Organisé en deux temps que sépare le « tombeau », comme l'écrit Hugo dans sa préface, ce recueil évoque les figures aimées et disparues, notamment celle de Léopoldine, sa fille morte noyée le 4 septembre 1843. Cette date revient comme un motif tragique tout au long du livre IV, « Pauca meae », au pied de poèmes beaux et poignants.