant sur la notion d'état quantique. L'ensemble de ces sujets est présenté en une synthèse originale.
Ce premier volume offre au lecteur, qu'il soit physicien, ingénieur, mathématicien ou informaticien, la possibilité de se familiariser avec les technologies quantiques. Une discussion des systèmes d'électrodynamique en cavité : atomes en cavité et aussi circuits supraconducteurs, illustre concrètement nombre d'idées et méthodes.
Un second volume à venir approfondira le statut de la localité et des probabilités. Il montrera l'émergence d'un monde classique au sein de la théorie quantique, pour finalement éclaircir les défis posés par l'interprétation de celle-ci.
Pascal Degiovanni est directeur de recherche au CNRS et travaille au Laboratoire de physique de l'ENS de
Lyon dans l'équipe de physique théorique sur la physique quantique mésoscopique. Ses travaux récents portent
sur la nano-électronique quantique et l'optique quantique électronique.
Natacha Portier est maîtresse de conférences au Laboratoire de l'informatique du parallélisme à l'ENS de
Lyon dans l'équipe Modèles de calcul, Complexité et Combinatoire et est directrice adjointe de la Maison des
mathématiques et de l'informatique. Ses travaux portent sur la complexité d'algorithmes classiques et quantiques.
Clément Cabart, Alexandre Feller et Benjamin Roussel, ont préparé leur doctorat au
Laboratoire de physique de l'ENS de Lyon en physique quantique mésoscopique (C. Cabart et B. Roussel) et gravité
quantique (A. Feller). Depuis leur doctorat, A. Feller et B. Roussel travaillent au sein de l'Advanced Concepts Team
de l'Agence spatiale européenne (Pays-Bas) et C. Cabart est professeur agrégé de physique.
Émilie et son vieux voisin Monsieur Farouk ont peu en commun si ce n'est que les gens murmurent sur leur passage. Émilie est fille de parents séparés et Monsieur Farouk vient de là-bas, de ceux dont on parle à la télé. Après un échange de sourires un jour d'été, Monsieur Farouk invite la petite fille à prendre le thé dans son jardin fleuri. À chaque gorgée, elle découvre de nouvelles sensations, des saveurs et des souvenirs insoupçonnés.
Longtemps méprisés, les spectacles populaires sont abordés ici sous l'angle d'une culture médiatique dont on suit l'essor à travers différentes formes de spectacles visuels et sonores, théâtre, cinéma, music-hall ou café-concert. Ce volume, Spectacles populaires et culture médiatique, s'inscrit dans la continuité du précédent ouvrage publié dans la même collection, Hypermédialités du théâtre. Les dix-neuf contributions que renferme le présent volume poursuivent l'analyse des archives du fonds de l'Association de la Régie Théâtrale (ART), déposé à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris. Peu étudiée jusqu'ici, cette riche collection rassemble les documents - près de 6 500 pour la période choisie - déposés par les régisseurs, metteurs en scène et directeurs de théâtre de la région parisienne : relevés de mise en scène, photographies, partitions, articles de presse... Une grande partie de ce fonds concerne des oeuvres traditionnellement rangées dans la catégorie des spectacles populaires.
Qu'il est agréable de recevoir des cadeaux, surtout s'ils sont bien choisis !
Pablo, ado, accro aux écrans a une petite idée sur la question...
Et si on s'intéressait à l'écologie, même si on est encore un enfant ! Suivez les aventures, d'un oiseau, d'une grenouille, d'un escargot et d'un jardinier !
1er voyage, direction TODMORDEN !
And if we were interested in ecology, even if we are still a child! Follow the adventures of a bird, a frog, a snail and a gardener !
1st trip let's go to TODMORDEN
Dirigé par Raymond Bertin, le dossier de ce numéro aborde le sujet de la création et de la diffusion hors des grands centres par le biais d'exemples qui viennent confirmer ou infirmer le cliché de la région comme désert culturel. Entre autres organismes et manifestations à l'étude, notons la Danse sur les routes, le Festival de théâtre à L'Assomption, le Théâtre du Bic et le Théâtre français du CNA. À lire hors dossier, un hommage à Huguette Oligny, une réflexion sur l'objet et la violence en danse contemporaine et un panorama des théâtres africains contemporains.
Le numéro de l'automne des Cahiers de lecture de l'Action nationale se penche sur des essais qui traitent de la terre, du territoire et de l'histoire. La terre, celle qu'on habite, qu'on cultive, qu'on harmonise, le territoire, celui qu'on revendique, qu'on négocie, qu'on traverse et l'histoire, celle qu'on personnifie, qu'on enseigne, qu'on perçoit dans le regard de l'autre. Ces trois thèmes traversent les essais lus pour ce numéro. Sans oublier quelques piques politiques et relectures approfondies de notre littérature. Parmi les titres recensés, trouvez entre autres La révolution agroécologique d'Alain Olivier, C'est le Québec qui est né dans mon pays d'Emmanuelle Dufour, Bilan et perspectives en historiographie de l'Amérique française par Julien Goyette et Louise Bienvenue (dir), Gens du fleuve, gens de l'île de Roland Viau, Un seul Québec de David Cliche, Kosmos de Michel Maltais, Choisir l'environnement par Sylvain Perron et Jean-François Gingras.