Quand Jean-Paul Daoust pose son regard sur Moncton et les gens qui l'animent, il en résulte une poésie urbaine du quotidien où se côtoient l'humour, l'amitié et une tendre loyauté, libre de toute complaisance. Jean-Paul Daoust a passé trois mois d'hiver à Moncton pour y écrire des carnets dans le sillage du départ de Gérald Leblanc, le poète regretté dont l'oeuvre rayonne au coeur de cette ville qu'il a tant aimée.